Élections régionales françaises de 2010
Les élections régionales françaises ont lieu les 14 et [1] et renouvellent les 26 conseils régionaux de métropole et d'outre-mer.
À l'issue du premier tour, avec un peu moins de 27 % des suffrages exprimés, « la droite parlementaire enregistre son plus mauvais score sous la Ve République, tous scrutins confondus » souligne le quotidien Le Monde[2].
Mode d'élection des conseillers régionaux
Le mode de scrutin est fixé par le Code électoral. Il précise que les conseillers régionaux sont élus tous les six ans (quatre ans pour l’élection de 2010)[M 1].
Les conseillers régionaux sont élus dans chaque région au scrutin de liste à deux tours sans adjonction ni suppression de noms et sans modification de l'ordre de présentation. Chaque liste est constituée d'autant de sections qu'il y a de départements dans la région[M 2].
Si une liste a recueilli la majorité absolue des suffrages exprimés au premier tour, le quart des sièges lui est attribué. Les autres sièges sont répartis à la proportionnelle suivant la règle de la plus forte moyenne. Une liste ayant obtenu moins de 5 % des suffrages exprimés ne peut se voir attribuer un siège[M 2].
Sinon, on procède à un second tour où peuvent se présenter les listes ayant obtenu 10 % des suffrages exprimés[M 2]. La composition de ces listes peut être modifiée pour comprendre les candidats ayant figuré au premier tour sur d’autres listes, sous réserve que celles-ci aient obtenu au premier tour au moins 5 % des suffrages exprimés et ne se présentent pas au second tour[M 3]. À l’issue du second tour, les sièges sont répartis de la même façon[M 2].
Les sièges étant attribués à chaque liste, on effectue ensuite la répartition entre les sections départementales, au prorata des voix obtenues par la liste dans chaque département[M 4].
Les conseillers à l’Assemblée de Corse sont élus au scrutin de liste à deux tours avec dépôt de listes complètes comportant autant de noms que de sièges à pourvoir, sans adjonction ni suppression de nom et sans modification de l'ordre de présentation[M 5]. Le mode de scrutin diffère par la prime à la liste majoritaire qui est de 9 sièges sur 51. De plus, il n’y a pas de section de département et le seuil pour accéder au second tour est de 7 %[M 6].
- Sources
- Code électoral, article L336
- Code électoral, article L338
- Code électoral, article L346
- Code électoral, article L338-1
- Code électoral, article L365
- Code électoral, articles L366 et L373
voir aussi le « Dossier de presse », sur www.interieur.gouv.fr
Contexte national, rapports de force politiques
Une situation incertaine
À la suite des élections de 2004, qui a vu une victoire historique du Parti socialiste et de ses alliés au niveau régional (Les Verts et le PCF principalement), seules l'Alsace et la Corse en métropole sont gérées par la droite. En six ans, la gauche n'a eu aucune victoire au niveau national. Pourtant, elle bénéficie d'un fort soutien en 2008 aux municipales, aux cantonales, et par conséquent progresse au Sénat. Elle a l'avantage de présenter de nombreux sortants dans une élection intermédiaire traditionnellement favorable à l'opposition au gouvernement, et l'inconvénient de se présenter divisée avec notamment une forte concurrence entre le parti socialiste et les écologistes.
La droite (l'UMP et ses alliés du Nouveau Centre principalement) est sortie victorieuse de la présidentielle et des législatives en 2007, et en tête lors des européennes en 2009 (bien que minoritaire au final : les partis de gauche, divisés, totalisaient en effet plus de voix qu'elle).
La droite apparait en position de force au regard de ses succès précédents mais elle dispose d'une réserve de voix très limitée pour le deuxième tour, suite à son "unification" et à des accords politiques passés avec le Mouvement pour la France de Philippe de Villiers et le mouvement Chasse, pêche, nature et traditions de Frédéric Nihous. Au deuxième tour, elle ne pourra compter que sur un report de voix partiel du Modem et du FN principalement, si ceux-ci ne parviennent pas à se maintenir ou à fusionner avec d'autres listes à l'issue du premier tour. Traditionnellement les élections intermédiaires sont difficiles pour le pouvoir en place. L'impopularité de celui-ci, avant le scrutin, accroit cette situation.
L'extrême droite est pour sa part affaiblie depuis la présidentielle sans avoir disparu pour autant mais semble bénéficier du débat sur l'identité nationale et d'un retour d'une partie de ses électeurs séduits par Nicolas Sarkozy en 2007.
Les dernières élections régionales sous ce mode de scrutin ?
Les élections de 2010 pourraient être les dernières se déroulant sous le mode de scrutin actuel (scrutin de liste à deux tours avec prime majoritaire pour la liste arrivée en tête au deuxième tour). En effet, le gouvernement cherche à réformer le mode de scrutin dans le cadre des réformes des collectivités territoriales. Les futures élections régionales et cantonales pourraient se combiner en une seule élection de « conseillers territoriaux », selon un scrutin mixte avec suffrage uninominal majoritaire à un tour pour 80 % des sièges complété par une représentation proportionnelle pour les 20 % restant. Mais cette réforme controversée doit encore être approuvée par le Parlement[3]. Il s'agirait aussi d'encourager les fusions de régions pour en réduire le nombre - le comité pour la réforme des collectivités locales, rendant ses travaux en 2009, proposait 15 régions en métropole[4].
Positionnements et stratégies des partis politiques
Gauche antilibérale et extrême gauche
Comme pour les élections européennes de 2009, une longue série de négociations a eu lieu pour savoir si les organisations de la gauche antilibérale et d'extrême gauche, au premier rang desquelles le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), le Parti de gauche (PG) et le Parti communiste français (PCF) présenteraient des listes unies aux élections régionales[5].
Le point de désaccord principal porte sur le rapport au Parti socialiste (PS). Le NPA refuse de gérer des conseils régionaux sous une majorité PS, qui mènerait selon lui une politique contraire à ses orientations politiques. À l'inverse, le PCF souhaite continuer à gérer des conseils régionaux avec le PS. De même pour le PG (Parti de Gauche), créé en scission du PS mais allié du PCF lors des précédentes élections (européennes)[6].
Cette alliance large à gauche du PS ne s'est réalisée que dans trois régions : Languedoc-Roussillon, Pays de Loire et Limousin.
- État des lieux au sein des composantes du Front de gauche
Pour mémoire le Front de gauche s'est constitué à l'occasion des dernières élections européennes et rassemble PCF, PG et la Gauche unitaire.
Au final, le Conseil national du PCF se prononce pour une alliance au premier tour avec ses partenaires du Front de gauche en autonomie par rapport aux listes présentées par le PS et Europe écologie, ainsi que pour une fusion au second tour avec les autres listes de gauche, si celles-ci n'accueillent pas le MoDem[7]. La décision est cependant revenue aux militants qui ont défini la stratégie dans chaque région. 17 des 22 fédérations régionales se sont prononcées pour un Front de gauche « élargi » qui a ainsi vu le jour. Cinq l'ont rejeté au profit d'une liste commune avec le PS dès le premier tour (Bourgogne, Champagne-Ardennes, Lorraine, Basse-Normandie et Bretagne)[8]. Dans plusieurs régions, les résultats de la consultation ont fait l'objet de fortes contestations amenant des militants à se présenter sur des listes concurrentes comme en Lorraine où des dissidents du PCF rejoignent une liste intitulée Front Lorrain de gauche [9],[10],[11].
Le PG est partie prenante d'un Front de gauche élargi dans 16 des 17 régions où le PCF a décidé de partir en autonomie[12]. Dans les cinq régions où celui-ci est allié avec le PS, il constitue des listes d'unions soit avec le NPA, soit dans une configuration proche de celle du Front de gauche comprenant des dissidents communistes comme en Lorraine. Dans tous les cas, il est associé avec les autres organisations constituant ce qu'il appelle « l'autre gauche ». Le PG prend la tête de ces listes en Languedoc-Roussillon, en Pays de la Loire et en Rhône-Alpes. Après avoir revendiqué pour Jean-Luc Mélenchon la tête de liste de la région Île-de-France, il y a finalement renoncé pour se ranger derrière la candidature de Pierre Laurent, coordinateur national du PCF.
Après cinq mois de négociations et un vote des militants, le conseil politique national du NPA acte l'échec des négociations nationales avec les autres forces de la « gauche radicale », tout en poursuivant les discussions locales. Le texte adopté confirme les « fusions techniques » de deuxième tour avec les partis de gauche, sans participation aux exécutifs[13]. Le NPA présente finalement ses propres listes dans onze régions sur vingt-et-un, fait notamment campagne avec le Front de Gauche dans trois régions et conjointement avec le PG dans les trois des cinq régions où le PS et le PCF font liste commune (à l'exception de la Bretagne et la Lorraine).
Contrairement à 2004 où elle s'était alliée à la LCR (dissoute depuis dans le NPA), LO présente cette fois des listes autonomes[14].
- Les autres formations
La Fédération pour une alternative sociale et écologique (FASE)[15], Les Alternatifs[16], le Mouvement politique d'éducation populaire (M'PEP), le Parti communiste des ouvriers de France (PCOF) et l'association République et socialisme se sont prononcés pour un accord national avec les composantes du Front de gauche. Dans les régions où le PCF est associé avec le PS, ces organisations ont conclu des accords avec le PG et le NPA. Plusieurs groupements décroissants se joignent à ces listes d'union dans certaines régions, notamment en Bretagne[17].
Les écologistes
- L'Alliance écologiste indépendante (AEI)
Après ses 3,6 % aux élections européennes de 2009, l'AEI qui rassemble le Mouvement écologiste indépendant, Génération écologie et La France en action présente des listes autonomes dans 10 régions métropolitaines[18]. Des accords entre l'AEI et d'autres listes ont parfois été conclus, généralement là où le MEI avait la responsabilité de mener les campagnes de l'AEI : avec Europe Écologie en Alsace et Midi-Pyrénées, avec le Modem en Auvergne, Franche-Comté[19], Pays de Loire et Poitou-Charente. Dans le Nord-Pas-de Calais, Génération Ecologie a rejoint la liste régionaliste autour du Modem (les gaulistes sociaux et plusieurs mouvements écologistes) [20],[21], [22], [23]. Dans d'autres régions l'AEI est divisé comme en Ile-de-France où Génération écologie soutient le Modem[24]
Les divergences observées ailleurs entre l'AEI et Europe Écologie portent principalement sur la stratégie de second tour puisque si l'AEI refuse les fusions et renvoie droite et gauche dos à dos, Europe Écologie n'envisage que des fusions à gauche. De plus, certaines personnalités de l'AEI[25] suscitent de fortes réticences chez les Verts. Une controverse sur la marque "Europe Écologie" oppose désormais les deux rassemblements, particulièrement en Ile-de-France, le leader de la France en action Jean-Marc Governatori en revendiquant la propriété, Europe Écologie et les Verts l'antériorité.
- Cap21 (formation politique composante du Mouvement démocrate)
Le parti de Corinne Lepage a d'abord cherché à rapprocher dès le premier tour le Modem dont il est une composante avec Europe Écologie. Face aux refus des deux formations, puis aux différences d'approches régionales, Cap 21 a laissé chaque région libre de sa stratégie. Dans la plupart des régions, il continue son partenariat avec le Modem. Cependant dans sept régions (Alsace, Haute-Normandie, Ile-de-France, Languedoc-Roussillon, Lorraine, Pays de la Loire et Provence-Alpes-Côte d'Azur) Cap21 a rejoint ou soutient les listes Europe Écologie.[26]. Dans plusieurs régions des négociations similaires ont échoué.
- Le rassemblement d'Europe Écologie
Fort de son succès aux européennes de juin 2009, le Rassemblement de l'écologie qui garde pour cette élection le nom "Europe Écologie" présente des listes dans toutes les régions, sans s'allier aux autres partis, mais en intégrant à titre individuel des candidats qui en sont issus (PS-PCF-Cap 21)[27].
Europe Écologie regroupe Les Verts, les régionalistes de la Fédération régions et peuples solidaires, des démissionnaires du PS (Eric Loiselet, Pierre Larrouturou) ou des dissidents du PCF, des membres d'associations écologistes, ainsi que des personnalités de la société civile comme le chercheur Philippe Meirieu, la magistrate Laurence Vichnievsky, le responsable de la Confédération paysanne François Dufour ou le diplomate et résistant Stéphane Hessel. On retrouve également diverses personnalités associatives ou politiques comme Augustin Legrand, fondateur des Enfants de Don Quichotte, Emmanuelle Cosse, ancienne présidente d’Act Up, Robert Lion et Bruno Rebelle, respectivement ex-président et ex-directeur de Greenpeace France.
Les non-verts représentent la moitié des têtes de listes départementales et sont têtes de listes régionales dans six régions (Auvergne, Basse-Normandie, Bretagne, Champagne-Ardennes, Provence et Rhône-Alpes[28].
Si aucun accord national n'a été passé avec d'autres partis, en Alsace, Midi-Pyrénées et dans le Nord-Pas de Calais, le Mouvement écologiste indépendant[29], dont notamment Antoine Waechter, ont intégré les listes « Europe Écologie »[30].
Au second tour,les listes Europe Écologie envisagent de fusionner avec les autres listes de gauche. Par contre, comme dans les autres partis de gauche, l'attitude à prendre vis à vis du Modem fait débat. Europe Écologie espère comme aux européennes de juin 2009, dépasser le PS dans certaines régions pour pouvoir en revendiquer la présidence[31] et ne veux plus être un simple supplétif du PS.
Le Parti socialiste et ses alliés
Le Parti socialiste aurait aimé renouveler sa stratégie gagnante de 2004 où, dans les deux-tiers des régions, il était parti dès le premier tour avec une large liste d'union regroupant tous les partis de l'ex-majorité plurielle. Après les décisions du PCF (sauf dans un quart des régions), allié au Parti de gauche dans le cadre du Front de gauche, et des Verts dans le cadre d'Europe Écologie, de faire chacun cavalier seul au premier tour, le PS a le seul renfort au premier tour du PRG (sauf région Bretagne[32]) et du MRC[33]. Il a toutefois ouvert ses listes a des personnalités associatives (Isabelle This-Saint-Jean, ancienne présidente du collectif « Sauvons la recherche »...), d'anciens sportifs (Stéphane Caristan, Roxana Maracineanu...) ou des personnalités venue de la droite comme Jean-Luc Romero, des syndicalistes (Denis Parise, ex-Molex)[34]... L'option un temps envisagée par certains leaders de listes d'alliance avec le Modem a été écartée. Seule, Ségolène Royal en Poitou Charente a tenté[35] et partiellement réussi[36] cette alliance dès le premier tour : Cinq candidats du Modem de Charente-Maritime l'ont rejointe. Dans plusieurs régions, les candidats socialistes ont réussi à attirer sur leurs listes quelques conseillers verts ou communistes sortants. Lesquels se situent désormais en dissidence de leurs partis respectifs. Ceux-ci qualifient ces ralliements de débauchages individuels.
Le Parti socialiste a reconduit tous ses présidents et ses deux présidentes sortantes, sauf Georges Frêche (cf cas particulier du Languedoc-Roussillon). Ni Ségolène Royal (présente en vidéo) ni Georges Frêche[37] n'ont participé à la convention de ratification des listes le 12 décembre à Tours[34]. L'objectif affiché par Martine Aubry est de gagner toutes les régions.
Le Mouvement démocrate
Après le relatif échec des élections européennes, le MoDem a tenté de clarifier la stratégie à adopter, voulant éviter de se retrouver dans la situation des municipales de 2008, où sa stratégie variable selon les villes était jugée illisible. Le MoDem choisit d'avoir des liste autonomes au premier tour sans préciser ce qu'il fera au second[38]. Sa composante écologiste, Cap21, s'est alliée dans certaines régions avec Europe Écologie, tout en restant composante du MoDem à qui elle donne rendez-vous au second tour avec l'idée de listes communes[39]. Dans plusieurs régions comme la région Paca, le choix d'une tête de liste et la composition de celles-ci semblent difficiles[40]. Dans quatre régions les listes sont communes avec l'AEI mais en Languedoc-Roussillon, cette alliance a échoué conduisant le Modem a ne pas déposer de liste.
Néanmoins, compte-tenu de la forte opposition à Nicolas Sarkozy affichée et malgré la proposition d'arc central faite par son leader François Bayrou[41], la plupart des observateurs estiment que la fusion avec des listes UMP est assez improbable. Mais les fusions à gauche sont également difficiles compte tenu de la réticence des partis de gauche. Alors que les premiers sondages le créditent de moins de voix qu'aux européennes, la simple réédition du score de juin 2009 ne permettrait le maintien du Modem au second tour que dans deux régions.
La droite parlementaire
- La Majorité présidentielle
Depuis sa création, l'Union pour un mouvement populaire (UMP) a su fédérer l'ensemble des partis de la droite traditionnelle. Le Mouvement pour la France de Philippe de Villiers et Chasse, pêche, nature et traditions rejoignent le Comité de liaison de la majorité présidentielle en 2009 : il y a donc des listes UMP dans toutes les régions, regroupant toutes ses composantes. Le Nouveau Centre avait menacé , s'il n'obtenait pas cinq têtes de listes, de partir seul, de même que le Parti chrétien-démocrate de Christine Boutin en Pays de la Loire, s'il n'était pas mieux représenté sur les listes de la majorité, mais ces partis ont finalement décidé de faire liste commune avec l'UMP. Après les européennes, l'UMP espérait reprendre nombre de régions à la gauche. Mais elle a depuis nettement révisé ses ambitions à la baisse au vu des premiers sondages et ce d'autant plus qu'il n'y a pas de listes susceptibles de fusionner avec les siennes entre les deux tours du scrutin. Arguant de l'impossibilité de cumul avec la fonction de ministre demandée par Nicolas Sarkozy ou avec leur fonction de maire, plusieurs ministres tels Hubert Falco ou Roselyne Bachelot ont refusé de conduire des listes régionales, se contentant de conduire des sections départementales[42]. Néanmoins trois ministres et cinq secrétaires d'État conduisent des listes régionales. Huit autres membres du gouvernement figurent sur les listes.
- Cependant en PACA, au MPF, Jacques Bompard conduit sa propre liste de rassemblement intitulée "Ligue du sud" avec des formations "identitaires" réputées d'extrême droite, et ce malgré l'accord qui lie son parti à l'UMP. Finalement le 28 janvier 2010, Jacques Bompard quittait le MPF[43].
- Le mouvement gaulliste Debout la République de Nicolas Dupont-Aignan (ayant quitté la majorité présidentielle), présente ses propres listes dans 3 régions (Ile de France, Lorraine, Haute Normandie) en alliance avec le CNI.
- l'Alliance Centriste, le parti de Jean Arthuis se réclamant de l'UDF, n'a pas présenté de listes et figure sur celle de l'UMP en Pays de Loire et en Bretagne. En Lorraine il participe a une liste Divers Droite regroupant aussi le CNI, DLR et des UMP dissidents.
- le CNI présente sa propre liste dans le Nord-Pas de Calais, et fait alliance avec DLR dans les trois régions où ce mouvement est présent, avec le dissident UMP Christian Jeanjean en Languedoc-Roussillon et participe à la liste de MPF-UMP en Vendée.
L'extrême-droite
- Le Front national présente des listes dans toutes les régions métropolitaines. Contrairement à 1998 et 2004 où le Front National détenait souvent une position d'arbitre au vu de ses résultats électoraux (plus de 14% et même plus de 20% localement en 2004) et des premiers sondages, il semble ne pouvoir conserver cette position qu'en Paca, en Languedoc-Roussillon et dans les régions du Nord-Est, bien que les derniers sondages semblent lui être plus favorables.
- Les mouvances politiques liées au Bloc identitaire sont présentes sur des listes aux revendications régionalistes en Provence-Alpes-Côte d'Azur avec la « Ligue du Sud » du maire d'Orange ex-MPF Jacques Bompard et en Languedoc-Roussillon avec la « Ligue du midi ».
- Les petits partis issus de scissions du FN présentent également des listes dans huit régions. Le Parti de la France (PDF) de Carl Lang présente ainsi des listes en Haute et Basse-Normandie, dans la région Centre, et fait liste commune avec le Mouvement national républicain (MNR) en Lorraine, Picardie, et Franche-Comté, et en Languedoc Roussillon, avec l'ex FN Jean-Claude Martinez.
Cas particulier du Languedoc - Roussillon
Cette région est dirigée par le divers gauche Georges Frêche.
Les socialistes pro-Frêche ont remporté le référendum interne sur le choix du premier socialiste et le vote validant les listes[44]. Lors de sa convention nationale, le PS a choisi de ne pas investir de liste contre lui, le soutenant implicitement. Cependant la liste Languedoc-Roussillon est la seule à n'avoir pas bénéficié d'une présentation à cette convention[45]. Georges Frêche a aussi l'appui d'un certain nombre de dissidents venus d'autres partis dont l'ancien ministre communiste Jean-Claude Gayssot, l'écologiste Yves Pietrasanta et de CPNT (pourtant désormais associé à l'UMP).
Hélène Mandroux, la maire de Montpellier et André Vézinhet, président du conseil général de l'Hérault essayaient d'élaborer une autre liste « socialiste » en accord avec les autres partis de gauche[46]. Alors que cet accord et cette liste semblaient de moins en moins probables avec la finalisation des listes Europe Écologie et Front de Gauche, à 15 jours du dépôt des listes une nouvelle polémique éclate après une nouvelle saillie du président sortant. Georges Frêche perd le soutien du PS national. Une liste socialiste, menée par Hélène Mandroux, voit le jour[47]. Les négociations entre celle-ci et Europe Écologie de Jean-Louis Roumégas pour une liste commune ont échoué notamment sur la question du choix de la tête de liste régionale. Europe Écologie et le Front de Gauche ont d'ores et déjà annoncé leur refus de fusionner avec une liste sur laquelle Georges Frêche figurerait. Un accord sur le principe d'une fusion au second tour a été conclu entre Europe Écologie et « A Gauche Maintenant » (Front de gauche élargi au NPA, à la FASE, aux Alternatifs, aux Objecteurs de Croissance et au M'PEP ). Didier Codorniou (le premier socialiste désigné par les militants PS locaux) a porté l'affaire devant les tribunaux en demandant l’annulation de la décision du bureau national qui désignait Hélène Mandroux pour conduire une liste PS.
Dans un premier temps, la liste du Modem emmenée par Marc Dufour désigné par les militants contre le leader local de l'AEI Patrice Drevet, envisageait de fusionner au second tour avec la liste de Georges Frêche. Puis un accord intervenait pour fusionner dès le premier tour avec la liste AEI de Patrice Drevet, tandis que Cap21, composante du Modem rejoignait Europe Écologie. Mais le 7 février le Modem annonçait ses têtes de listes et revenait sur cet accord[48] puis abandonnait à la veille de la clôture du dépôt des listes[49].
À droite, l'UMP Raymond Couderc[50], sénateur de l'Hérault et maire de Béziers affronte la candidature dissidente de Christian Jeanjean, maire de Palavas-les-Flots[51]
La liste du FN, emmenée par la conseillère régionale France Jamet[52], est concurrencée par celle de la Ligue du Midi de Richard Roudier, et celle du Parti de la France de Jean-Claude Martinez.
Stratégies de l'entre-deux-tours
- À compter du , au sortir des résultats du premier tour, les listes du Parti socialiste, arrivées en seconde position dans dix régions[53], commence à s’allier avec les listes Europe Écologie et Front de gauche ou du Parti communiste ayant réalisé un score minimum d'au moins 5%.
- Concernant les listes de la majorité présidentielle, arrivées en seconde position dans seize régions, elle n’ont quant elles que très peu de réserves de voix pour le second tour, d’autant plus que dans six de ces régions, le Front National est en position de se maintenir au second tour[53].
- D'une manière générale, le Front national se maintiendra dans 12 régions, ce qui devrait gêner encore plus les listes de droites.
- En Midi-Pyrénées, où la liste du PS de Martin Malvy arrive largement en tête à l’issue du premier tour avec près de vingt points d’avance sur la majorité présidentielle[53], les écologistes derrière Gérard Onesta ont déjà conclu un accord avec la liste socialiste dès quatre heures du matin, le 15 mars. Les listes devraient être constituées dans le strict respect de la proportionnelle. Quant au Front de gauche de Christian Piquet, il devrait également obtenir sa place sur les listes unifiées[54].
- En Pays de la Loire, où la majorité présidentielle talonne le PS, à moins de deux points[53], les alliances entre le socialiste Jacques Auxiette et l’écologiste Jean-Philippe Magnen, ainsi que leurs différents représentants en région et dans les départements, ont commencé dès le soir du premier tour[55]. Le principal point de discorde entre les deux listes reste le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Cependant, les discussions ayant reprises le lendemain, une base d’entente semble avoir été trouvée sur ce point. La liste régionale semble avoir été constituée dès l’après-midi du , le problème restant présent pour la constitution des nouvelles listes départementales.
- En Provence-Alpes-Côte d’Azur, les négociations entre les deux tours avaient déjà commencées avant le premier tour, depuis une dizaine de jours, et se sont poursuivies, dès le soir du premier tour entre le socialiste Michel Vauzelle, l’écologiste Laurence Vichnievsky et le candidat du Front de gauche Jean-Marc Coppola, en position de s’allier avec ses 6,11% obtenus au premier tour[53]. Les nombreux points qui faisaient débat entre les différentes listes semblent, de l’avis de tous, avoir été réglés[56]. Le Front de gauche pourrait compter sur la présence de dix élus sur la nouvelle liste régionale contre dix-huit pour les écologistes et quarante-deux pour les socialistes, largement en tête, à moins d’un point de la majorité présidentielle au sortir du premier tour[53].
- En Rhône-Alpes, la situation demeure tendue. En effet, au soir du premier tour, le socialiste sortant Jean-Jack Queyranne, en deuxième position à moins d’un point derrière la liste de la majorité présidentielle[53], semble avoir soigneusement évité l’écologiste Philippe Meirieu, auteur du meilleur score d’Europe Écologie de ces régionales avec 17,83% des voix. Les négociations semblent donc tendues, Philippe Meirieu désirant malgré tout créer un front d’opposition à la majorité présidentielle, sans pour autant dissoudre Europe Écologie dans le Parti socialiste[57]. Il n’est cependant pas à oublier que la liste du Front de gauche d’Elisa Martin et ses 6,31% du premier tour est aussi en position de s’allier au second tour avec la liste de gauche unifiée.
Listes candidates
- Le 22 mars 2009, l'UMP a désigné ses chefs de file pour les élections régionales au terme d'élections primaires internes[58].
- Le 8 juillet 2009, le Nouveau Centre a désigné seize chefs de file pour les élections régionales[59].
- Le 20 septembre 2009, le Front national a désigné 22 têtes de liste.
- Le 1er octobre 2009, le Parti socialiste a désigné ses chefs de file pour les élections régionales[60], au terme d'un référendum militant où les socialistes étaient également appelés à se prononcer sur les primaires ouvertes, le non cumul des mandats et la parité.
- Le 24 novembre 2009, le Mouvement démocrate (MoDem) propose à ses adhérents des candidats à la tête de liste pour neuf régions[61]. Deux semaines plus tard, ces nominations se poursuivent avec huit régions supplémentaires. Les adhérents sont invités à ratifier ces choix par un vote électronique ouvert à partir du 14 décembre[62].
- Le 28 novembre 2009, l'UMP et ses alliés de la majorité présidentielle investissent finalement des têtes de liste communes dans toutes les régions[63].
- Le 28 novembre 2009, DLR investit ses chefs de files dans plusieurs régions[64]
- Le 12 décembre 2009, le Parti socialiste a ratifié en convention ses listes complètes[34].
- Le 10 janvier 2010, le Front de gauche élargi a présenté ses têtes de listes pour les régionales.
Métropole
Notes :
- Les listes de la Majorité présidentielle incluent, outre l'UMP et en fonction des circonstances locales, le Nouveau Centre, le Mouvement pour la France, Chasse, pêche, nature et traditions, La Gauche moderne, Les Progressistes, le Parti chrétien-démocrate, le Parti radical valoisien et des dissidents du Mouvement démocrate.
- Les alliés potentiels du Parti socialiste sont, en vertu d'un accord national entre ces trois organisations, le Parti radical de gauche (PRG) et le Mouvement républicain et citoyen (MRC)[65]. S'y ajoute le Parti communiste français dans cinq régions. Des formations de gauche actives localement, des candidats du Mouvement unitaire progressiste ainsi que des dissidents du Mouvement démocrate[66], des Verts[67] ou encore du Parti radical valoisien[68] peuvent également se joindre de manière ponctuelle aux listes menées par le PS.
- Les alliés potentiels du Front de gauche (FG), alliance du Parti communiste français, du Parti de gauche et de la Gauche unitaire sont, en fonction des circonstances locales, Les Alternatifs, la Fédération pour une alternative sociale et écologique (FASE), le Parti communiste des ouvriers de France (PCOF), le Mouvement politique d'éducation populaire (M'PEP), République et socialisme, des Objecteurs de croissance, des dissidents du Nouveau Parti anticapitaliste ainsi que plusieurs candidats indépendants issus d'horizons divers. Ces listes arborent généralement le nom « Ensemble pour des régions à gauche, solidaires, écologiques et citoyennes », en vertu d'un accord national entre les différentes organisations susnommées.
- Les alliés potentiels du NPA sont, en fonction des circonstances locales, Les Alternatifs, la Fédération pour une alternative sociale et écologique, l'Association des Objecteurs de croissance (AdOC), le Mouvement des Objecteurs de croissance (MOC) et d'anciens membres du Parti de gauche[69].
Alsace
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Philippe Richert* | Majorité présidentielle | 181 705 | 34,94 | |||||
Jacques Bigot | PS - PRG - MRC | 98 629 | 18,97 | |||||
Jacques Fernique | EÉ - Les Verts - AEI - Cap21 | 81 116 | 15,60 | |||||
Patrick Binder | FN | 70 171 | 13,49 | |||||
Jacques Cordonnier | Alsace d'abord - BI | 25 906 | 4,98 | |||||
Yann Wehrling | MoDem | 23 072 | 4,44 | |||||
Jean-Yves Causer | FG - Alternatifs - PCOF - DVG | 9 695 | 1,86 | |||||
Yvan Zimmermann | NPA | 8 550 | 1,64 | |||||
Manuel Santiago | Ecologie sociale, solidaire et décroissante | 8 376 | 1,61 | |||||
Patrick Striby | DVD - AC | 8 303 | 1,60 | |||||
Julien Wostyn | LO | 4 486 | 0,86 | |||||
Inscrits | 1 248 771 | 100,00 | ||||||
Abstention | 707 245 | 56,64 | ||||||
Votants | 541 526 | 43,36 | ||||||
Blancs et nuls | 21 517 | 3,97 | ||||||
Exprimés | 520 009 | 96,03 |
* liste du président sortant
Aquitaine
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Alain Rousset* | PS et alliés | 406 869 | 37,63 | |||||
Xavier Darcos | Majorité présidentielle | 238 367 | 22,05 | |||||
Jean Lassalle | MoDem | 112 737 | 10,43 | |||||
Monique De Marco | EÉ- Les Verts - PO - EA | 105 405 | 9,75 | |||||
Jacques Colombier | FN | 89 378 | 8,27 | |||||
Gérard Boulanger | FG - M'PEP | 64 370 | 5,95 | |||||
Philippe Poutou | NPA | 27 264 | 2,52 | |||||
Michel Chrétien | AEI | 20 943 | 1,94 | |||||
Nelly Malaty | LO | 8 522 | 0,79 | |||||
Jean Tellechea | REG (Euskadi Europan) | 7 092 | 0,66 | |||||
Xavier-Philippe Larralde | REG (EHB) | 250 | 0,02 | |||||
Inscrits | 2 280 556 | 100,00 | ||||||
Abstention | 1 150 340 | 50,44 | ||||||
Votants | 1 130 216 | 49,56 | ||||||
Blancs et nuls | 49 019 | 4,34 | ||||||
Exprimés | 1 081 197 | 95,66 |
* liste du président sortant
Auvergne
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Alain Marleix | Majorité présidentielle | 137 199 | 28,72 | |||||
René Souchon* | PS - PRG - MRC | 133 923 | 28,03 | |||||
André Chassaigne | FG - M'PEP | 68 050 | 14,24 | |||||
Christian Bouchardy | EÉ | 51 092 | 10,69 | |||||
Érik Faurot | FN | 40 098 | 8,39 | |||||
Michel Fanget | MoDem - AEI | 21 523 | 4,51 | |||||
Alain Laffont | NPA - FASE - OC | 20 031 | 4,19 | |||||
Marie Savre | LO | 5 832 | 1,22 | |||||
Inscrits | 995 311 | 100,00 | ||||||
Abstention | 495 284 | 49,76 | ||||||
Votants | 500 027 | 50,24 | ||||||
Blancs et nuls | 22 279 | 4,46 | ||||||
Exprimés | 477 748 | 95,54 |
* liste du président sortant
Bourgogne
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
François Patriat* | PS - PCF - PRG | 187 345 | 36,31 | |||||
François Sauvadet | Majorité présidentielle | 148 779 | 28,83 | |||||
Édouard Ferrand | FN | 62 147 | 12,04 | |||||
Philippe Hervieu | EÉ | 50 757 | 9,84 | |||||
Sylvie Faye Pastor | NPA - PG - PCF dissidents - Alternatifs - FASE - M'PEP - OC | 22 290 | 4,32 | |||||
François Deseille | MoDem | 19 464 | 3,77 | |||||
Julien Gonzalez | AEI | 10 524 | 2,04 | |||||
Claire Rocher | LO | 8 062 | 1,56 | |||||
Joël Mekhantar | MRC - PRG dissidents - PS dissidents | 6 641 | 1,29 | |||||
Inscrits | 1 165 620 | 100,00 | ||||||
Abstention | 626 570 | 53,75 | ||||||
Votants | 539 050 | 46,25 | ||||||
Blancs et nuls | 23 041 | 4,27 | ||||||
Exprimés | 516 009 | 95,73 |
* liste du président sortant
Bretagne
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Jean-Yves Le Drian* | PS - PCF et alliés | 408 554 | 37,19 | |||||
Bernadette Malgorn | Majorité présidentielle | 260 645 | 23,73 | |||||
Guy Hascoët | EÉ (Les Verts - UDB) | 134 112 | 12,21 | |||||
Jean-Paul Félix | FN | 67 870 | 6,18 | |||||
Bruno Joncour | MoDem | 58 841 | 5,36 | |||||
Christian Troadec | REG (PB - AEI) | 47 108 | 4,29 | |||||
Gérard Perron | Dissidents du PCF - PG - FASE - DVG | 38 559 | 3,51 | |||||
Charles Laot | Divers | 29 029 | 2,64 | |||||
Laurence de Bouard | NPA - AdOC - MOC - MPG[69] | 27 401 | 2,49 | |||||
Valérie Hamon | LO | 16 129 | 1,47 | |||||
Alexandre Noury | S&P | 10 306 | 0,94 | |||||
Inscrits | 2 332 929 | 100,00 | ||||||
Abstention | 1 193 911 | 51,18 | ||||||
Votants | 1 139 018 | 48,82 | ||||||
Blancs et nuls | 40 464 | 3,55 | ||||||
Exprimés | 1 098 554 | 96,45 |
* liste du président sortant
Centre
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Hervé Novelli | Majorité présidentielle | 227 408 | 29,02 | |||||
François Bonneau* | PS et alliés | 221 199 | 28,22 | |||||
Jean Delavergne | EÉ | 91 389 | 11,66 | |||||
Philippe Loiseau | FN | 87 864 | 11,21 | |||||
Marie-France Beaufils | FG - Alternatifs - PCOF | 59 050 | 7,53 | |||||
Marc Fesneau | MoDem | 39 818 | 5,08 | |||||
Jean Verdon | 27 841 | 3,55 | ||||||
Michel Lasserre | NPA | 20 341 | 2,60 | |||||
Farida Megdoud | LO | 8 839 | 1,13 | |||||
Inscrits | 1 779 802 | 100,00 | ||||||
Abstention | 953 519 | 53,57 | ||||||
Votants | 826 283 | 46,43 | ||||||
Blancs et nuls | 42 534 | 5,15 | ||||||
Exprimés | 783 749 | 44,04 |
* liste du président sortant
Champagne-Ardenne
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Jean-Luc Warsmann | Majorité présidentielle | 120 471 | 31,77 | |||||
Jean-Paul Bachy* | PS et alliés - PCF | 117 596 | 31,01 | |||||
Bruno Subtil | FN | 60 261 | 15,89 | |||||
Éric Loiselet | EÉ | 32 160 | 8,48 | |||||
Anthony Smith | NPA - PG - Alternatifs | 18 448 | 4,87 | |||||
Marie Grafteaux-Paillard | MoDem | 16 470 | 4,34 | |||||
Ghislain Wysocinski | AEI | 7 529 | 1,99 | |||||
Thomas Rose | LO | 6 244 | 1,65 | |||||
Inscrits | 917 774 | 100,00 | ||||||
Abstention | 522 704 | 56,95 | ||||||
Votants | 395 070 | 43,05 | ||||||
Blancs et nuls | 15 891 | 4,02 | ||||||
Exprimés | 379 179 | 95,98 |
* liste du président sortant
Corse
Compte tenu du statut particulier de la région Corse, les listes présentent un ticket : la présidence du Conseil exécutif de Corse (« le gouvernement »), la présidence de l'Assemblée de Corse (l'organe délibérant).
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Camille de Rocca Serra* | Majorité présidentielle | 27 903 | 21,34 | |||||
Gilles Simeoni | Nationalistes (Inseme - PNC) | 24 057 | 18,40 | |||||
Paul Giacobbi | PRG dissident - PS | 20 242 | 15,48 | |||||
Dominique Bucchini | FG | 13 108 | 10,02 | |||||
Jean-Guy Talamoni | Nationalistes (CL) | 12 236 | 9,36 | |||||
Émile Zuccarelli | PRG | 10 523 | 8,05 | |||||
Simon Renucci | CSD | 8 688 | 6,64 | |||||
Jean Toma | MoDem** | 5 554 | 4,25 | |||||
Antoine Cardi | FN | 5 438 | 4,16 | |||||
Jean-François Baccarelli | AEI | 2 426 | 1,86 | |||||
Jean-François Battini | Divers droite | 599 | 0,46 | |||||
Inscrits | 213 291 | 100,00 | ||||||
Abstention | 80 231 | 37,62 | ||||||
Votants | 133 060 | 62,38 | ||||||
Blancs et nuls | 2 286 | 1,72 | ||||||
Exprimés | 130 774 | 98,28 |
* liste du président sortant
** Jean Toma a précisé que sa liste « est une liste centriste d'ouverture soutenue par le Modem » mais que « il n'existe aucune "liste Modem" déposée en préfecture»[70].
Franche-Comté
Résultats des élections régionales en Franche-Comté[71] | |||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Liste[72] | Tête de liste[72] | Premier tour[73] | Second tour | ||||||
Voix | % | ±% | Voix | % | ±% | ||||
Majorité Présidentielle | Alain Joyandet | 128 225 | 32,13 | +7,29 | |||||
PS-MRC-PRG-DVG | Marie-Guite Dufay* | 119 159 | 29,86 | +7,94 | |||||
Verts-Europe Écologie | Alain Fousseret | 37 333 | 9,36 | ||||||
FN | Sophie Montel | 52 440 | 13,14 | -5,54 | |||||
Front de gauche | Evelyne Ternant | 16 171 | 4,05 | -0,13 | |||||
MoDem-AEI | Christophe Grudler | 14 036 | 3,52 | -9,82 | |||||
NPA | Laurence Lyonnais | 13 086 | 3,28 | -0,35 | |||||
LO | Michel Treppo | 4 314 | 1,08 | ||||||
PDF-MNR | Christophe Devillers | 9 820 | 2,46 | +0,98 | |||||
Écologie solidaire | Claude Buchot | 4 471 | 1,12 | +1,12 | |||||
Inscrits | 808 689 | ||||||||
Abstention | 393 822 | 48,70 | +12,42 | ||||||
Votants | 414 867 | 51,30 | -12,42 | ||||||
Blancs et nuls | 15 812 | 3,81 | -2,45 | ||||||
Exprimés | 399 055 | 96,19 | +2,45 |
* liste de la présidente sortante
Île-de-France
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Valérie Pécresse | Majorité présidentielle | 802 096 | 27,76 | |||||
Jean-Paul Huchon* | PS, PRG, MRC | 729 861 | 25,26 | |||||
Cécile Duflot | Europe Écologie - Les Verts, Cap21 | 479 039 | 16,58 | |||||
Marie-Christine Arnautu | FN | 268 313 | 9,28 | |||||
Pierre Laurent | FG - Alternatifs - PCOF - DVG | 189 187 | 6,55 | |||||
Nicolas Dupont-Aignan | DLR - CNI | 119 835 | 4,15 | |||||
Alain Dolium | MoDem - GÉ | 114 984 | 3,98 | |||||
Olivier Besancenot | NPA | 90 322 | 3,13 | |||||
Jean-Marc Governatori | AEI | 40 371 | 1,40 | |||||
Axel de Boer | Liste Chrétienne | 24 686 | 0,85 | |||||
Jean-Pierre Mercier | LO | 18 286 | 0,63 | |||||
Almamy Kanoute | Émergence | 12 242 | 0,42 | |||||
Inscrits | 6 764 464 | 100,00 | ||||||
Abstention | 3 795 226 | 56,11 | ||||||
Votants | 2 969 238 | 43,89 | ||||||
Blancs et nuls | 80 016 | 1,18 | ||||||
Exprimés | 2 889 222 | 42,72 |
* liste du président sortant
Languedoc-Roussillon
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Georges Frêche* | DVG - PRG - MRC - PS dissidents | 304 810 | 34,28 | |||||
Raymond Couderc | Majorité présidentielle | 174 519 | 19,63 | |||||
France Jamet | FN | 112 646 | 12,67 | |||||
Jean-Louis Roumégas | EÉ - Cap21 | 81 119 | 9,12 | |||||
René Revol | FG - NPA - Alternatifs - FASE - M'PEP - OC | 76 414 | 8,59 | |||||
Hélène Mandroux | PS | 68 788 | 7,74 | |||||
Patrice Drevet | AEI | 34 440 | 3,87 | |||||
Christian Jeanjean | CNI - PLD | 18 017 | 2,03 | |||||
Jean-Claude Martinez | 6 607 | 0,74 | ||||||
Richard Roudier | BI | 6 086 | 0,68 | |||||
Liberto Plana | LO | 5 628 | 0,63 | |||||
Inscrits | 1 852 857 | 100,00 | ||||||
Abstention | 931 314 | 50,26 | ||||||
Votants | 921 543 | 49,74 | ||||||
Blancs et nuls | 32 469 | 3,52 | ||||||
Exprimés | 889 074 | 96,48 |
* liste du président sortant
Limousin
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Jean-Paul Denanot* | PS et alliés | 106 152 | 38,06 | |||||
Raymond Archer | Majorité présidentielle | 67 381 | 24,16 | |||||
Christian Audouin | FG - NPA - Alternatifs - FASE - OC | 36 619 | 13,13 | |||||
Ghilaine Jeannot-Pagès | EÉ | 27 147 | 9,73 | |||||
Nicole Daccord-Gauthier | FN | 21 638 | 7,76 | |||||
Jean-Jacques Bélézy | MoDem | 9 925 | 3,56 | |||||
Jean-Louis Ranc | AEI | 5 665 | 2,03 | |||||
Elizabeth Faucon | LO | 4 366 | 1,57 | |||||
Inscrits | 547 750 | 100,00 | ||||||
Abstention | 253 082 | 46,20 | ||||||
Votants | 294 668 | 53,80 | ||||||
Blancs et nuls | 15 775 | 2,88 | ||||||
Exprimés | 278 893 | 50,92 |
* liste du président sortant
Lorraine
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Jean-Pierre Masseret* | PS et alliés - PCF | 227 060 | 34,36 | |||||
Laurent Hénart | Majorité présidentielle | 157 080 | 23,77 | |||||
Thierry Gourlot | FN | 98 286 | 14,87 | |||||
Daniel Béguin | EÉ - Cap21 | 60 516 | 9,16 | |||||
Claude Bellei | MoDem | 20 905 | 3,16 | |||||
Annick Martin | MNR - PDF | 19 850 | 3,00 | |||||
Philippe Leclercq | PCF dissidents - PG - Alternatifs - FASE - DVG | 19 809 | 3,00 | |||||
Jean-Claude Kaas | AEI | 16 277 | 2,46 | |||||
Jean-Luc André | DLR - CNI - Alliance centriste | 14 880 | 2,25 | |||||
Jean-Noël Bouet | NPA | 14 819 | 2,24 | |||||
Mario Rinaldi | LO | 8 537 | 1,29 | |||||
Victor Villa | Divers | 2 346 | 0,35 | |||||
Patrice Lefeuvre | Divers | 524 | 0,08 | |||||
Inscrits | 1 666 284 | 100,00 | ||||||
Abstention | 973 946 | 58,45 | ||||||
Votants | 692 338 | 41,55 | ||||||
Blancs et nuls | 31 449 | 4,54 | ||||||
Exprimés | 660 889 | 95,46 |
* liste du président sortant
Midi-Pyrénées
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Martin Malvy* | PS et alliés | 415 096 | 40,93 | |||||
Brigitte Barèges | Majorité présidentielle | 220 624 | 21,75 | |||||
Gérard Onesta | EÉ - MEI | 136 543 | 13,46 | |||||
Frédéric Cabrolier | FN | 95 689 | 9,44 | |||||
Christian Picquet | FG - M'PEP - R&S | 70 077 | 6,91 | |||||
Arnaud Lafon | MoDem | 38 290 | 3,78 | |||||
Myriam Martin | NPA - MOC | 29 319 | 2,89 | |||||
Sandra Torremocha | LO | 8 548 | 0,84 | |||||
Inscrits | 2 038 077 | |||||||
Abstention | 983 349 | 48,25 | ||||||
Votants | 1 054 728 | 51,75 | ||||||
Blancs et nuls | 40 542 | 1,99 | ||||||
Exprimés | 1 014 186 | 49,76 |
* liste du président sortant
Nord-Pas-de-Calais
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Daniel Percheron* | PS et alliés | 358 185 | 26,16 | |||||
Valérie Létard | Majorité présidentielle | 233 374 | 19,00 | |||||
Marine Le Pen | FN | 224 870 | 18,31 | |||||
Alain Bocquet | FG - Alternatifs - DVG | 132 450 | 10,78 | |||||
Jean-François Caron | EÉ - AEI | 126 989 | 10,34 | |||||
Olivier Henno | MoDem | 48 245 | 3,93 | |||||
François Dubout | CNI | 37 050 | 3,02 | |||||
Pascale Montel | NPA | 36 869 | 3,00 | |||||
Eric Pecqueur | LO | 17 700 | 1,44 | |||||
Mickaël Poillion | JA | 12 649 | 1,03 | |||||
Inscrits | 2 870 143 | 100,00 | ||||||
Abstention | 1 592 063 | 55,47 | ||||||
Votants | 1 278 080 | 44,53 | ||||||
Blancs et nuls | 49 699 | 1,73 | ||||||
Exprimés | 1 228 381 | 42,80 |
* liste du président sortant
Basse-Normandie
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Laurent Beauvais* | PS - PRG - PCF | 157 007 | 32,55 | |||||
Jean-François Le Grand | Majorité présidentielle | 133 558 | 27,69 | |||||
François Dufour | EÉ | 57 912 | 12,01 | |||||
Rodolphe Thomas | MoDem | 42 942 | 8,90 | |||||
Valérie Dupont | FN | 41 942 | 8,70 | |||||
Christine Coulon | NPA - PG | 24 046 | 4,99 | |||||
Fernand Le Rachinel | 17 898 | 3,71 | ||||||
Pierre Casevitz | LO | 6 982 | 1,45 | |||||
Inscrits | 1 067 233 | 100,00 | ||||||
Abstention | 564 166 | 52,86 | ||||||
Votants | 503 067 | 47,14 | ||||||
Blancs et nuls | 20 780 | 1,95 | ||||||
Exprimés | 482 287 | 45,19 |
* liste du président sortant
Haute-Normandie
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Alain Le Vern* | PS et alliés | 199 345 | 34,87 | |||||
Bruno Le Maire | Majorité présidentielle | 142 927 | 25,00 | |||||
Nicolas Bay | FN | 67 419 | 11,79 | |||||
Claude Taleb | EÉ - Cap21 | 52 164 | 9,12 | |||||
Sébastien Jumel | FG - R&S | 47 961 | 8,39 | |||||
Danielle Jeanne | MoDem | 16 460 | 2,88 | |||||
Christine Poupin | NPA | 14 633 | 2,56 | |||||
Brigitte Briere | DLR - CNI | 10 237 | 1,79 | |||||
Carl Lang | 8 363 | 1,46 | ||||||
Bernard Frau | AEI | 6 487 | 1,13 | |||||
Gisèle Lapeyre | LO | 5 686 | 0,99 | |||||
Inscrits | 1 278 883 | 100,00 | ||||||
Abstention | 685 769 | 53,62 | ||||||
Votants | 593 114 | 46,38 | ||||||
Blancs et nuls | 21 432 | 1,68 | ||||||
Exprimés | 571 682 | 44,70 |
* liste du président sortant
Pays de la Loire
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Jacques Auxiette* | PS et alliés | 405 103 | 34,36 | |||||
Christophe Béchu | Majorité présidentielle | 386 465 | 32,78 | |||||
Jean-Philippe Magnen | EÉ Cap21 | 160 830 | 13,64 | |||||
Brigitte Neveux | FN | 83 157 | 7,05 | |||||
Marc Gicquel | FG - NPA - Alternatifs - FASE - R&S | 58 897 | 5,00 | |||||
Patricia Gallerneau | MoDem - AEI | 53 879 | 4,57 | |||||
Eddy Le Beller | LO | 18 860 | 1,60 | |||||
Jacky Flippot | REG (PB AEI) | 11 669 | 0,99 | |||||
Inscrits | 2 551 783 | |||||||
Abstention | 1 320 742 | 51,76 | ||||||
Votants | 1 231 041 | 48,24 | ||||||
Blancs et nuls | 52 181 | 2,04 | ||||||
Exprimés | 1 178 860 | 46,20 |
* liste du président sortant
Picardie
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Claude Gewerc* | PS et alliés | 153 052 | 26,64 | |||||
Caroline Cayeux | Majorité présidentielle | 149 012 | 25,94 | |||||
Michel Guiniot | FN | 90 802 | 15,80 | |||||
Christophe Porquier | EÉ | 57 338 | 9,98 | |||||
Maxime Gremetz | PCF dissidents | 35 655 | 6,21 | |||||
Thierry Aury | FG - Alternatifs - PCOF - DVG | 30 719 | 5,35 | |||||
France Mathieu | MoDem - AEI - Cap21 | 21 492 | 3,94 | |||||
Sylvain Desbureaux | NPA | 17 267 | 3,01 | |||||
Thomas Joly | PDF - MNR | 11 625 | 2,02 | |||||
Roland Szpirko | LO | 7 555 | 1,32 | |||||
Inscrits | 1 322 097 | 100 | ||||||
Abstention | 719 829 | 54,45 | ||||||
Votants | 602 268 | 45,55 | ||||||
Blancs et nuls | 27 751 | 2,10 | ||||||
Exprimés | 574 517 | 43,45 |
* liste du président sortant
Poitou-Charentes
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Ségolène Royal* | PS - PRG - MRC - | 240 910 | 38,98 | |||||
Dominique Bussereau | Majorité présidentielle | 182 044 | 29,46 | |||||
Françoise Coutant | EÉ | 73 650 | 11,92 | |||||
Jean-Marc de Lacoste-Lareymondie | FN | 47 736 | 7,72 | |||||
Gisèle Jean | FG - PCOF - M'PEP | 28 803 | 4,66 | |||||
Pascal Monier | MoDem - AEI | 26 985 | 4,37 | |||||
Myriam Rossignol | NPA - Alternatifs - FASE | 11 431 | 1,85 | |||||
Ludovic Gaillard | LO | 6 451 | 1,04 | |||||
Inscrits | 1 284 487 | 100,00 | ||||||
Abstention | 640 772 | 49,89 | ||||||
Votants | 643 715 | 50,11 | ||||||
Blancs et nuls | 25 705 | 3,99 | ||||||
Exprimés | 618 010 | 96,01 |
* liste de la présidente sortante
Provence-Alpes-Côte d'Azur
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Thierry Mariani | Majorité présidentielle | 388 352 | 26,60 | |||||
Michel Vauzelle* | PS et alliés | 376 595 | 25,80 | |||||
Jean-Marie Le Pen | FN | 296 265 | 20,29 | |||||
Laurence Vichnievsky | EÉ - Cap21 | 159 431 | 10,92 | |||||
Jean-Marc Coppola | FG | 89 255 | 6,11 | |||||
Jacques Bompard | BI - PDF - MNR | 39 287 | 2,69 | |||||
Catherine Levraud | MoDem | 36 701 | 2,51 | |||||
Patrice Miran | AEI | 34 077 | 2,33 | |||||
Pierre Godard | NPA - Alternatifs - FASE | 30 810 | 2,11 | |||||
Isabelle Bonnet | LO | 9 049 | 0,62 | |||||
Inscrits | 3 346 999 | 100,00 | ||||||
Abstention | 1 844 968 | 55,12 | ||||||
Votants | 1 502 031 | 44,88 | ||||||
Blancs et nuls | 42 209 | 2,81 | ||||||
Exprimés | 1 459 822 | 97,19 |
* liste du président sortant
Rhône-Alpes
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Françoise Grossetête | Majorité présidentielle | 450 935 | 26,39 | |||||
Jean-Jack Queyranne* | PS et alliés | 433 987 | 25,40 | |||||
Philippe Meirieu | EÉ | 304 613 | 17,83 | |||||
Bruno Gollnisch | FN | 239 330 | 14,01 | |||||
Élisa Martin | FG - Alternatifs - PCOF - DVG | 107 768 | 6,31 | |||||
Azouz Begag | MoDem | 73 937 | 4,33 | |||||
Myriam Combet | NPA | 41 537 | 2,43 | |||||
Michel Dulac | DVD | 32 476 | 1,90 | |||||
Nathalie Arthaud | LO | 24 294 | 1,42 | |||||
Inscrits | 4 092 578 | 100,00 | ||||||
Abstention | 2 325 329 | 56,82 | ||||||
Votants | 1 767 249 | 43,18 | ||||||
Blancs et nuls | 58 372 | 3,30 | ||||||
Exprimés | 1 708 877 | 96,70 |
* liste du président sortant
Outre-mer
Guadeloupe
Tête de liste |
Liste | Premier tour | Sièges | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | # | % | |||||
Victorin Lurel* | PS - PPDG - Verts - MoDem | 78 261 | 56,51 | |||||
Blaise Aldo | Majorité présidentielle | 19 405 | 14,01 | |||||
Éric Jalton | DVG - GUSR - PCG - PSG - UPLG | 17 175 | 12,40 | |||||
Cédric Cornet | CDI | 9 634 | 6,96 | |||||
Jean-Marie Nomertin | LO - CO | 3 911 | 2,82 | |||||
Jeanny Marc | GUSR dissident | 3 903 | 2,82 | |||||
Octavie Losio | DVD (Nofwap) | 2 871 | 2,07 | |||||
Alain Plaisir | CIPPA | 1 958 | 1,41 | |||||
Alain Lesueur | DVG | 1 377 | 0,99 | |||||
Inscrits | 292 099 | 100,00 | ||||||
Abstention | 146 587 | 50,18 | ||||||
Votants | 145 512 | 49,82 | ||||||
Blancs et nuls | 7 017 | 4,82 | ||||||
Exprimés | 138 495 | 95,18 |
* liste du président sortant
Guyane
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Rodolphe Alexandre | Majorité présidentielle | 12 201 | 40,61 | |||||
Christiane Taubira | Walwari MDES | 6 916 | 23,02 | |||||
Joëlle Prévôt-Madère | DVD autonomiste | 2 225 | 7,41 | |||||
Gabriel Serville* | PSG | 1 845 | 6,14 | |||||
José Gaillou | EÉ | 1 582 | 5,27 | |||||
Chantal Berthelot | DVG | 1 532 | 5,10 | |||||
Gil Horth | FDG | 1 443 | 4,80 | |||||
Roger Arel | DVD | 1 274 | 4,24 | |||||
Gilbert Fossé | DVD autonomiste | 725 | 2,41 | |||||
Léon Jean-Baptiste-Édouard | PS | 301 | 1,00 | |||||
Inscrits | 69 659 | 100,00 | ||||||
Abstention | 38 703 | 55,56 | ||||||
Votants | 30 956 | 44,44 | ||||||
Blancs et nuls | 912 | 2,95 | ||||||
Exprimés | 30 044 | 97,05 |
* liste du président sortant
Martinique
Tête de liste |
Liste | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Serge Letchimy | PPM | 51 796 | 40,05 | |||||
Alfred Marie-Jeanne* | MIM | 41 595 | 32,16 | |||||
André Lesieur | Majorité présidentielle | 13 570 | 10,49 | |||||
Madeleine de Grandmaison | RDM | 8 866 | 6,85 | |||||
Pierre Samot | BPM | 5 131 | 3,97 | |||||
Ghislaine Joachim-Arnaud | CO | 3 507 | 2,71 | |||||
Guy Lordinot | DVG | 2 448 | 1,89 | |||||
Max Orville | MoDem | 1 348 | 1,04 | |||||
Jean-Claude Granier | DVD autonomiste | 1 082 | 0,84 | |||||
Inscrits | 301 281 | 100,00 | ||||||
Abstention | 167 367 | 55,55 | ||||||
Votants | 133 914 | 44,45 | ||||||
Blancs et nuls | 4 571 | 3,41 | ||||||
Exprimés | 129 343 | 96,59 |
* liste du président sortant
La Réunion
Tête de liste |
Liste[74] | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
Paul Vergès* | L'Alliance (PCR - Free Dom - MoDem)[75],[76] | 71 602 | 30,23 | |||||
Didier Robert | Majorité présidentielle | 62 581 | 26,42 | |||||
Michel Vergoz | PS | 30 941 | 13,06 | |||||
Jean-Paul Virapoullé | DVD | 15 952 | 6,73 | |||||
Nadia Ramassamy | DVD autonomiste - AMPR | 14 014 | 5,92 | |||||
André Thien-Ah-Koon | DVD | 12 734 | 5,38 | |||||
Eric Magamootoo | DVD autonomiste | 11 809 | 4,99 | |||||
Vincent Defaud | EÉ | 11 685 | 4,93 | |||||
Aniel Boyer | NR | 2 097 | 0,89 | |||||
Jean-Yves Payet | LO | 1 944 | 0,82 | |||||
Johny Arnachellum | DVD autonomiste | 1 267 | 0,53 | |||||
Daniel Pouny | DVD autonomiste - UDR | 231 | 0,10 | |||||
Inscrits | 550 442 | 100,00 | ||||||
Abstention | 300 570 | 54,61 | ||||||
Votants | 249 872 | 45,39 | ||||||
Blancs et nuls | 13 015 | 2,36 | ||||||
Exprimés | 236 857 | 43,03 |
* liste du président sortant
Sondages de premier tour
Les sondages sur les intentions de vote mesurent essentiellement les rapports de force entre partis politiques. Leurs marges d'erreur sont de 4,5 % pour 500 personnes interrogées, 3,2 % pour 1000, 2,2 % pour 2000 et 1,6 % pour 4000[77].
Récapitulatif national des intentions de vote
Listes | OpinionWay 1/10/2009 [78] |
CSA 1/10/2009[79] |
OpinionWay 29/10/2009[80] |
OpinionWay 19/11/2009[81] |
Ifop 20/11/2009[82] |
OpinionWay 10/12/2009[83] |
CSA 17/01/2010[84] |
Ifop 26/01/2010[85] |
TNS Sofres 04/02/2010[86] |
OpinionWay 08/02/2010[87] |
CSA 14/02/2010[88] |
Ifop 17/02/2010[89] | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Lutte ouvrière | non testé | 3 % | non testé | non testé | 2 % | 2 % | 3 % | 2 % | 3 % | 1 % | 2 % | 1 % | |
NPA | 5 % | 6 % | 5 % | 4 % | 4 % | 4 % | 5 % | 3 % | 3,5 % | 4 % | 3 % | 2,5 % | |
Front de gauche[90] | 8 % | 6 % | 6 % | 6 % | 7 % | 4 % | 6 % | 6 % | 6 % | 6 % | 4 % | 7 % | |
PS et alliés[91] | 19 % | 21 % | 21 % | 22 % | 21 % | 23 % | 22 % | 27 % | 28 % | 27 % | 27 % | 29 % | |
Europe Écologie[92] | 16 % | 17 % | 15 % | 16 % | 15 % | 14 % | 15 % | 13 % | 13 % | 10 % | 13 % | 11 % | |
MoDem | 7 % | 8 % | 6 % | 7 % | 6 % | 8 % | 9 % | 6,5 % | 4 % | 6 % | 5 % | 5 % | |
Majorité présidentielle[93] | 36 % | 31 % | 33 % | 31 % | 30 % | 30 % | 33 % | 27 % | 30 % | 30 % | 33 % | 29,5 % | |
FN | 6 % | 8 % | 9 % | 9 % | 8 % | 10 % | 7 % | 8,5 % | 8,5 % | 9 % | 8 % | 9 % | |
Autres | 3 % | non testé | 5 % | 5 % | 7 % | 5 % | non testé | 6 % | 5 % | 7 % | 5 % | 5 % | |
Personnes interrogées | 1032 | 863 | 966 | 1002 | 860 | 989 | 880 | 853 | 1000 | 1014 | 798 | 853 |
Listes | OpinionWay 20/02/2010[94] |
Ifop 28/02/2010[95] |
CSA 01/03/2010[96] |
TNS Sofres 04/03/2010[97] |
OpinionWay 05/03/2010[98] |
CSA 06/03/2010[99] |
Ifop 09/03/2010[100] |
OpinionWay 12/03/2010[101] |
CSA 12/03/2010[102] |
TNS Sofres 12/03/2010[103] | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Lutte ouvrière | 1 % | 1,5 % | 2 % | 2,5 % | 1 % | 2 % | 1,5 % | 2 % | 1 % | 2 % | |
NPA | 2 % | 2 % | 2 % | 1,5 % | 3 % | 2 % | 1,5 % | 2 % | 2,5 % | 1,5 % | |
Front de gauche[90] | 5 % | 7,5 % | 5 % | 7 % | 6 % | 6 % | 7,5 % | 7 % | 6 % | 5,5 % | |
PS et alliés[91] | 26 % | 31 % | 30 % | 28 % | 27 % | 31 % | 29,5 % | 27 % | 29,5 % | 30 % | |
Europe Écologie[92] | 14 % | 13 % | 15 % | 12 % | 13 % | 14 % | 12 % | 13 % | 15 % | 14 % | |
MoDem | 5 % | 4 % | 5 % | 4 % | 5 % | 5 % | 4,5 % | 5 % | 4,5 % | 4,5 % | |
Majorité présidentielle[93] | 32 % | 27,5 % | 29 % | 30 % | 31 % | 27 % | 29,5 % | 29,5 % | 27,5 % | 29 % | |
FN | 9 % | 9,5 % | 8 % | 8 % | 9 % | 9 % | 9 % | 9 % | 9,5 % | 8,5 % | |
Autres | 6 % | 4 % | 4 % | 7 % | 5 % | 4 % | 5 % | 5,5 % | 3,5 % | 5 % | |
Personnes interrogées | 1001 | 826 | 792 | 1000 | 990 | 820 | 830 | 1009 | 801 | 1000 |
Notes :
- La catégorie « autres » rassemble les listes de l'Alliance écologiste indépendante, des listes d'extrême droite (Ligue du sud en PACA, Ligue du Midi en Languedoc-Roussillon, Parti de la France), divers droite (CNI, Alternative libérale), régionalistes.
- Les intentions de vote en faveur des listes communes Front de gauche / NPA dans les régions Languedoc-Roussillon, Limousin et Pays de la Loire, testées dans une catégorie à part par l'institut Ifop, sont ici ajoutées aux intentions de vote des listes Front de gauche comme le font d'emblée les autres instituts.
Sondages par région
- Alsace:
- Sondage Ifop pour Paris Match, L’Alsace et Public Sénat réalisé du 28 au 30 janvier 2010 auprès d'un échantillon représentatif de 803 personnes. « Sondage : L’Alsace voit Vert aux élections régionales, Paris Match, 03/02/2010.
- Sondage CSA pour Le Parisien/Aujourd'hui en France du 23 au 24 février 2010 : La gauche gagnerait les élections régionales en Alsace, 01/03/2010.
- Sondage TNS Sofres pour DNA, France Bleu Alsace, France 3 Alsace, 6 mars 2010 : L'Alsace resterait à droite
- Sondage OpinionWay-Fiducial pour Le Figaro, LCI et RTL, 8 mars 2010 : Alsace : l'UMP reprend la tête dans les sondages
- Aquitaine:
- Sondage Ifop pour Sud Ouest et TV7. Les intentions de vote aux élections régionales en Aquitaine, 25/02/2010.
- Centre :
- Sondage Ifop pour La Lettre de l'opinion réalisé du 25 au 28 janvier : « Un sondage donne gauche et droite au coude à coude », Libération Orléans, 02/02/2010.
- Sondage TNS Sofres pour le Parti socialiste rendu public le 19 février 2010. « Novelli battu dans la région Centre », Paris Match, 19/02/2010.
- Sondage CSA pour Le Parisien/Aujourd'hui en France du 24 au 25 février 2010 : Bonneau l'emporterait très largement, 01/03/2010.
- Sondage Ifop pour La Nouvelle République du 25 au 27 février 2010 : « Région Centre : UMP en tête au premier tour mais PS gagnant au second », 03/03/2010.
- Sondage Opinionway-Fiducial pour Le Figaro, LCI et RTL : « Centre : en tête au 1er tour, Novelli bien distancé au 2nd », 09/03/2010
- Champagne-Ardenne :
- Sondage Opinionway-Fiducial pour Le Figaro et LCI, 22 février 2010 : « Baromètre des élections régionales en Champagne-Ardenne»
- Corse :
- Sondage Ifop pour France 3 Corse, Frequenza Mora et le magazine Corsica, octobre 2009. Le sondage qui remet la gauche en selle sans désarçonner la droite…
- Sondage Ifop pour France 3 Corse, Frequenza Mora et le magazine Corsica, . « Corse : basculement à gauche en mars ? »
- Sondage OpinionWay-Fiducial pour Le Figaro, LCI, RTL et Corse Matin du 24 au 26 février 2010 : Régionales : la gauche donnée gagnante en Corse, 01/03/2010.
- Sondage Ifop pour le quotidien 24 ore et France 3 Corse, . Régionales: la gauche remporterait les élections territoriales en Corse
- Île-de-France :
- Sondage Ifop pour DLR, le 5 octobre. « Le climat politique en Île-de-France »
- Sondage Opinionway pour Le Figaro, 10 décembre 2009 : « Baromètre des élections régionales »
- Sondage Ifop pour Le JDD, 11 décembre 2009 : « Huchon tient bon »
- Sondage Ifop pour Valeurs Actuelles, 14 janvier 2010 : « Régionales en IdF: au 1er tour: Pécresse 32%, Huchon 24%, Duflot 17% »
- Sondage Sofres pour Valérie Pécresse, 7 février 2010 : « Ile-de-France: Le sondage de Pécresse »
- Sondage Opinionway pour Le Figaro, 8 février 2010 : « Baromètre des élections régionales »
- Sondage CSA pour Le Parisien/Aujourd'hui en France, 14 février 2010 : Intentions de vote en région Île-de-France dans la perspective des élections régionales de mars 2010
- Sondage TNS Sofres-Logica pour Le Monde, Radio France et France Télévision, 18 février 2010 : Régionales IDF: Huchon donné vainqueur
- Sondage Ifop et Maximiles pour le JDD, 27 février 2010. IdF: Huchon, forte tête
- Sondage TNS-Sofres-Logica réalisé pour Le Monde, France 2, France 3 et France Inter, les 6 et 8 mars. « Percée des écologistes en Île de France »
- Sondage OpinionWay–Fiducial pour Le Figaro, LCI et RTL, 12 mars 2010. « Huchon garde l'avantage sur Pécresse »
- Languedoc-Roussillon :
- Sondage Ifop pour le PS, 10 juillet 2009. « Le climat politique en Languedoc-Roussillon dans la perspective des élections régionales de 2010 », 30/09/2009.
- Sondage BVA, 29 octobre 2009. « Elections régionales 2010 : Intentions de vote en Languedoc Roussillon »,
- Sondage TNS Sofres pour le PS, 20 janvier 2010. « Sondage sur les régionales : une belle opération pour Frêche ».
- Sondage Opinion Way pour Europe Écologie, 6 février 2010. « Après le remue-ménage politique, les candidats naviguent à la sonde », Midi libre.
- Sondage TNS Sofres/Logica pour Midi-Libre, L'indépendant et France Bleu, 9 février 2010. « Les intentions de vote aux élections régionales 2010 en Languedoc-Roussillon »
- Sondage Opinionway-Fiducial pour le Figaro et LCI, 17 février 2010 : « Baromètre des élections régionales en Languedoc-Roussillon »
- Sondage BVA pour La Gazette de Montpellier, 25 février 2010 : « Georges Frêche toujours en tête et même en hausse »
- Sondage IFOP pour Midi Libre et L'Indépendant, 7 mars 2010 : « Sondage : à une semaine du vote, Frêche inamovible »
- Sondage TNS Sofres/Logica pour France Bleu Hérault et France 3 Sud, 8 mars 2010 : « Frêche donné gagnant dans tous les cas de figure »
- Lorraine :
- Sondage TNS Sofres/Logica pour France Bleu Lorraine, L'Est Républicain et Le Républicain Lorrain réalisé du 26 février au 1er mars 2010 : Pierre Masseret donné gagnant, 04/03/2010.
- Midi-Pyrénées :
- Sondage CSA, 4 décembre 2009. « Régionales. Martin Malvy : le premier sondage CSA le donne favori »
- Sondage BVA pour 20 minutes, 26 février 2010. « Martin Malvy toujours en tête »
- Sondage IFOP pour Midi Libre, Centre Presse, Sud Radio et Sud Ouest, 4 mars 2010. « La gauche donnée gagnante en Midi-Pyrénées »
- Sondage TNS Sofres/Logica pour La Dépêche du Midi et France 3 Midi-Pyrénées , 5 mars 2010. « Malvy même sans les Verts »
- Nord-Pas-de-Calais :
- Sondage IFOP pour La Voix du Nord, 28 février 2010 : « Létard donnée largement battue par le PS »
- Haute-Normandie:
- Sondage TNS Sofres/Logica pour Paris-Normandie, Le Havre Libre, France 3 et France Bleu Haute-Normandie, 8 mars 2010 : Haute-Normandie: la gauche en tête
- Basse-Normandie:
- Sondage TNS Sofres/Logica pour France Bleu Basse-Normandie, 8 mars 2010 : Laurent Beauvais l'emporterait avec 57%
- Pays de la Loire :
- Sondage Opinionway-Fiducial pour Le Figaro, LCI et RTL, 3 mars 2010 : « Baromètre des élections régionales en Pays de la Loire »
- Picardie :
- Sondage IFOP pour Le Courrier picard.« Régionales : avantage à la gauche », 09/03/2010.
- Poitou-Charentes :
- Sondage IFOP pour La Nouvelle République, Public Sénat et Paris Match. « Vers une large réélection de Ségolène Royal », 10/02/2010.
- Sondage Opinionway-Fiducial pour Le Figaro et LCI. « Poitou-Charentes: Royal l'emporterait à 58% », 15/02/2010.
- Sondage IFOP pour Sud Ouest. Poitou-Charentes: « Royal accroît son avance le 14 mars, gagne nettement le 21 », 03/03/2010.
- PACA :
- Sondage pour l'UMP, fin septembre 2009. « En Paca, la droite cherche toujours sa tête de liste », Le Figaro, 02/10/2009.
- Sondage Opinionway-Fiducial pour Le Figaro, 29 Octobre. Paca : Vauzelle fait la course en tête et devance Mariani
- Sondage ISAMA pour le Parti socialiste, 20 Janvier. En PACA, un sondage donne le socialiste Vauzelle gagnant
- Sondage Opinionway pour l'AEI, 5 février Sondage Paca : les écologistes reprennent des couleurs
- Sondage Opinionway pour Le Figaro et LCI, 10 février 2010. « En Paca, Mariani progresse et talonne Vauzelle »
- Sondage TNS Sofres pour Le Monde, France 2, France 3 et France Inter, 11 février 2010. « Le socialiste Michel Vauzelle en position de conserver la région PACA »
- Sondage IFOP pour La Provence, Public Sénat et Paris Match, 24 février 2010. « Michel Vauzelle en mesure de conserver cette région dans le giron de la gauche »
- Sondage TNS-Sofres/Logica réalisé pour Le Monde, France 2, France 3 et France Inter, du 6 au 8 mars. « M. Vauzelle conforte sa position favori en Provence-Alpes-Côte d'Azur »
- Rhône-Alpes :
- Sondage TNS-Sofres/Logica pour Mag2Lyon, 29 août 2009. « Queyranne donné vainqueur dans tous les cas de figure par un sondage », Le Progrès, 04/09/2009.
- Sondage Viavoice confidentiel, réalisé entre le 20 octobre et le 3 novembre 2009, révélé par Lyon Capitale le 3 décembre 2009: « Europe Écologie devant le PS »
- Sondage Opinionway pour Le Figaro, 20 novembre 2009 : « Baromètre des élections régionales »
- Sondage TNS Sofres/Logica/Le Dauphiné libéré, 9 mars 2009 : « Sondage exclusif: Les résultats en détail »
- Sondage OpinionWay – Fiducial pour Le Figaro/LCI/RTL« Baromètre des élections régionales en Rhône Alpes»
- Sondage BVA pour le Nouvel Observateur « Intentions de vote dans la région Rhône-Alpes »
Résultats et analyses
Une très forte abstention (53%), regrettée par la plupart des partis politiques, a marqué le premier tour.
La gauche
La gauche est largement majoritaire par rapport à l'UMP et ses alliés. Le PS est ainsi arrivé, au niveau national, devant l'UMP, et dispose de renforts de voix importants. Europe Ecologie, sans parvenir à rééditer l'excellent score obtenu aux élections européennes de 2009, tire largement son épingle du jeu et confirme son titre de troisième parti de France, avec un score national à deux chiffres. Le Front de Gauche s'impose également comme un partenaire non négligeable, en dépassant les 5% au niveau national.
Seul point noir en perspective: le Languedoc Roussillon, où ni le PS, ni Europe Ecologie, ni le Front de Gauche, n'ont franchi les 10%.
L'extrême-gauche
Le NPA, qui avait décidé dans la plupart des régions de faire cavalier seul, a constaté l'échec de cette stratégie; dans aucune des régions où il s'est présenté seul, il ne dépasse les 5% (seuil nécessaire à la fusion) et son leader, Olivier Besancenot, n'a fait que 3% en Ile de France, score que lui-même considère comme mauvais. Quant à la Lutte Ouvrière, qui s'est présentée sans aucun allié, son score très faible la marginalise.
La droite parlementaire
L'UMP, à l'échelle nationale, est à trois points derrière le PS, mais surtout, n'a aucune réserve de voix. Elle risque en plus d'être victime de triangulaires avec le Front National.
L'extrême droite
Le FN, que certains instituts de sondage disaient hors jeu, a réalisé une performance supérieure à ce qu'on lui promettait (11%), sans parvenir à rééditer ses très bons scores aux élections régionales de 2004. Il pourra ainsi se maintenir et provoquer des triangulaires quasi sûrement fatales à la droite.
Les autres mouvements (Parti de la France, Mouvement National Républicain, Bloc Identitaire, etc.) plafonnent, là où ils se sont présentés, à entre 1.46% et 4.98%.
Le centre
Le Mouvement démocrate est le grand perdant de ce scrutin. Il ne franchit le seuil de 5% nécessaire à la fusion que dans trois régions, dont une où il franchit également le seuil de 10% (en Pyrénées-Atlantique). Mme Lepage, vice-présidente du MoDem, a plusieurs fois dénoncé des erreurs stratégiques et envisage que son mouvement, Cap21, quitte le MoDem après les élections.
Le deuxième tour
Compte tenu du score relativement bas de l'UMP, de son absence de réserve de voix et des nombreuses triangulaires qui se profilent, la gauche parlementaire espère remporter la plupart des régions de France.
Seul espoir de salut pour l'UMP: que les absentionnistes aillent massivement voter pour ses listes.
Premier tour
Nuance | Composantes | Premier tour | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | % | |||||||
PS et alliés | PS, PRG, MRC | 5 673 918 | 29,13 % | |||||
Majorité présidentielle | UMP, NC et alliés | 5 066 826 | 26,02 % | |||||
Europe Écologie | Les Verts, F&S | 2 372 340 | 12,18 % | |||||
Front national | FN | 2 223 760 | 11,42 % | |||||
Front de gauche et alliés | PCF, PG, GU, Les Alternatifs | 1 137 153 | 5,84 % | |||||
Mouvement démocrate et alliés | MoDem, alliés variables | 817 608 | 4,20 % | |||||
Extrême gauche | NPA, LO | 662 199 | 3,40 % | |||||
Divers gauche | Variables | 594 947 | 3,05 % | |||||
Divers droite | Variables | 241 153 | 1,24 % | |||||
Autres | SE, RÉG, EXD | 685 809 | 3,52 % | |||||
Inscrits | 43 640 059 | |||||||
Abstentions | 23 407 608 | 53,64 % | ||||||
Votants | 20 232 451 | 46,36 % | ||||||
Blancs et nuls | 756 738 | 3,74 % | ||||||
Exprimés | 19 475 713 | 96,26 % |
Réactions
A droite, François Fillon, comme Frédéric Lefebvre, déclare que « rien n'est joué pour le second tour dans de nombreuses régions françaises »[104]. Ivan Rioufol, chroniqueur de Le Figaro, estime que le « plébiscite anti-Sarkozy, rêvé par l'opposition, n'a pas pris (51% des sondés) ». Pour Laurent Wauquiez, le secrétaire d'Etat à l'Emploi, le «seul vainqueur par KO » est « l'abstention»[105].
Second tour
Notes et références
- Communiqué d'Alain Marleix, secrétaire d'État chargé des Collectivités territoriales, le 4 novembre 2009
- « Régionales : quatre signaux d'alarme pour Nicolas Sarkozy », Le Monde, 15 mars 2010.
- La controverse porte tant sur le mode de scrutin inédit en France, que sur la réduction du nombre de sièges, le risque sur la parité et les répartitions des compétences . de plus il s'y ajoute la controverse sur le financement des collectivités locales avec la suppression de la taxe professionnelle
- Comité Balladur : « Big Bang » territorial en perspective, Libération, 24 février 2009
- Dépêche AFP, « Alliance pour les régionales : nouvelle réunion PCF-PG-NPA le 16 octobre », Le Monde, 8 octobre 2009.
- G. Andrieu, « Régionales: la ronde infernale de la gauche de la gauche », Marianne, 29 septembre 2009.
- Le Monde du 26/10/2009
- Régionales : le PCF reconduit le Front de gauche dans au moins 17 régions, Julie DUCOURAU pour l'AFP, 23/11/2009
- « Fête de l'Huma. Des désaccords à l'affiche », Patrick Hernot pour Le Télégramme, 30 novembre 2009
- Régionales : les vice-présidents communistes avec Georges Frêche, [[L'Indépendant (journal français)|]]
- Le PCF partira sur deux listes distinctes dans les Pays de la Loire, L'Humanité,
- Aucun accord n'a put être trouvé en Corse, où le PG a rompu les négociations, laissant le seul PCF à la tête du rassemblement
- « Régionales: le NPA seul presque partout », Le Figaro (dépêche AFP), (consulté le )
- http://www.leparisien.fr/flash-actualite-politique/regionales-lutte-ouvriere-presente-pour-defendre-les-travailleurs-face-a-la-crise-07-12-2009-736184.php
- « Résolution sur les régionales (CAN du 5 déc 2009) », sur le site national de la FASE
- « Les Alternatifs avec le Front de gauche », L'Humanité, 15/12/2009
- « NPA BRETAGNE : Notre démarche unitaire », Mediapart, 13/12/2009
- http://www.alliance-ecologiste-independante.fr/presentation-des-tetes-de-liste-le-24-novembre-a-11-h.html
- http://www.lemonde.fr/elections-regionales/article/2010/02/09/alain-joyandet-ump-doit-se-garder-a-droite_1303209_1293905.html
- http://ge-nord-pas-de-calais.over-blog.com/article-lancement-de-campagne-ce-matin-pour-la-liste-alliance-ecologiste-independante-modem-44394168.html
- http://nordpasdecalaisdemocrate.fr/2010/02/11/liste-henno-nord-pas-de-calais/
- http://nordpasdecalaisdemocrate.fr/programme/presentation-du-programme-2/
- http://lesecologistesducalaisis.hautetfort.com/
- Affiche d'Alain Dolium
- http://www.romandie.com/infos/news2/091124163527.w2vhbero.asp
- http://www.lepoint.fr/actualites-politique/2010-02-17/regionales-modem-lepage-nous-aurons-a-tirer-des-consequences-apres-les/917/0/425134
- http://www.liberation.fr/politiques/0101610274-partis-du-ps-ou-du-pcf-l-itineraire-de-convertis-a-europe-ecologie Partis du PS ou du PCF: l'itinéraire de convertis à Europe Écologie Libération du 23/12/09
- http://www.regions-europe-ecologie.fr/ site d'Europe Écologie
- http://www.mei-fr.org/communique_type.php?id_communiques=314 communiqué du MEI Alsace
- « Régionales: Antoine Waechter sera sur la liste Europe-Écologie en Alsace », AFP, 25 novembre 2009
- Libération du 09/01/2009
- http://www.prgsaintmalo.org/archive/2010/02/23/les-radicaux-de-gauche-soutiennent-europe-ecologie.html
- Le PS a ratifié ses listes, malgré des protestations.
- « Aubry a lancé à Tours sa campagne pour "gagner toutes les régions" », Agence France Presse, (consulté le )
- http://www.leparisien.fr/politique/regionales-royal-propose-une-alliance-des-le-1er-tour-au-modem-05-12-2009-734516.php
- http://www.lemonde.fr/politique/article/2010/01/16/regionales-le-modem-de-charente-maritime-accepte-l-alliance-avec-royal_1292793_823448.html
- Midi-Libre du 13/12/2007
- Le Monde du 24/10/2009
- « Corinne Lepage souhaite “un rassemblement entre démocrates et écologistes” », L'Express, 26 octobre 2009.
- Le Figaro du 16/12/2009
- http://www.lavoixdunord.fr/actualite/L_info_en_continu/Artois/2009/12/04/article_congr-egrave-s-national-du-modem-agrave.shtml congrès du Modem à Arras
- Le Figaro du 19/11/2009 Régionales, les ministres sur le front
- http://fr.novopress.info/47235/jacques-bompard-reprend-sa-totale-independance/ Jacques Bompard reprend sa totale indépendance, Communiqué de presse relayé par Novopress, 29 janvier 2010
- Midi-Libre du 09-12-2009 Une candidature chaotique
- Midi-Libre du 13/12/2007
- Midi-Libre du 15-12-2009 Mandroux encourage Vezinhet
- Le Figaro du 28/01/2010
- http://www.midilibre.com/articles/2010/02/06/A-la-Une-Marc-Dufour-redevient-la-tete-de-liste-du-MoDem-1102011.php5 Midi-Libre du 06/0/02/10
- http://www.midilibre.com/articles/2010/02/14/DERNIERE-MINUTE-REGIONALES-Pas-de-liste-MoDem-en-Languedoc-Roussillon-1112637.php5 Midi-Libre Régionales - Pas de liste MoDem en Languedoc-Roussillon
- Présentation des têtes de liste régionales, site de l'UMP
- Yannick Povillon, « Jeanjean lance officiellement sa campagne pour les élections régionales », Midi libre, 12 septembre 2009 ; page consultée le 12 septembre 2009.
- Publication des têtes de liste investies par le Front national sur le site du FN, 20 septembre 2009.
- Carte interactive des élections régionales 2010 sur Public Sénat
- Malvy Onesta : accord signé pour le second tour sur Libération
- Régionales : l’accord à gauche en bonne voie dans les Pays de la Loire sur Ouest-France
- Régionales : l’accord est en bonne voie entre Vauzelle, Vichnievsky et Coppola sur La Provence
- Rhône-Alpes : négociations tendues à gauche sur Le Monde
- Site officiel de l'UMP - communiqué du 22 mars 2009 « Candidats aux primaires pour les régionales de 2010 : les résultats »
- Site officiel du Nouveau Centre - communiqué du 8 juillet 2009 « Chefs de file pour les élections régionales de 2010 »
- « Régionales 2010: les têtes de liste PS », Le Figaro, 10 octobre 2009.
- Élections régionales : le Mouvement Démocrate propose les premières têtes de liste, site officiel du MoDem, consulté le 15 décembre 2009.
- Élections régionales : les premières dates pour le vote des adhérents et les noms des chefs de file proposés, site officiel du MoDem, consulté le 15 décembre 2009.
- Reuters, « L'UMP investit ses têtes de liste pour les régionales », L'Express, 28/11/2009
- [1]
- « Régionales : accord PS-MRC-PRG signé Régionales : accord PS-MRC-PRG signé », Le Figaro, 10/02/2010
- « Le MoDem de Charente-Maritime rallie Ségolène Royal pour le scrutin de mars », Sophie Landrin et Jean-Michel Normand pour Le Monde, 18/01/2010
- « Royal fédère les dissidents au 1er tour », Frédéric Durand pour L'Humanité, 18/01/2010
- « Rhône-Alpes: un élu du Parti radical rejoint le PS », Le Nouvel Observateur, 05/02/2010
- Militer Pour la Gauche, « Cette association a pour but de fédérer les sympathisants et les militants issus du Parti de Gauche en Bretagne souhaitant s'investir, lors des élections régionales des 14 et 21 Mars 2010, auprès de la liste VraimenT A Gauche ! Liste unitaire anticapitaliste et pour une écologie radicale et œuvrer à son élargissement sur la base du protocole d'accord signé le 10 Décembre 2009 à Pontivy entre le NPA, l'AdOC, le MOC, le comité du Parti de Gauche des Côtes d'Armor et des militants du Parti de Gauche des autres départements bretons. »
- Corse: Commission des sondages saisie AFP sur lefigaro.fr
- Les listes ci-dessous ont été validées en préfecture, le 15 février 2010
- Franche-Comté : 10 listes candidates
- Résultats du premier tour des régionales en Franche-Comté sur le site du Ministère de l'intérieur
- (fr)« Elections régionales 2010 », Le Quotidien de La Réunion, (lire en ligne)
- (Clicanoo.com) Régionales : 12 listes encourse
- (Clicanoo.com) : Vergès oppose sa liste de rassemblement aux divisions de la droite
- Quelle est la marge d’erreur d’un sondage ?
- « Intentions de vote aux élections régionales de 2010 »] sur le site d'Opinion Way, octobre 2009
- [PDF] « Les intentions de vote aux élections régionales de mars 2010 - résultats détaillés » sur le site de CSA, octobre 2009
- «Les intentions de vote aux élections régionales de mars 2010 - résultats détaillés » sur le site d'OpinionWay, fin octobre 2009
- [PDF] « Intentions de vote dans la perspective des élections régionales » sur le site d’OpinionWay, novembre 2009
- « Intentions de vote dans la perspective des élections régionales » sur le site de Paris-Match, 24 novembre 2009
- [PDF] « Intentions de vote dans la perspective des élections régionales » sur le site d’OpinionWay, décembre 2009
- Régionales: 33% UMP, 22% PS, 15% écologistes selon un sondage CSA
- Les intentions de vote aux élections régionales de 2010 à deux mois du scrutin
- Les intentions de vote aux élections régionales de 2010 à un mois et demi du scrutin
- [http://www.lefigaro.fr/assets/pdf/regionales-fev.pdf Baromètre des élections régionales]
- [2]
- Les intentions de vote aux élections régionales de 2010 à moins d'un mois du scrutin
- Listes d'union du PCF, du PG, de la GU, d'ADS-CAP, de République et socialisme et du M'PEP.
- Le Parti radical de gauche, le Mouvement républicain et citoyen, des groupements locaux comme l'Alternative démocratie socialisme ainsi que le Parti communiste français dans quelques régions
- Listes d'union des Verts et de plusieurs groupements ou personnalités écologistes comme Daniel Cohn-Bendit et José Bové
- Union pour un mouvement populaire, et les partis du comité de liaison : le Nouveau Centre, le Mouvement pour la France, Chasse, pêche, nature et traditions, le Parti radical, La Gauche moderne, les Progressistes et le Forum des républicains sociaux
- Verts et UMP progressent à trois semaines des régionales
- Sondage: le PS passe devant l'UMP
- Sondage CSA pour le Parisien/Aujourd'hui en France, édition du lundi 1er mars
- Régionales: les listes de droite à 31% des intentions de vote, selon un sondage
- [http://www.lefigaro.fr/assets/pdf/BarometreOpinionWayFiducialdeselectionsregionales_5%20mars.pdf Baromètre OpinionWay Fiucial des élections régionales]
- Sondage CSA pour le Parisien/Aujourd'hui en France, édition du samedi 6 mars 2010
- Sondage Ifop pour Paris-Match, mardi 9 mars 2010
- « Baromètre OpinionWay – Fiducial pour Le Figaro/LCI/RTL », vendredi 12 mars
- Sondage CSA pour le Parisien/Aujourd'hui en France, édition du vendredi 12 mars 2010
- Régionales : le PS pour la première fois devant l’UMP (sondage)e
- François Fillon : «Rien n'est joué pour le second tour», le figaro.fr
- François Fillon : «Rien n'est joué pour le second tour», le figaro.fr
Voir aussi
Articles connexes
- Élections régionales en France
- Élections régionales françaises de 2004
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