1955 en dadaïsme et surréalisme
Pour l'année, voir 1955.
Éphémérides
Janvier
Mort d'Yves Tanguy[1].
Le Club d'essai de la radio diffuse une adaptation de Nadja d'André Breton, intitulée Nadja étoilée, réalisée par André Almuro avec Maria Casarès et Roger Blin[2].
Juin
La Galerie Rive Gauche organise un hommage à Yves Tanguy avec la participation de Jean Arp, Victor Brauner, Jean Dubuffet, Max Ernst, Alberto Giacometti, Man Ray, Matta, Joan Miró, Toyen[3].
Septembre
Rétrospective Yves Tanguy-Giorgio De Chirico au Musée d'art moderne (MOMA) de New York[4].
Œuvres
- Victor Brauner
- Germination, huile sur toile[5]
- Lucien Coutaud
- En souvenir d'un peintre, huile sur toile[6]
- Adrien Dax invente l'impression de relief(s) : lithographie avec ajout d'objets[7]
- Wifredo Lam
- Femme fleurie[8]
- Robert Lebel
- Chantage de la beauté, poèmes préfacés par André Breton[9]
- Norman McLaren
- Blinkity Blank, film d'animation, 5 min 15 s[10]
- Joyce Mansour
- Déchirures, poèmes[11]
- Kay Sage
- Tomorrow is never, huile sur toile
- Remedios Varo
- Sympathie, huile sur masonite[12]
Notes et références
- Pour les références bibliographiques complètes, voir Chronologie de Dada et du surréalisme
- Agnès Angliviel de la Beaumelle, Yves Tanguy, Centre Pompidou, Paris, 1982, p. 230.
- André Breton, Œuvres complètes, tome 4, Bibliothèque de la Pléiade, éditions Gallimard, Paris, p. XXVII.
- Angliviel, op. cit., p. 230.
- Angliviel, op. cit., p. 230.
- 114 × 146,4 cm. Galerie Malingue, Paris. Reproduction dans Artension n° 116, nov.-déc. 2012, p. 67.
- 73 x 54 cm. Reproduction dans Parcours des arts n° 39, juillet-août-septembre 2014, p. 39.
- Adam Biro & René Passeron (sous la direction de), Dictionnaire général du surréalisme et de ses environs, Office du livre, Genève & Presses universitaires de France, Paris, 1982, p. 216.
- 72 × 90 cm. Reproduction dans Beaux arts magazine n° 79, mai 1990, p. 68.
- Bédouin, op. cit., p. 283.
- www3.onf.ca.
- Bédouin, op. cit., p. 285.
- 95 × 83,5 cm, collection particulière, Mexico. Reproduction dans Colevile, op. cit., p. 297.
