« Crash de Noirétable » : différence entre les versions

Malgré 2000 personnes participant aux recherches<ref name ="Le Pays"/>, celles-ci seront particulièrement longues car initialement les secours pensaient que l'avion s'était accidenté dans la [[Limagne]] puis ensuite fait unela recherche porta sur toutune legrande partie des monts du [[Forez]]. Un paysan de Noirétable dont la ferme se situait en bas du massif voitavait vu passer l'avion avecà une altitude anormalement basse, et lorsqu'il entend au flash d'information du soir qu'un avion s'est perdu dans la Loire, il fait le rapprochement<ref name ="Documentaire"/>. Il se rend immédiatement à la Gendarmerie et les recherches commencent alors sur le massif du Picot avec trois équipes constituées de pompiers, gendarmes et d'habitants de la commune<ref name ="Documentaire"/>.

L'épave n'est retrouvée que tard dans la nuit, à 1h30 du matin, lorsque une des équipes, constituée de pompiers, de gendarmes et d'un personne connaissant bien le massif arrivent sur place<ref name ="Documentaire"/>{{,}}<ref name ="Le Pays">[https://www.le-pays.fr/noiretable-42440/actualites/un-avion-de-la-compagnie-air-inter-secrasait-dans-les-bois-noirs-et-faisait-60-morts_12927577/ "Le 27 octobre 1972 - Un avion de la compagnie Air Inter s’écrasait dans les Bois-Noirs et faisait 60 morts", lepays.fr, 19 juillet 2018.]</ref>. L'avion s'est écrasé contre des rochers et la partie arrière, où se trouvaient les neuf survivants, fut projetéprojetée 200 mètres plus loin. Les survivants dont deux enfants, se trouvaient tous dans cette partie arrière de l'avion. Ils suivirent les progrès des sauveteurs sur [[France Inter]], un [[radio-cassette]]<ref name ="Documentaire"/> qui se trouvait dans une valise placée sous un siège s'étant allumé toute seuleseul sur cette station en longues ondes lors dedu l'accidentchoc<ref>{{Ina|LXF01009456|Accident d'avion de Noiretable : les secours et le témoignage d'un rescapé}}</ref>. Le secours est difficile, ilsil tombaienttombe du grésille, et il fait nuit et, les équipes ne peuvent s'éclairentéclairer qu'avec de rares et faibles lampes électriques (les sauveteurs demanderont même à des journalistes arrivés en même temps qu'eux de les éclairer avec leurleurs flashs<ref name ="Documentaire"/>).

À 5 heures du matin, tous les blessés ont été dirigés vers les hôpitaux de [[Thiers]] et de Clermond-Ferrand, les morts sont eux brancardés jusqu'à la Croix du Gât, à un kilomètre du mont Picot, puis amenés au [[Collège d'enseignement général]] (CEG) de Noirétable, dont le préau, le réfectoire et d'autres salles du rez-de-chaussée servent alors de chapelle ardente<ref name ="Le Pays"/>.

Une petite croix blanche avec une plaque amarque été installée surdepuis le lieu d'impact<ref name ="Documentaire"/>.