« Émile Vandervelde » : différence entre les versions

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'''Émile Vandervelde''', né le {{Date de naissance|25|janvier|1866}} à [[Ixelles]] où il est mort le {{Date de décès|27|décembre|1938}}, est un [[homme politique]] [[Socialisme|socialiste]] [[Belgique|belge]], docteur en droit, en [[sciences sociales]] et en [[économie politique]].
 
== Vie politiqueBiographie ==
Émile Vandervelde est le fils d'Adèle Cardon et de Joseph Émile Vandervelde, un membre progressiste du [[barreau de Bruxelles]]. Le 15 février 1901, il épouse à Londres Charlotte Speyer (aussi surnommée Laïla) et, après en avoir divorcé, se remarie en 1927 avec [[Jeanne Beeckman]] à Paris. Vandervelde et sa première épouse étaient issus de milieux aisés.
Émile Vandervelde est le fils d'Adèle Cardon et de Joseph Émile Vandervelde, un membre progressiste du [[Barreau de Bruxelles]]. En 1881, il s'inscrit en [[droit]] à l'[[Université libre de Bruxelles]] où il sympathise avec les idées du [[Parti libéral (Belgique)|Parti libéral]]<ref>{{Ouvrage |langue=fr |auteur1=Nouvelle Biographie Nationale |titre=Émile Vandervelde |sous-titre= |lieu=Bruxelles |éditeur=Académie royale belge |collection= |année=1988 |volume=1 |tome= |pages totales= |passage=344 |isbn= |lire en ligne=http://www.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFNouvelleBiographieNational2103.pdf#page=358 }}.</ref>. Cependant, il adhère au [[Parti socialiste belge|Parti ouvrier belge]] (POB) dès sa fondation en 1884, alors qu'il est encore étudiant, et dix ans plus tard, alors qu'il vient d'entamer sa carrière parlementaire, c'est lui qui propose le texte idéologique de base du POB, la [[Charte de Quaregnon]].
 
ÉmileIl Vanderveldefait estdes leétudes filssecondaires aux Athénées d'Adèle CardonIxelles et de Joseph Émile Vandervelde, un membre progressiste du [[Barreau de Bruxelles]]. En 1881, il s'inscrit en [[droit]] à l'[[Université libre de Bruxelles]] où il sympathise avec les idées du [[Parti libéral (Belgique)|Parti libéral]]<ref>{{Ouvrage |langue=fr |auteur1=Nouvelle Biographie Nationale |titre=Émile Vandervelde |sous-titre= |lieu=Bruxelles |éditeur=Académie royale belge |collection= |année=1988 |volume=1 |tome= |pages totales= |passage=344 |isbn= |lire en ligne=http://www.academieroyale.be/academie/documents/FichierPDFNouvelleBiographieNational2103.pdf#page=358 }}.</ref>. CependantEn 1885, il adhèreobtient auson [[Partidiplôme socialisteen belge|Partidroit ouvrier belge]] (POB) dès sa fondationet, en 18841888, alorscelui qu'ilde estdocteur encoreen étudiant,sciences etsociales. dix ans plusEn tard1892, alors qu'il vient d'entamer sa carrière parlementaire, c'est luidocteur quien proposeéconomie lepolitique<ref>{{Article|titre=La textemort idéologiqued'Emile deVandervelde|périodique=Le baseSoir|date=28 dudécembre POB,1938|lire laen [[Charteligne=https://www.belgicapress.be/pageview.php?adv=1&all_q=&any_q=&exact_q=emile%20vandervelde&none_q=&from_d=&to_d=&per_lang=&per=&sig=JB838&lang=FR&per_type=0|accès de Quaregnon]]url=limité|pages=3}}</ref>.
Il est élu député et représente [[Charleroi]] de 1894 à 1900, puis [[Bruxelles]] de 1900 à 1938. Il est président de la [[Internationale ouvrière|Seconde Internationale]] de 1900 à 1918 et est nommé ministre d’État en 1914. Lors de la guerre et de l'attaque allemande de la Belgique, il approuve la décision de résister et va entrer dans le gouvernement d'Union sacrée en 1916 <ref>[[Pascal Delwit]], ''La vie politique en Belgique de 1830 à nos jours'', Bruxelles, Éditions de l'Université de Bruxelles, 2010, p. 84</ref>. Il participe en 1923 à la fondation de l'[[Internationale ouvrière socialiste]], dont il est président jusqu'en 1938 et dont [[Friedrich Adler (homme politique)|Friedrich Adler]] est le secrétaire. Son siège se trouva successivement à [[Londres]], [[Zurich]] puis [[Bruxelles]] à partir de 1935. Il est l'instigateur de la politique de participation délibérée des partis socialistes aux gouvernements de coalition.
 
== Carrière politique ==
Ses principaux combats concernent l’instauration du suffrage universel et la démocratie sociale. Du point de vue théorique, il discutera beaucoup sur le rôle de l'[[État]] dans une société socialiste.
Il adhère au [[Parti socialiste belge|Parti ouvrier belge]] (POB) dès sa fondation en 1884, alors qu'il est encore étudiant et s'affilie à la Ligue ouvrière d'Ixelles. Dix ans plus tard, alors qu'il vient d'entamer sa carrière parlementaire, c'est lui qui propose le texte idéologique de base du POB, la [[Charte de Quaregnon]].
En [[1913]], il fut nommé membre correspondant de la Classe des Lettres et des Sciences morales et politiques de l'[[Académie royale de Belgique]], puis membre titulaire en [[1929]] et directeur de sa Classe en [[1933]]. Il fut un fervent opposant à [[Léopold II de Belgique|Léopold II]] et au pouvoir absolu dont il jouissait au [[État indépendant du Congo|Congo]] durant les années [[1890]]. Le débat s'intensifia en [[1906]] et amena à l'annexion du Congo par la Belgique le {{date-|15|novembre|1908}}.
 
En [[1913]], il fut nommé membre correspondant de la Classe des Lettres et des Sciences morales et politiques de l'[[Académie royale de Belgique]], puis membre titulaire en [[1929]] et directeur de sa Classe en [[1933]]. Il futest un fervent opposant à [[Léopold II de Belgique|Léopold II]] et au pouvoir absolu dont il jouissait au [[État indépendant du Congo|Congo]] durant les années [[1890]]. Le débat s'intensifia en [[1906]] et amena à l'annexion du Congo par la Belgique le {{date-|15|novembre|1908}}.
En août [[1914]], il est nommé [[Ministre d'État#Belgique|Ministre d'État]] par le [[Albert Ier de Belgique|roi]]. Dès [[1916]], il devient membre du Conseil des ministres du gouvernement belge en exil en France, à [[Sainte-Adresse]], puis ministre de l'Intendance de [[1917]] à [[1918]] jusqu'à la reconquête de territoire occupé, par les troupes belges et les alliés. Il participera ensuite à la [[Conférence de paix de Paris (1919)|Conférence de la Paix]] à [[Paris]] comme membre de la délégation officielle belge. Au cours des négociations, il s'opposa à toute formes d'acquisitions de territoire. En {{date-|septembre 1920}}, il fit partie de la délégation (avec [[Camille Huysmans]], [[Louis De Brouckère]] et sa femme, [[Ramsay MacDonald]], [[Thomas Shaw]], Mme [[Philip Snowden]], [[Pierre Renaudel]], [[Albert Inghels]], [[Luise Kautsky |Luise]] et [[Karl Kautsky]]) de l'Internationale Socialiste qui visita la [[République démocratique de Géorgie]] dirigée par le [[Parti ouvrier social-démocrate géorgien|Parti social-démocratique de Géorgie]].
 
Il est élu député et représente [[Charleroi]] de 1894 à 1900, puis [[Bruxelles]] de 1900 à 1938. Il est président de la [[Internationale ouvrière|Seconde Internationale]] de 1900 à 1918.
Il reçut le portefeuille de [[ministère de la Justice (Belgique)|ministre de la Justice]] de [[1918]] à [[1921]] où il défendit la réforme pénitentiaire, la lutte contre l'[[boisson alcoolisée|alcool]], les droits syndicaux, les [[droits de la femme]], etc. Il fut ensuite ministre des Affaires étrangères de [[1925]] à [[1927]] où il contribuera à l'élaboration du [[pacte de Locarno]] patronné par le premier ministre français [[Aristide Briand]] et le secrétaire d'état américain [[Frank Billings Kellogg]]. Il fut de nouveau membre du [[Conseil des ministres]] de [[1935]] à [[1936]], ministre de la Santé publique de [[1936]] à [[1937]] dans le cabinet de [[Paul Van Zeeland]]. Pendant ces vingt années, les socialistes belges voient aboutir plusieurs des réformes politiques qu’ils avaient appelées de leurs vœux :
 
Lors de la [[Première Guerre mondiale]], il approuve la décision de résister à l'armée allemande bien qu'étant socialiste. Il entre dans le gouvernement d'Union sacrée en 1916 <ref>[[Pascal Delwit]], ''La vie politique en Belgique de 1830 à nos jours'', Bruxelles, [[Éditions de l'Université de Bruxelles]], 2010, p. 84</ref>. Dès [[1916]], il devient membre du Conseil des ministres du gouvernement belge en exil en France, à [[Sainte-Adresse]], puis ministre de l'Intendance de [[1917]] à [[1918]] jusqu'à la reconquête de territoire occupé, par les troupes belges et les alliés.
 
En août [[1914]], il est nommé [[Ministre d'État#Belgique|Ministre d'État]] par le [[Albert Ier de Belgique|roi]]. Dès [[1916]], il devient membre du Conseil des ministres du gouvernement belge en exil en France, à [[Sainte-Adresse]], puis ministre de l'Intendance de [[1917]] à [[1918]] jusqu'à la reconquête de territoire occupé, par les troupes belges et les alliés. Il participeraparticipe ensuite à la [[Conférence de paix de Paris (1919)|Conférence de la Paix]] à [[Paris]] comme membre de la délégation officielle belge. Au cours des négociations, il s'opposaoppose à toute formesforme d'acquisitionsacquisition de territoire. En {{date-|septembre 1920}}, il fitfait partie de la délégation (avec [[Camille Huysmans]], [[Louis De Brouckère]] et sa femme, [[Ramsay MacDonald]], [[Thomas Shaw]], Mme [[Philip Snowden]], [[Pierre Renaudel]], [[Albert Inghels]], [[Luise Kautsky |Luise]] et [[Karl Kautsky]]) de l'Internationale Socialiste qui visitavisite la [[République démocratique de Géorgie]] dirigée par le [[Parti ouvrier social-démocrate géorgien|Parti social-démocratique de Géorgie]].
 
Il reçoit le portefeuille de [[ministère de la Justice (Belgique)|ministre de la Justice]] de [[1918]] à [[1921]] où il défend la réforme pénitentiaire, la lutte contre l'[[boisson alcoolisée|alcool]], les droits syndicaux, les [[droits de la femme]], etc.
 
Il est ensuite ministre des Affaires étrangères de [[1925]] à [[1927]] où il contribuera à l'élaboration du [[pacte de Locarno]] patronné par le premier ministre français [[Aristide Briand]] et le secrétaire d'état américain [[Frank Billings Kellogg]].
 
Il est élu député et représente [[Charleroi]] de 1894 à 1900, puis [[Bruxelles]] de 1900 à 1938. Il est président de la [[Internationale ouvrière|Seconde Internationale]] de 1900 à 1918 et est nommé ministre d’État en 1914. Lors de la guerre et de l'attaque allemande de la Belgique, il approuve la décision de résister et va entrer dans le gouvernement d'Union sacrée en 1916 <ref>[[Pascal Delwit]], ''La vie politique en Belgique de 1830 à nos jours'', Bruxelles, Éditions de l'Université de Bruxelles, 2010, p. 84</ref>. Il participe en 1923 à la fondation de l'[[Internationale ouvrière socialiste]], dont il est président jusqu'en 1938 et dont [[Friedrich Adler (homme politique)|Friedrich Adler]] est le secrétaire. Son siège se trouva successivement à [[Londres]], [[Zurich]] puis [[Bruxelles]] à partir de 1935. Il est l'instigateur de la politique de participation délibérée des partis socialistes aux gouvernements de coalition.
 
En [[1933]], date de la création de la fonction, il assure la présidence du [[Parti socialiste belge|Parti Ouvrier Belge]] (P.O.B.) et ce durant les cinq dernières années de sa vie. Ses principaux combats concernent l’instauration du suffrage universel et la démocratie sociale. Du point de vue théorique, il discutera beaucoup sur le rôle de l'[[État]] dans une société socialiste.
 
Il est de nouveau membre du [[Conseil des ministres]] de [[1935]] à [[1936]], ministre de la Santé publique de [[1936]] à [[1937]] dans le cabinet de [[Paul Van Zeeland]]. Pendant ces vingt années, les socialistes belges voient aboutir plusieurs des réformes politiques qu’ils avaient appelées de leurs vœux :
* le suffrage universel d'une voix par électeur remplaçant l'ancienne formule d'un suffrage universel vicié par le suffrage plural;
* la liberté syndicale ;
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* la loi contre l'alcoolisme, dite « loi Vandervelde ».
 
En [[1933]], date de la création de la fonction, il assure la présidence du [[Parti socialiste belge|Parti Ouvrier Belge]] (P.O.B.) et ce durant les cinq dernières années de sa vie. La [[guerre civile espagnole]] de [[1936]] à [[1939]] créacrée une véritable scission entre deux générations socialistes belges. [[Henri De Man]] et [[Paul-Henri Spaak]] prônent la neutralité dans le conflit tandis que Vandervelde s'y oppose en dénonçant la menace grandissante du [[fascisme]]. À la suite de cela, il finit par démissionner du gouvernement.
 
== Carrière académique et varia ==
Il est professeur à l’[[Université libre de Bruxelles]]. Il collabore au ''Germinal'', journal littéraire, artistique et social, au ''Mouvement social'' et à la ''Revue Rouge''.
 
En [[1913]], il est nommé membre correspondant de la Classe des Lettres et des Sciences morales et politiques de l'[[Académie royale de Belgique]], puis membre titulaire en [[1929]] et directeur de sa Classe en [[1933]].
En [[1933]], date de la création de la fonction, il assure la présidence du [[Parti socialiste belge|Parti Ouvrier Belge]] (P.O.B.) et ce durant les cinq dernières années de sa vie. La [[guerre civile espagnole]] de [[1936]] à [[1939]] créa une véritable scission entre deux générations socialistes belges. [[Henri De Man]] et [[Paul-Henri Spaak]] prônent la neutralité dans le conflit tandis que Vandervelde s'y oppose en dénonçant la menace grandissante du [[fascisme]]. À la suite de cela, il finit par démissionner du gouvernement.
 
[[Franc-maçon]], il fut membre de la [[Loge maçonnique|Loge]] ''[[Les Amis philanthropes]]'' du [[Grand Orient de Belgique]], à Bruxelles<ref>Nicoletta Casano, ''Libres et persécutés. Francs-maçons et laïques italiens en exil pendant le fascisme'', Paris, Garnier, 2015, p. 142.</ref>.
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Il est inhumé au [[Cimetière de Bruxelles]] à [[Evere]].
== Distinctions et hommages ==
Il est nommé ministre d'État en août 1914 par le roi [[Albert Ier (roi des Belges)|Albert I<sup>er</sup>]]. Un monument avec un buste à son effigie, œuvre de [[Dolf Ledel]], a été érigé en 1933 à Anderlecht.
 
Son nom a été donné à une avenue à [[Bellaire (Gesves)|Bellaire]], [[Woluwe-Saint-Lambert]], [[Orp-le-Grand]], [[Châtelet (Belgique)|Châtelet]], [[Grâce-Hollogne]], [[Waremme]] et Niel, à une rue à [[Anderlecht]], [[Monceau-sur-Sambre]], [[Fleurus]], [[Nivelles]], [[Mons]], [[Liège]],[[Wanze]], Leuze-En-Hainaut, [[Marche-lez-Écaussinnes]] et [[Boom (Belgique)|Boom]] et à une place à [[Ciney]], [[Saint-Nicolas (Flandre-Orientale)|Saint-Nicolas]], [[Waterloo]] et à [[Dour]].
==Vie personnelle==
 
Il a reçu la distinction suivante :
Vandervelde et sa première épouse étaient issus de milieux aisés. En 1904, la fortune du couple est estimée à 4 800 000 francs belges. Ils possèdent un yacht et plusieurs maisons<ref>{{Article|titre=A propos du congrès d'Amsterdam|périodique=Gazette de Lausanne|date=8-3-1904|lire en ligne=https://www.letempsarchives.ch/page/GDL_1904_08_3)1/2/article/276983/Vandervelde|accès url=libre|format=pdf|pages=3}}</ref>.
* {{Déco Grand-croix de la Légion d'honneur}} en 1925 (France).
 
== Ouvrages ==
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* ''Les Associations professionnelles d'artisans et d'ouvriers en Belgique'' (1891)
* ''L'université d'Upsal'' (1892)
* '' L'île de l'Occident'' (1892) [https://www.google.be/books/edition/L_%C3%AEle_de_l_Occident/mj5xM5qOVZIC?hl=en&gbpv=1&dq=inauthor:%22Emile+Vandervelde%22&printsec=frontcover lire en ligne]
* '' L'île de l'Occident'' (1892)
* ''Parasitisme organique et parasitisme social '' (1893)
* '' Au Monténégro'' (1893)
Ligne 60 ⟶ 80 :
* ''Le socialisme agricole : Discours prononcé à la Chambre'' (1896)
* ''L'Évolution industrielle et le collectivisme'' (1896). Réédité en 2008 sous le titre ''Le Collectivisme et l'évolution industrielle''.
* ''Les lois sociales en Belgique : Discours prononcé le 12 mars 1897'' (1897) En ligne: [https://www.google.be/books/edition/Les_lois_sociales_en_Belgique/RAnZAAAAMAAJ?hl=en&gbpv=1 lire en ligne]
* '' Le Parti Ouvrier et l'alcool'' (1897)
* '' L'Évolution régressive: en biologie et en sociologie'' (1897) [https://www.google.be/books/edition/L_%C3%A9volution_r%C3%A9gressive_en_biologie_et/mXZDAAAAIAAJ?hl=en&gbpv=1&dq=inauthor:%22Emile+Vandervelde%22&printsec=frontcover lire en ligne]
 
* ''La Question agraire en Belgique'' (1897)
* ''Vers le collectivisme'' (1898) [https://numanar.files.wordpress.com/2015/10/vers_le_collectivisme.pdf lire en ligne]
* ''Le Parti Ouvrier et la religion '' (1898)
* ''L'influence des villes sur les campagnes: monographies locales La Hulpe'' (1898)
* ''Vers le collectivisme '' ( 1898)
* '' Parasitisme organique et parasitisme social '' (1898)
* ''Le [[Socialisme]] en Belgique'', avec [[Jules Destrée]] (1898). Paris, V. Giard & E. Brière, {{2e|édition}}, 1903 [https://archive.org/stream/lesocialismeenb00vandgoog#page/n11/mode/2up lire en ligne]
Ligne 73 ⟶ 94 :
* '' Le socialisme et la transformation capitaliste de l'agriculture'' (1899)
* '' L'influence des villes sur les campagnes : la propriété foncière dans les provinces du Luxembourg, de Namur, de la Flandre Orientale et de la Flandre Occidentale; [suivi de] La propriété foncière dans les provinces d'Anvers et de Limbourg'' (1899)
* ''La Propriété foncière en Belgique'' (1900) [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5516100p lire en ligne]
* '' L'alcoolisme et les conditions du travail: conférence '' (1900)
* '' Le collectivisme et l'Évolution industrielle'' (1900)
Ligne 82 ⟶ 103 :
* '' L'État et les charbonnages'' (1902)
* {{Ouvrage|langue=fr|titre=Essais sur la question agraire en Belgique|lieu=Paris|éditeur=Éditions du Mouvement socialiste|année=1902|pages totales=210|lire en ligne=https://archive.org/stream/essaissurlaquest00vanduoft#page/n5/mode/2up|consulté le=11 septembre 2011}}
* ''L'Exode rural et le retour aux champs'' (1903) [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5506885x lire en ligne]
* ''Vive la Commune !'' (1903) [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5695818x lire en ligne]
* '' Socialisme et suffrage universel: Conférence-type'' (1903)
* '' De Staat en de Koolmijnen'' (1903)
Ligne 91 ⟶ 112 :
* '' Vingt ans après! : lettre ouverte aux travailleurs belges'' (1905)
* ''Le Socialisme et l'agriculture'' (1906)
* '' Essais socialistes: l'alcoolisme - la religion - l'art'' (1906) [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54503894 lire en ligne]
* '' Le socialisme et l'agriculture : cours professé en 1906 à l'Université nouvelle de Bruxelles'' (1906)
* ''Les Crimes de la colonisation capitaliste'' (1906) ; texte procuré en ligne par Wikisource : [[s:Les Crimes de la colonisation capitaliste]]
Ligne 102 ⟶ 123 :
* '' Impressions d'Amérique'' (1909)
* '' Le droit de grève: cours professé à l'École des Hautes Études sociales'' (1909)
* '' Les socialistes et les bons templiers'' (1910) [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k319859x lire en ligne]
* '' Les avantages de la propriété communale'' (1910)
* '' Les dix dernières années du règne de Léopold II : 1900-1910'' (1910)
Ligne 109 ⟶ 130 :
* '' Le Socialisme contre l'État'' (1911)
* '' L'action socialiste : lettre à la gazette de Bruxelles'' (1911)
* '' Le Parti Ouvrier et les prochaines élections: discours du citoyen E. Vandervelde élection'' (19121911)
* ''Les socialistes et les bons templiers'' (1912)
* '' Le vote plural renversé '' (1912)
* '' La liberté syndicale: et le personnel de l'État en Belgique '' (1913)
* '' La coopération neutre et la coopération socialiste '' (1913) [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5701428f lire en ligne]
* '' Ce qu'il faut lire pour devenir un militant socialiste'' (1913)
* '' La grève générale en Belgique (avril 1913) '' (1914)
* {{Ouvrage|langue=fr|titre=La Belgique envahie et le socialisme international|lieu=Paris|éditeur=[[Berger-Levrault]]|année=1917|pages totales=234|lire en ligne=https://archive.org/stream/labelgiqueenvahi00vanduoft#page/n11/mode/2up|consulté le=11 septembre 2011}}
* '' Stockholm 1917 : Mémoire'' avec Louis De Brouckère (1917)
* {{Ouvrage|langue=fr|titre=Le Socialisme contre l'État|lieu=Paris|éditeur=[[Berger-Levrault]]|année=1918|pages totales=176|lire en ligne=https://archive.org/stream/lesocialismecon00vandgoog|consulté le=11 septembre 2011}}
* '' Trois aspects de la Révolution Russe: 7 mai- 25 juin 1917'' (1918) [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3723396 lire en ligne]
* '' Dans la Mêlée '' (1919). [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3702981.r=Vandervelde%2C%20%C3% lire en ligne]
* '' Le collectivisme: et l'Évolution industrielle'' (1921)
* '' Les trois promesses du Bolchévisme'' (1921)
Ligne 141 ⟶ 163 :
* '' Le Marxisme a-t-il fait Faillite?'' (1928)
* '' La psychologie du socialisme: à propos des trois livres récents Karl Kautsky, N. Boukharine et Henri de Man'' (1928)
* ''Le Pays d'Israël'' (1929). [https://www.europeana.eu/en/item/233/urn_nbn_de_hebis_30_180014792096 lire en ligne]
* '' Pour l'union de tous les travailleurs: le Parti Ouvrier aux intellectuels'' (1929)
* '' Journalisme socialiste '' (1929)
* '' Etudes Marxistes '' (1929)
* '' Ce qu'il s'est passé en chine depuis mon voyage en Extrême-Orient'' (1930)
* ''À travers la révolution chinoise. Soviets et Kuomintang'', Bruxelles, L'églantine, (1931). [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6207691r lire en ligne]
* '' Le néo-capitalisme et travaillisme aux États-Unis'' (1932)
* ''L'Alternative : [[capitalisme d'État]] ou socialisme démocratique'' (1933). [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6207691r lire en ligne]
* ''Le cinquantenaire du Parti Ouvrier belge 1885-1935'' (1936)
* ''Note sur Hector Denis'' (1937)
* ''Ce que nous avons vu en Espagne'' (1938)
* '' Souvenir d'un militant socialiste'' (1939). Lisible sur [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5009s lire en ligne]
 
== Notes et références ==
Ligne 221 ⟶ 243 :
[[Catégorie:Étudiant de l'université libre de Bruxelles]]
[[Catégorie:Décès à 72 ans]]
[[Catégorie:Professeur à l'université nouvelle de Bruxelles]]
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