« Bataille d'Alger » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
m C'était une fausse information, parce que le FLN n'était pas in groupe terroriste, mais un mouvement de libération.
Balises : Révoqué Modification par mobile Modification par application mobile Modification avec l’application Android
Annulation de la modification de Zakaria Bourouis (d) un attentat contre des cibles civiles reste un acte de terrorisme, même si c'est pour libérer son pays
Balises : Annulation Modification par mobile Modification par le web mobile Modification sur mobile avancée
 
Ligne 21 :
}}
 
La '''bataille d'Alger''' ou la '''grande répression d’Alger'''<ref>{{Ouvrage|langue=fr|auteur1=Michelle Zancarini-Fournel, Christian Delacroix|titre=La France du temps présent, 1945-2005|passage=270|éditeur=Belin|date=2010|extrait=Le nœud de l'affrontement est centré sur Alger, dans ce qu'on appelle communément la "bataille d'Alger" (expression utilisée par l'armée française) ou "la grande répression d'Alger" (terme repris par l'historien Gilbert Meynier qui adopte là la dénomination des nationalistes algériens).}}</ref> oppose en 1957 à [[Alger]] ([[département d'Alger]] ou [[zone autonome d'Alger]]), durant la [[guerre d'Algérie]], la [[10e division parachutiste (France)|{{10e|division}} parachutiste]] de l'[[Armée française]] aux indépendantistes [[algérie]]ns du [[Front de libération nationale (Algérie)|Front de libération nationale]] (FLN). À la suite des nombreux [[terrorisme|attentats]] perpétrés contre la population par le FLN, le pouvoir civil délègue alors tous pouvoirs au [[Jacques Massu|général Massu]] pour démanteler l'organisation du FLN et ainsi mettre fin aux attentats, de janvier à {{date-||octobre|1957}}.
 
Dès 1956, la violence s'accentue en Algérie et à Alger en particulier, [[Robert Lacoste]], ministre résident et gouverneur général de l'Algérie, utilise les [[Pouvoirs spéciaux (guerre d'Algérie)|pouvoirs spéciaux]] adoptés à l'[[Assemblée nationale (France)|Assemblée nationale]] en {{date-||mars|1956}}. Il ordonne au général [[Jacques Massu]], commandant de la [[10e division parachutiste (France)|{{10e|division}} parachutiste]], de pacifier Alger. Le {{date-|8 janvier 1957}}, Massu entre dans la ville avec {{unité|8000|hommes}} et proclame la [[loi martiale]]. Le FLN réplique par des attentats et une grève générale qui débute le {{date-|28|janvier|1957-}}. En réaction, l'armée divise la ville en secteurs et ceinture les quartiers musulmans. Elle exerce une sévère répression et procède à des arrestations massives, internant les détenus dans des centres où l'on recourt à la [[Torture pendant la guerre d'Algérie|torture]] pour obtenir des informations. Cette stratégie permet effectivement de démanteler l'organisation de la [[Zone autonome d'Alger]], forçant ses dirigeants à quitter Alger et entraînant l'arrestation de certains membres clés, [[Larbi Ben M'hidi]] et [[Yacef Saâdi]], ainsi que l'élimination d'[[Ali la Pointe]].
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_d%27Alger ».