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Maison de Choiseul

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Maison de Choiseul
Image illustrative de l’article Maison de Choiseul
Armes de la maison de Choiseul.

Blasonnement D' azur à la croix d'or, cantonnée de dix-huit billettes du même, cinq dans chaque canton du chef, ordonnées 2, 1 et 2, et quatre dans chaque canton de la pointe, ordonnées 2 et 2.
Devise « Choiseul à la rescousse, à moi Bassigny ! »[1]
Branches Choiseul-Lanques (de),
Choiseul-Clefmont (de),
Choiseul-Aigremont (de),
Choiseul-Beaupré (de),
Choiseul-Daillecourt (de),
Choiseul-Francières (de),
Choiseul-Meuse (de),
Choiseul-Praslin (de),
Choiseul-Stainville (de),
Choiseul du Plessis (de)
Période XIe – XXIe siècle
Famille subsistante
Pays ou province d’origine Drapeau de la province de Champagne Province de Champagne
Drapeau de la Lorraine Duché de Lorraine
Drapeau du royaume de France Royaume de France
Allégeance Drapeau de la Lorraine Duché de Lorraine
Drapeau du Saint-Empire Saint-Empire romain germanique
Drapeau du royaume de France Royaume de France
Drapeau de l'Empire français Empire français
Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Vassaux Seigneurs de Varennes-sur-Amance
Charges Deux ministres
Fonctions militaires Quatre maréchaux de France
Fonctions ecclésiastiques Cinq prélats dont un cardinal
Récompenses civiles Ordre du Saint-Esprit
Ordre de Saint-Michel
Ordre de la Légion d'honneur
Récompenses militaires Ordre de Saint-Louis
Preuves de noblesse
Autres ANF-1937

La maison de Choiseul est une famille de la noblesse, d'extraction chevaleresque citée en 1060. Originaire de Champagne et de Lorraine, son berceau est le village de Choiseul en Bassigny (Haute-Marne).

Origines et principales branches

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Sur l'origine de la Maison de Choiseul, Gustave Chaix d'Est-Ange écrit que deux hypothèses ont été soulevées : soit une branche cadette des comtes de Bassigny soit des comtes de Langres, mais qu'il n'y a pas, selon ses termes, de preuves rigoureuses[réf. nécessaire].

Charlemagne.

Le premier seigneur de Choiseul connu est Renier de Choiseul, mort vers 1100. Ses proches successeurs sont donnés par l'ascendance de Renaud/Renard III de Choiseul : sous toute réserve (le tableau généalogique présenté plus bas ne fait d'ailleurs de Renard III et Renard II qu'un seul personnage, ce qui fait de Renard II, né vers 1175, le père de Jean Ier, † 1309 !) : fils de Renaud/Renard II, † 1239 ; lui-même fils de Fou(l)ques II, † avant 1200 ; fils de Renaud/Renard/Raynard/Rainard Ier (dont un frère cadet, Renier, semble la souche des seigneurs de Bourbonne[2]) ; fils de Foulques d'Aigremont seigneur de Choiseul († vers 1140/1150 ; son frère Renier continue la 1re branche des sires ou princes d'Aigremont) ; neveu maternel de Roger de Choiseul († vers 1105) par sa mère Adeline, femme d'Olry d'Aigremont ; Roger et Adeline étant les enfants dudit Renier de Choiseul. La descendance de Renier a formé les branches de Lanques, de Clefmont, d'Aigremont, de Beaupré, de Daillecourt, de Francières, de Praslin, de Stainville, du Plessisetc.

Le noyau premier des possessions des sires de Choiseul se trouve en Bassigny, à l'est de Chaumont : Choiseul, Aigremont et Bourbonne, Lanques, Meuse, Parnoy, Isches... Puis viendront par des mariages Daillecourt et Clefmont (au XVe siècle, par l'union de Raouline/Roline de Clefmont avec Gérard/Girard de Choiseul fils puîné de Guy Ier seigneur de Choiseul et Jeanne de Noyers de Joigny, évoqués ci-dessus et ci-dessous), ou Laferté-sur-Amance et Pressigny, encore Fouvent, vers le sud et le sud-est, ainsi qu'Ambonville au nord-ouest...

Membres notables de la famille

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Les ecclésiastiques

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Cinq évêques dont un cardinal :

Les militaires

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Les maréchaux

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La Maison de Choiseul compte parmi ses membres quatre maréchaux de France :

Les lieutenants-généraux et les maréchaux de camp

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La Maison de Choiseul compte parmi ses membres plus de trente lieutenants-généraux ou maréchaux de camp :

Les militaires et résistants

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Les hommes politiques et diplomates

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Les ministres

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Les parlementaires

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Les hauts fonctionnaires

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Galerie de portraits

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Arbres généalogiques

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Origines des différentes branches

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Première maison de Choiseul

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Seconde maison de Choiseul

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  • Olry d'Aigremont (né vers 1070 - † vers 1136), seigneur de Choiseul du chef de son épouse. Tous deux participent à la fondation de l'abbaye de Morimond. Frère de Vilain d'Aigremont, évêque de Langres, et de Gui d'Aigremont, tige de la deuxième maison des seigneurs de Nully. Il épouse Adeline de Choiseul dont il a huit enfants :
    • Foulques de Choiseul (né vers 1095, † après 1147) qui succède à sa mère en tant que seigneur de Choiseul et qui suit.
    • Renier d'Aigremont (né vers 1100, † 1182/1183) qui succède à son père en tant que seigneur d'Aigremont et continue la lignée et qui suit plus loin.
    • Gérard d'Aigremont (né vers 1100, † après 1160), dit Sans Terre : il a quatre enfants (le nom de sa femme est inconnu, peut-être de la famille de Bourmont) :
      • Olry d'Aigremont († 1209/1214) : marié avec Damette de ???, il a deux enfants :
        • Gérard d'Aigremont († avant 1214) : cité dans une charte de 1189 de l'abbaye de Cherlieu, probablement mort avant 1214.
        • Marie d'Aigremont († après 1189): citée dans une charte de 1189 de l'abbaye de Cherlieu.
      • Barthélemy d'Aigremont († après 1189) : cité dans une charte de 1173 de l'abbaye de la Crête et dans une autre de 1189 de l'abbaye de Cherlieu.
      • Godefroi d'Aigremont († après 1189) : cité dans une charte de 1173 de l'abbaye de la Crête et dans une autre de 1189 de l'abbaye de Cherlieu.
      • ??? d'Aigremont († avant 1214): cité dans une charte de 1189 de l'abbaye de Cherlieu, marié avec ??? de Blondefontaine.
    • Olry d'Aigremont († après 1164): qui fut prévôt de Saint Geosmes.
    • Vilain d'Aigremont († après 1168) : prieur de Varennes, puis abbé de Molesme.
    • Gertrude d'Aigremont († après 1170) : mentionnée dans une charte de 1170.
    • Reine d'Aigremont († après 1170) : mentionnée dans une charte de 1170.
    • Michelle d'Aigremont ou Milette d'Aigremont († après 1176) : mariée avec Gérard de Bourmont, avec qui elle a au moins quatre enfants (Foulques, Renier, Vilain et Louis de Bourmont).
  • Foulques Ier de Choiseul (né vers 1095 - † après 1147), seigneur de Choiseul à la mort de son père. Il épouse une femme dont le nom est inconnu, probablement une fille de Renard III, comte de Toul, dont il a au moins quatre enfants :
  • Renard Ier de Choiseul (né vers 1125 - † en 1157 ou 1158), seigneur de Choiseul à la mort de son père. Il accompagne le roi Louis VII au cours de la deuxième croisade[16],[17]. Il épouse Havide (ou Héloïse), dont le nom de famille est inconnu, dont il a deux enfants :
  • Foulques II de Choiseul (né vers 1150 - † avant 1198), seigneur de Choiseul à la mort de son père. Il a de nombreuses disputes avec l'abbaye de Morimond, ce qui lui vaut d'être excommunié deux fois. Il épouse Alix de Vignory, fille de Barthélemy, seigneur de Vignory, et d'Elvide de Brienne, dont il a cinq enfants :
    • Renard II de Choiseul, qui suit.
    • Helvide de Choiseul, citée dans des chartes de 1192 et de 1210. Elle épouse un seigneur de Beaujeu-sur-Saône, dont elle a au moins un fils : Foulques.
    • Ide de Choiseul, citée dans des chartes de 1192 et de 1210. Elle épouse Pierre de Mereville, dont elle a au moins un fils : Renard.
    • Alix de Choiseul, citée dans une charte de 1192.
    • Barthélemy de Choiseul († après 1263), seigneur de Vrécourt. Le nom de son épouse est inconnu mais il a au moins deux enfants : Barthélemy et Renard, tous deux probablement morts jeunes et sans descendance.
  • Renard II de Choiseul (né vers 1175 - † en 1239), seigneur de Choiseul à la mort de son père. Il participe à la cinquième croisade. Il épouse en premières noces Clémence de Faucogney, fille d'Aymon II de Faucogney, seigneur de Faucogney et vicomte de Vesoul, et d'Adeline (nom de famille inconnu), dont il n'a pas de postérité. Veuf, il épouse en secondes noces Alix de Dreux, d'origine capétienne, dame de Traves, veuve de Gaucher IV de Mâcon, seigneur de Salins, fille de Robert II de Dreux, comte de Dreux, et Yolande de Coucy, dont il a cinq enfants :
    • Jean Ier de Choiseul, qui suit.
    • Renard de Choiseul († 1276), trésorier de Reims.
    • Yolande de Choiseul († 1310), elle épouse en premières noces Jean de Ray, seigneur de Ray, fils d'Othon de la Roche, seigneur de Ray, et de Marguerite (nom de famille inconnu), dont elle a deux enfants (Othon et Guillaume de Ray). Veuve, elle épouse en secondes noces Étienne II d’Oiselay, fils de d'Étienne Ier, seigneur d’Oiselay, et de Clémence de Faucogney., d'où descendance.
    • Agnès de Choiseul († 1293), elle épouse en premières noces Simon IV, seigneur de Sexfontaines et de Jonvelle, fils de Simon III de Sexfontaines et d'Isabelle de Jonvelle, dont elle a quatre enfants (Guy, Simon, Élisabeth et Alix de Sexfontaines). Veuve, elle épouse en secondes noces Pierre, seigneur de La Fauche, fils d'Hugues IV de La Fauche, dont elle a des enfants. De nouveau veuve, elle épouse en troisièmes noces Jacques, seigneur de Bayon, fils d'Henri de Lorraine, seigneur de Bayon, et de Damete de Pesmes, dont elle a un enfant (Henri de Bayon).
    • Robert de Choiseul, seigneur de Traves et vicomte de Besançon. Tige de la branche de Traves.
  • Jean Ier de Choiseul (né vers 1226 - † en 1309), seigneur de Choiseul à la mort de son père. Connétable de Bourgogne. Il épouse Alix d'Aigremont, également appelée Bartholomette, fille de Renier de Neuviller, seigneur d'Aigremont et de Neuviller, et d'Isabelle de Bauffremont, dont il a six enfants :
    • Alix de Choiseul, qui épouse Guy de La Ferté-sur-Amance, fils de Gautier de Vignory, seigneur de La Ferté-sur-Amance, et de son épouse Jeanne, dont le nom de famille est inconnu, d'où postérité.
    • Jean de Choiseul, qui succède à son père en tant que seigneur de Choiseul et qui suit.
    • Jeanne de Choiseul, qui épouse Pierre, seigneur de Bourlémont, fils Joffroy de Brixey de Bourlémont et de Sibylle de Saulxures, d'où postérité.
    • Renier de Choiseul, qui succède à sa mère en tant que seigneur d'Aigremont et de Neuviller et qui suit plus loin en tant que tige de la deuxième branche d'Aigremont.
    • Renard de Choiseul, qui succède à son père en tant que seigneur de Bourbonne et qui suit plus loin en tant que tige de la deuxième branche de Bourbonne. Il semble y posséder une part plus importante que ses cousins dit de Coublant ou de Bourbonne.
    • Alix ou Yolande de Choiseul, qui épouse Étienne III, seigneur d’Oiselay, fils de Guillaume d’Oiselay et de Marguerite de Vienne, d'où postérité.
  • Jean II de Choiseul (né vers 1255 - † en 1336), seigneur de Choiseul à la mort de son père. Il épouse Alix de Grancey, fille de Guillaume de Grancey, seigneur de Grancey, et d'Isabelle de Tilchâtel, dont il a cinq enfants :
    • Marie de Choiseul, qui épouse Godemar du Fay, seigneur de Baucheron, bailli de Chaumont et sénéchal de Beaucaire, d'où postérité.
    • Jean de Choiseul, cités dans des chartes de 1320 et 1323, mais mort avant son père vers 1330, probablement sans union ni postérité.
    • Gautier de Choiseul, qui suit.
    • Guy de Choiseul, qui épouse Jeanne d'Annegray, mais qui meurt avant 1338, probablement sans postérité.
    • Jeanne de Choiseul, qui épouse Hervé de Saffres, d'où postérité.
  • Gautier de Choiseul (né vers 1305 - † en 1342), seigneur de Choiseul à la mort de son père. Il fait partie de l'armée du roi de France et combat les Anglais dans les Flandres françaises au début de la Guerre de Cent Ans. Il épouse Alix de Nanteuil, probable fille de Gaucher IV de Nanteuil-la-Fosse et de Marguerite de Roucy, dont il a quatre enfants :
    • Jean III de Choiseul, qui succède à son père en commun avec son frère puîné et qui suit.
    • Henri de Choiseul, qui succède à son père en commun avec son frère aîné et qui suit.
    • Gui de Choiseul, qui succède à ses frères et qui suit plus loin.
    • Jeannette de Choiseul, moniale à Rougemont.
    • une autre fille qui aurait été moniale à Soissons.
  • Jean III de Choiseul (né vers 1325 - † en 1358), seigneur de Choiseul à la mort de son père, de concert avec son frère puîné Henri de Choiseul, qui suit, jusqu'en 1350. Il n'a pas d'union ni de descendance connue et est remplacé par son plus jeune frère Gui de Choiseul, qui suit également.
  • Henri de Choiseul (né vers 1325 - † en 1350), seigneur de Choiseul à la mort de son père, de concert avec son frère aîné Jean III de Choiseul, qui précède. Il n'a pas d'union ni de descendance connue et à sa mort son frère aîné dirige seul la seigneurie de Choiseul.
  • Gui de Choiseul (né vers 1330 - † vers 1417), seigneur de Choiseul à la mort de ses frères. Il épouse Jeanne de Joigny, fille de Jean de Noyers, comte de Joigny, et de sa première épouse Jeanne de Joinville, dont il a quatre enfants :
    • Gaucher de Choiseul, cité dans une charte de 1407. Probablement décédé avant son père sans union ni descendance.
    • Aymé de Choiseul, qui suit.
    • Gérard de Choiseul, qui épouse Raouline de Clefmont, fille et unique héritière de Guy II, seigneur de Clefmont, et de Marguerite de Vieuchâtel, d'où postérité. Par ce mariage, il devient seigneur de Clefmont et est la tige de la branche de Clefmont.
    • Alix de Choiseul, citée dans une charte de 1407. Elle épouse en premières noces Gérard de Dinteville, seigneur d'Echenay d'où postérité. Veuve, elle épouse en secondes noces Pierre de Choiseul, seigneur d'Aigremont, d'où postérité.
  • Aymé de Choiseul (né vers 1365 - † vers 1425), seigneur de Choiseul à la mort de son père. Il épouse Claude de Grancey, fille de Robert de Grancey , seigneur de Courcelles et de Meursault, et de Jeanne de Beaujeu-sur-Saône, dont il a une fille :
  • Jeanne de Choiseul (née vers 1365 - † vers 1425), dame de Choiseul à la mort de son père. Elle épouse en premières noces Étienne d'Anglure, fils d'Ogier IX, dit le Voyageur, seigneur d'Anglure, et d'Alix de Toucy, dont elle a sept enfants. Veuve, elle épouse en secondes noces Jean de Blaisy, seigneur de Villecombe, dont elle n'a probablement pas de postérité. De nouveau veuve, elle épouse en troisièmes noces Jacques de Louhans, dont elle a deux autres enfants :
    • de (1) : Antoine d'Anglure, qui succède à son père comme baron d'Anglure et avoué de Thérouanne. Il épouse Jeanne de Rochebaron, fille d’Antoine, seigneur de Bersay et conseiller du Roi. Il meurt en 1462 avant sa mère sans laisser de postérité.
    • de (1) : Antoine d'Anglure, abbé de Saint-Antoine de Lagny.
    • de (1) : Guillaume d'Anglure, seigneur de Donjeux, Chacenay et Choiseul, puis baron d'Anglure et avoué de Thérouanne à la mort de son frère. Il épouse Jeanne de Vergy, d'où postérité.
    • de (1) : Claudine d'Anglure, qui épouse Jean de Blaisy, seigneur de Villecomte, Galéas de Salazar, d'où postérité.
    • de (1) : Guye d'Anglure, qui épouse Claude de Rochebaron.
    • de (1) : Marguerite d'Anglure, qui épouse Mahiet de Guigné.
    • de (1) : Marie d’Anglure, qui épouse Mile de Grancey, seigneur de Larrey.
    • de (2) : Philippe de Louhans.
    • de (2) : Jean de Louhans.

Avec Jeanne de Choiseul s’éteint la ligne directe des Choiseul et elle est également la dernière de sa maison à posséder les terres de Choiseul.

Première branche d'Aigremont

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  • Renier d'Aigremont († 1182/1183) seigneur d'Aigremont à la mort de son père. Le nom de son épouse est inconnu mais il a au moins trois enfants.
    • Agnès d'Aigremont († après 1170), qui épouse Olry de Vaudémont, seigneur de Deuilly, dont elle a une fille (Helvis Damiette de Deuilly), puis une fois veuve elle épouse en secondes noces Olry de Neuviller, dont elle a trois enfants (Joethe de Neuviller, Olry de Neuviller et Renier de Neuviller).
    • Berthe d'Aigremont († après 1170) : moniale à l'abbaye de Remiremont.
    • Adeline d'Aigremont († après 1170) : moniale à l'abbaye de Remiremont.

À sa mort, la seigneurie d'Aigremont passe alors à la maison de Neuviller.

Branche de Nully

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  • Gui d'Aigremont († après 1140), fils de Foulques de Serqueux, seigneur d'Aigremont, et de Saruc de Grancey. Il devient seigneur de Nully par son mariage avec Hesceline de Joinville, fille d'Hilduin de Joinville, seigneur de Nully, dont il a au moins un enfant :
    • Guerry de Nully, qui suit.
  • Guerry ou Werry de Nully, qui succède à son père. Le nom de son épouse est inconnu, mais il a au moins un enfant :
    • Gautier de Nully, qui suit.
  • Gautier de Nully († après 1174), qui succède à son père. Il épouse Adeline d'Arzillières, fille de Vilain d'Arzillières et d'Yvette de Vitry, dont il a plusieurs enfants :
    • Vilain de Nully, qui suit.
    • Guillaume de Nully, qui accompagne son frère Vilain lors de la quatrième croisade. Il est probablement fait prisonnier par les Turcs vers 1204 et est surement mort en captivité sans avoir contracté d'union ni avoir eu de descendance.
    • une fille qui épouse Baudoin de Bricon, dont elle a au moins deux enfants (Wiart et Hugues).
  • Vilain de Nully († 1202/1204), qui succède à son père. Il est présent au tournoi d'Écry où il décide partir en croisade. En 1202, il accompagne Renard II de Dampierre-en-Astenois en terre-sainte où il trouve la mort en bataillant contre les Turcs. Il épouse Ada de Montmirail, veuve de Clarembaud de Noyers, fille d'André de Montmirail, seigneur de Montmirail et de La Ferté-Gaucher, et d'Hildiarde d’Oisy, vicomtesse de Meaux, dont il a plusieurs enfants :
    • Jean de Nully, qui suit.
    • Élisabeth de Nully († après 1225), qui épouse en premières noces Guillaume de Vergy, seigneur d'Ormoy-sur-Aube, fils de Simon de Vergy, seigneur de Beaumont-sur-Vingeanne, et d'Ermengarde de Til-Châtel, d'où postérité ; puis en secondes noces Garnier de Sombernon, d'où postérité.
    • peut-être Ada ou Ode de Nully[13], qui épouse Geoffroi de Villehardouin, fils de Geoffroi de Villehardouin, dit le Chroniqueur, et de Channe de Lézinnes, mais qui n'a probablement pas de postérité.
  • Jean de Nully († vers 1260), qui succède à son père. Il participe à la Cinquième croisade et combat au siège de Damiette. Avant 1220, il arrive dans le Péloponnèse où il établit la forteresse de Passavant, qui devient ensuite le siège de la baronnie de Passavant dont il est le premier baron. Il est également nommé maréchal héréditaire d'Achaïe. Il épouse une sœur de Gautier de Rosières, premier baron d'Akova, dont il a un enfant :
  • Marguerite de Nully. Étant fille unique et comme son oncle Gautier de Rosières est sans enfant, elle est héritière des baronnies de Passavant et d'Akova, dans la principauté d'Achaïe. En 1261, elle est envoyée comme otage à la cour byzantine de Constantinople, en échange de la libération du prince Guillaume II de Villehardouin. Elle est de retour en 1275 et réclame son héritage qui avait été confisqué. Elle épouse en premières noces Gilbert d'Escors, tué à la bataille du mont Karydi en 1258. Veuve, elle épouse en secondes noces Jean de Saint-Omer, frère de Nicolas II de Saint-Omer, seigneur de Thèbes, dont elle a un enfant :
    • Nicolas III de Saint-Omer.

Première branche de Bourbonne

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  • Renier Ier de Bourbonne (né vers 1130 - † entre 1203 et 1207), seigneur de Bourbonne à la mort de son père. Il épouse Alix de Dramelay, dame de Fresnes, fille d'Humbert de Dramelay et sœur de l'archevêque de Besançon Amédée de Dramelay, dont il a six enfants :
    • Frédéric de Bourbonne († après 1214), qui deviendra seigneur de Coublanc par mariage avec Guyette de Coublant.
    • Foulques de Bourbonne († après 1163), cité dans une charte de 1163.
    • Renard de Bourbonne († après 1182), cité dans une charte de 1163 et une autre de 1182.
    • Renier II de Bourbonne († avant 1225), qui succède à son père comme seigneur de Bourbonne.
    • Guillaume de Bourbonne († après 1182), cité dans une charte de 1182.
    • Henri de Bourbonne († après 1207), cité dans une charte de 1207.

Branche de Traves

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  • Robert de Choiseul (né vers 1236 - † après 1300), seigneur de Traves après sa mère. Il épouse Isabelle de Rougemont, veuve de Guillaume de Montferrand, seigneur de Montferrand, fille de Thibaut III de Rougemont, seigneur de Rougemont et vicomte de Besançon, dont il a cinq enfants :
    • Renard de Choiseul, qui décède avant son père. Il épouse Marguerite de Brancion, fille d'Henri III de Brancion le Gros et de Fauque de Cortevais, dont il a au moins quatre enfants :
      • Pierre de Traves, qui suit.
      • Isabelle de Traves, qui reçoit Cortevais en dot et qui épouse le sire de Neublans.
      • une autre fille qui devient moniale à Lancharre.
      • Thibaud de Traves, qui devient seigneur de La Porcheresse. Il est qualifié de damoiseau en 1304 puis d'écuyer en vers 1316. Il épouse Jeannette de Chamblanc, dont il a au moins un enfant :
        • Guillaume de Traves, qui devient seigneur de La Porcheresse après son père. Cette lignée continuera encore pendant plusieurs siècles.
    • Thibaut de Choiseul, cité dans une charte de 1276.
    • Renier de Choiseul, cité dans une charte de 1295.
    • Jean de Choiseul, cité dans des chartes de 1295, 1300 et 1302.
    • Marguerite de Choiseul, dame de Scey-sur-Saône, qui épouse Vautier de Bauffremont, seigneur de Bauffremont, d'où postérité.
  • Pierre de Traves, seigneur de Traves après son grand-père. Le nom de son épouse est inconnu, mais il a au moins une fille :
    • Alix de Traves, qui transmet la seigneurie de Traves à son époux Guillaume de Sennecey, seigneur de Sennecey.

Deuxième branche d'Aigremont

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Deuxième branche de Bourbonne

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Branche de Clefmont

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Branches de Praslin

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Alliances notables

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Les Choiseul se sont alliés aux :

Châteaux et hôtels

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Autres fiefs
Image Ancien Régime

Maison de Choiseul

D'azur, à la croix d'or, cantonnée de dix-huit billettes, cinq dans chaque canton du chef posées 2, 1 et 2, et quatre dans chaque canton de la pointe posées 2 et 2).[20],[21]

On trouve aussi
D'azur, à la croix d'or, cantonnée de vingt billettes du même, cinq dans chaque canton, 2, 1 et 2. (Alias: Au lieu de: vingt billettes, lisez: dix-huit billettes, cinq dans chaque canton du chef posées 2, 1 et 2, et quatre dans chaque canton de la pointe posées 2 et 2).[20]
  • Tenants : deux hommes sauvages ceints et couronnés de feuillage, armés de leur massue[20].

Jean de Baudricourt (-1499), maréchal de France en 1486

D’or au lion de sable, couronné, lampassé et armé de gueules.[20]

Rénier Ier, seigneur d'Aigremont, (Deuxième branche)

Écartelé, au I et IV d'azur à la croix d'or, cantonnée de dix-huit billettes du même, cinq dans chaque canton du chef, ordonnées 2, 1 et 2, et quatre dans chaque canton de la pointe, ordonnées 2 et 2 (de Choiseul) ; au II et III, de gueules au lion couronné d'or.[22]

Charles de Choiseul-Praslin (1563-1626), marquis de Praslin, seigneur du Plessis-Saint-Jean, vicomte de Chavignon, baron de Chitry, vicomte d'Hostel, marquis de Chaource[18], qui servit sous Henri IV et Louis XIII, maréchal de France, chevalier du Saint-Esprit (reçu le en la cathédrale de Chartres[23])

Écartelé, au I et IV d'azur à la croix d'or, cantonnée de dix-huit billettes du même, cinq dans chaque canton du chef, ordonnées 2, 1 et 2, et quatre dans chaque canton de la pointe, ordonnées 2 et 2 (de Choiseul) ; au II et III, de gueules au lion d'or (Aigremont), sur le tout parti d'argent à la fasce de gueules (de Béthune) et d'argent au lion de sable[23].

César Ier de Choiseul du Plessis-Praslin (1598-1675), comte de Hostel[24], puis du Plessis-Praslin, puis duc de Choiseul (1665 - création) et pair de France, comte du Plessis-Praslin[18], maréchal de France, chevalier du Saint-Esprit (reçu le )

Écartelé, au I de gueules au lion d'or armé et lampassé d'azur (Aigremont), au II fascé d'or et de sable de six pièces (du Plessis), au III d'argent à la fasce de gueules (Béthune), au IVe d'or au lion de sable, un écusson d’azur à la croix d’or accompagné de dix-huit billettes du même, cinq et cinq en chef posées en sautoir, quatre et quatre en pointe posées deux et deux brochant sur le tout (Choiseul).[25]

César III Auguste de Choiseul (v.1637-1705), chevalier, puis comte du Plessis-Praslin, puis duc de Choiseul et pair de France, chevalier du Saint-Esprit (reçu le )

Écartelé, au I de gueules au lion d'or armé et lampassé d'azur (Aigremont), au II fascé d'or et de sable de six pièces (du Plessis), au III d'argent à la fasce de gueules (Béthune), au IVe d'or au lion de sable, un écusson d’azur à la croix d’or accompagné de dix-huit billettes du même, cinq et cinq en chef posées en sautoir, quatre et quatre en pointe posées deux et deux brochant sur le tout (Choiseul).[26]

Claude de Choiseul (1633-1711), marquis de Francières dit « le comte de Choiseul », maréchal de France, doyen des maréchaux, chevalier du Saint-Esprit (reçu le )

D'azur, à la « croix billetée » d'or.[27]

Henri Louis de Choiseul-Meuse (22 juillet 1689-9 avril 1754), marquis de Meuse (1703-1754), colonel du régiment d'Agénois, mestre de camp du régiment de Meuse, comte de Sorcy[18], lieutenant général des armées du Roi (1738), gouverneur de Saint-Malo (1743), chevalier du Saint-Esprit (reçu le dans la chapelle royale du château de Versailles)

D'azur, à la « croix billetée » d'or.[28],[29]

César Gabriel de Choiseul-Praslin (1712-1785), marquis de Choiseul, puis Duc de Praslin et pair de France, comte de Chevigny et de La Rivière, baron de Giry et seigneur de Chassy, seigneur de Montgauger, vicomte de Melun et de Vaux-le-Vicomte, chevalier du Saint-Esprit (reçu le )

Écartelé, aux 1 et 4, d’azur à la « croix billettée » d'or ; aux 2 et 3 de gueules au lion couronné d'or qui est Aigremont.[30]

Choiseul-Stainville

D'azur, à la croix d'or, cantonnée de vingt billettes du même, cinq dans chaque canton, 2, 1 et 2, et ch. en cœur d'une croix ancrée de gueules qui est de Stainville[20].

Alias
Écartelé: aux 1 et 4, de Choiseul; aux 2 et 3, de Stainville[20].
Jacques Philippe de Choiseul (1717-1789), comte puis duc de Stainville (duc à brevet, 1786[31]), maréchal de France, chevalier du Saint-Esprit (reçu le )

D'azur, à la croix « billetée » d'or.[31]

Étienne François de Choiseul, comte de Stainville (1719-1785), marquis d'Estainville[18] et de La Bourdaisière[32], marquis de Removille et seigneur de Chanteloup[33] puis duc de Stainville (dit de Choiseul) et pair de France, puis duc d'Amboise (dit de Choiseul) et pair de France, colonel général des Suisses et des Grisons, chevalier du Saint-Esprit (reçu le )

D'azur, à la croix « billetée » d'or.[32],[33]

Premier Empire
Charles-Félix de Choiseul-Praslin (Paris, - Paris, ), chambellan de l'Empereur, membre du conseil général et du collège électoral de Seine-et-Marne, 1er comte de Choiseul-Praslin et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Paris le [34]), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (),

D'azur à la croix d'or, cantonnée en chef à dextre et à sénestre de cinq billettes en sautoir et en pointe à dextre et à sénestre de quatre billettes deux et deux le tout d'or, ombré de gueules : franc quartier des comtes officiers de Notre Maison[34],[35].

Louis Marie Joseph Gabriel César de Choiseul-Beaupré (Rueil, - ), colonel aide de camp du général Nansouty, baron de Choiseul-Beaupré et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Fontainebleau le [36]), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur ()[37],

D'azur à la croix d'or cantonnée de vingt belettes du même, cinq dans chaque canton en sautoir : franc-quartier des barons tirés de l'armée brochant sur le tout[36].

Restauration française et Monarchie de Juillet
Claude-Antoine-Gabriel de Choiseul (1760-1838), duc de Choiseul et pair de France (Ancien Régime) : 1787, pair de France (Chambre des pairs) : , duc et pair héréditaire, lettres patentes du , sans majorat[12],[n 2], grand officier de la Légion d'honneur,

D’azur à la croix d’or accompagné de dix-huit billettes du même, cinq et cinq en chef posées en sautoir, quatre et quatre en pointe posées deux et deux[12].

Charles-Félix de Choiseul-Praslin (Paris, - Paris, ), 4e Duc de Praslin (1808-1841), Pair de France (Chambre des pairs)[12] ( - - , - , duc et pair (, sans majorat), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur ()[38],

D’azur à la croix d’or accompagné de dix-huit billettes du même, cinq et cinq en chef posées en sautoir, quatre et quatre en pointe posées deux et deux[12].

Marie-Gabriel-Florent-Auguste de Choiseul-Gouffier (1752-1817), comte de Choiseul-Beaupré et de Choiseul-Gouffier, seigneur de Flainville, Pair de France (Chambre des pairs)[12] (; (comte et pair héréditaire le , lettres patentes du sans majorat)

D’azur à la croix d’or accompagné de dix-huit billettes du même, cinq et cinq en chef posées en sautoir, quatre et quatre en pointe posées deux et deux ; sur le tout d’or à trois jumelles de sable (famille Gouffier)[12],[20].

  • Cri : « A MOI BASSIGNY ! »[20].
  • Devise : « Virtutis fortuna comes »[20].
  • Supports : deux lions d'or[20]. Les deux lions servant de supports sont parfois remplacés par des tenants :
  • Tenants : deux hommes sauvages ceints et couronnés de feuillage, armés de leur massue[20].
Albéric-César-Guy de Choiseul-Praslin (1787-1868), comte de Praslin, Pair de France (Chambre des pairs)[12] (baron et pair héréditaire le , lettres patentes du )[12]

D’azur à la croix d’or accompagné de dix-huit billettes du même, cinq et cinq en chef posées en sautoir, quatre et quatre en pointe posées deux et deux[12].

Ecclésiastiques
Gilbert de Choiseul du Plessis Praslin (1613- à Tournai), frère du maréchal César de Choiseul du Plessis-Praslin, évêque de Comminges de 1644 à 1670.
Gabriel-Florent de Choiseul-Beaupré ( - ), évêque de Saint-Papoul, évêque de Mende
Antoine-Clériade de Choiseul-Beaupré (1707-1774), archevêque de Besançon de 1754 à 1774 et cardinal en 1761.
Familles alliées
Armes des Marmier (branche « de Choiseul »)

Écartelé: aux 1 et 4, De gueules, à une marmotte d'argent (de Marmier) ; aux 2 et 3, de Choiseul[20].

Philippe-Gabriel de Marmier (1783-1845), chambellan de l'Empereur, maire de Ray (Haute-Saône), Comte de Marmier et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Fontainebleau le ), Chevalier (), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (), chevalier de l'ordre de la Couronne de fer, pair des Cent-Jours,

Écartelé au premier des comtes officiers de notre maison ; au deuxième de gueules à la marmotte debout d'argent (de Marmier) ; au 3e de gueules à la roue d'argent ; au quatrième d'azur à la croix d'or cantonnée de vingt b[e]llettes (billettes) du même (de Choiseul) et chargée d'un écusson d'argent à la croix ancrée de gueules (Stainville)[39].


Grandes armes des Marmier (branche « de Choiseul »)

Écartelé: au 1, de gueules, à une escarboucle de huit rais d'or, pommetés et fleuronnés du même (Ray); au 2, d'or, à la bande de gueules, chargée de trois fleurs-de-lis d'argent (du Châtelet); au 3, d'or, à la bande vivrée d'azur, (de La Baume Montrevel); au 4, d'azur, à la croix d'or cantonnée de vingt billettes du même (de Choiseul), la croix chargée en cœur d'un écusson d'or à la croix ancrée de gueules (Stainville). Sur le tout gueules, à une marmotte d'argent (de Marmier)[20].

Aujourd'hui
la commune de :

porte les « armes pleines » de la maison de Choiseul[40].

Laferté-sur-Amance (Haute-Marne) porte :

D’azur à la croix cantonnée au 1) et au 2) de cinq billettes ordonnées en sautoir, au 3) et 4) de quatre billettes ordonnées 2.2, le tout d’or, à l’écusson de gueules au créquier arraché d’argent brochant en cœur sur le tout[41].

Polisy (Aube) porte :

Coupé : au 1) de sable aux deux léopards d’or passant l’un sur l’autre, au 2) d’azur à la croix d’or cantonnée de dix-huit billettes du même, cinq ordonnées en sautoir dans chaque canton du chef, quatre ordonnées 2 et 2 dans chaque canton de la pointe[42].

Les Thons (Vosges) portent :

Écartelé aux 1 et 4 d’or à trois bandes de gueules et aux 2 et 3 d’azur à la croix d’or cantonnée de dix-huit billettes du même cinq dans chaque canton du chef et quatre dans chaque canton de la pointe[43].

Ce sont les armes de Guillaume de Saint Loup et Jeanne de Choiseul qui fondèrent le prieuré et firent construire le château. Ce blason et gravé dans une pierre de l'église couventuelle des Thons.

Notes et références

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  1. Les autres fondateurs sont :
    André Boissière qui fut fusillé au Mont Valérien le
    Georgette Claude-Gérard qui était la responsable de la coordination des parachutages et qui fut internée.
    Raymond Faro qui fut fusillé le .
    H. Hortala qui fut déporté.
    Edmond Michelet qui fut déporté.
    Jean Sigala qui fut déporté.
    J. Villot qui est mort en déportation

Références

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  1. S’étant battu en duel en 1626 contre le marquis de Vardes, Roger de Choiseul est privé des charges de lieutenant général en Champagne et de bailli de Troyes. Ayant obtenu son pardon de Louis XIII, il acheta la charge du marquis de Sourdis et devint maitre de camp de la cavalerie légère. En juin 1639, il est au siège de Thionville, où il est fait prisonnier et mis à la Bastille (« responsable de la lâcheté de ses troupes » selon Bussy-Rabutin). Il obtint sa liberté le 28 janvier 1640. Il meurt au service du roi à la bataille de Marsée près de Sedan, sans avoir été marié.
  2. La transmission du titre ducal à son gendre, Philippe-Gabriel de Marmier, fut autorisée par ordonnance royale du 15 mai 1818. Elle prit effet par lettres patentes du 30 mars 1839, mais sans la pairie, l'hérédité de la pairie ayant été abolie.
  1. Cri de guerre de la famille
  2. (en) « Seigneurs de Bourbonne », sur MedLands
  3. Esclances-en-Vallage ou Éclance semble d'abord un fief des d'Arcis-sur-Aube-Chacenay (cf. Pisy) alliés aux Jaucourt, avec transmission par mariage aux Grancey puis aux Choiseul dans la deuxième moitié du XIVe siècle (car Jeanne de Grancey dame d'Eclance épouse Renaud de Choiseul d'Aigremont, fils de Rénier III et d'Isabelle de Salm de Chéry). Vers le milieu du XVe siècle, Anne de Choiseul d'Aigremont dame d'Éclance transmet ce fief à son mari Jacquet d'Apremont sire de Marcheville et Génicourt. Leur petite-fille Mahaut d'Apremont (vers 1480-1552) transmet à son époux Jean d'Anneville, bailli de Bar. Leur fille Antoinette épouse Laurent de Francières, d'où Mahaut de Francières qui transmet à son mari René de Choiseul de Meuse et Beaupré.[réf. nécessaire]
  4. Molonne ou Maulonne est situé en Thiérache par d'aucuns ; il semble qu'il y ait eu une permutation typographique et qu'il faille lire Manlouuez, autrement dit Montloué. Isabelle de Salm dame de Chéry est dite aussi de Montloué...[réf. nécessaire]
  5. « Hôtel du Commerce à St-Amour (construit sur l'emplacement des dépendances du château ruiné des Comtes de St-Amour). », sur Hôtel du Commerce, à St-Amour
  6. « Cote LH/530/20 », base Léonore, ministère français de la Culture
  7. Un paradoxe français de Simon Epstein page 510
  8. CES "MARQUES DU SOUVENIR". Consulté le 29 mai 2015.
  9. Historique de l'Institution Saint-Joseph. Consulté le 29 mai 2015.
  10. Périgueux dans la Seconde Guerre Mondiale - 1939-1945 Chemin de la mémoire. Consulté le 29 mai 2015.
  11. Charles Marie Nicolas Antoine de Choiseul-Praslin sur francaislibres.net
  12. a b c d e f g h i et j Velde 2005, p. Lay peers.
  13. a et b Ernest Petit, Histoire des ducs de Bourgogne de la race capétienne, .
  14. Gilles Poissonnier, Histoire des Choiseul, 1996.
  15. L'abbé Arthur Prévost, Les champenois aux Croisades, 1922.
  16. Émile Jolibois, La Haute-Marne ancienne et moderne, 1858.
  17. L'abbé Grassot, Les seigneurs de Choiseul, 1887.
  18. a b c d et e Roglo 2012.
  19. Louis-François Le Fèvre de Caumartin, Recherche de la noblesse de Champagne...., Chaalons, Jacques Seneuze,
  20. a b c d e f g h i j k l m et n Rietstap 1884.
  21. Geneawiki 2012, p. Blason.
  22. Source : « web.genealogie.free.fr »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le )
  23. a et b Popoff 1996, p. 20.
  24. Bunel Choiseul.
  25. Popoff 1996, p. 45.
  26. Popoff 1996, p. 56.
  27. Popoff 1996, p. 60.
  28. Popoff 1996, p. 90.
  29. Charles-René d' (1640-1732) Auteur du texte Hozier, VOLUMES RELIES du Cabinet des titres : recherches de noblesse, armoriaux, preuves, histoires généalogiques. Armorial général de France, dressé, en vertu de l'édit de 1696, parCharles D'HOZIER. (1697-1709). XVIII Lorraine., 1701-1800 (lire en ligne)
  30. Popoff 1996, p. 102.
  31. a et b Popoff 1996, p. 116.
  32. a et b Popoff 1996, p. 98.
  33. a et b Bunel Amboise.
  34. a b et c Archives nationales BB/29/966, p. 493.
  35. Roret 1854, p. 208.
  36. a b et c Archives nationales BB/29/968, p. 62.
  37. « Cote LH/530/21 », base Léonore, ministère français de la Culture
  38. « Cote LH/530/22 », base Léonore, ministère français de la Culture
  39. Archives nationales BB/29/968, p. 66.
  40. La Banque du blason - 52127
  41. La Banque du blason - 52257
  42. La Banque du blason - 10296
  43. La Banque du blason - 88471

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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