Max Rooses

écrivain, historien de l'art, critique d'art et conservateur de musée belge (1839-1914)

Max Rooses (1839-1914) est un critique, historien de l'art et conservateur de musée belge.

Max Rooses
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 75 ans)
AnversVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Maximilien RoosesVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Petrus ComestorVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Koninklijk Atheneum Antwerpen (d) (-)
Université de Liège (à partir de )Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Période d'activité
Rédacteur à
Nieuwe Rotterdamsche Courant (-), De Vlaamse Gids, De Kleine Gazet (d), De Nieuwe Gazet (d), Het Vaderland (d) (-)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Musée Plantin-Moretus (à partir de )
Koninklijk Atheneum Voskenslaan (-)
Koninklijk Atheneum Antwerpen (d) (-)Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Personne liée
Guido Gezelle (épistolier)Voir et modifier les données sur Wikidata
Archives conservées par
Œuvres principales
L'oeuvre de P. P. Rubens; histoire et description de ses tableaux et dessins (d), Geschiedenis der Antwerpsche schilderschool (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Éléments biographiques

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Maximilien Rooses naît à Anvers le dans un milieu aisé. Diplômé en philosophie et lettres de l'université de Liège, il enseigne le néerlandais aux athénées de Namur et de Gand, ville où il cofonde en 1867 Het Volksbelang (nl), un journal libéral progressiste. Il est nommé en 1876 conservateur du musée Plantin-Moretus d'Anvers. En 1886, il est également l'un des membres fondateurs de la Koninklijke Vlaamse Academie voor Taal- en Letterkunde[3]. Il est élu membre de l'Académie royale de Belgique le [4]. En 1905, il fonde avec Paul Fredericq la revue culturelle De Vlaamse Gids.

Max Rooses meurt dans sa ville natale le .

Engagements

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Max Rooses était un libéral. Membre du Willemsfonds, il milita pour la néerlandisation de l'université de Gand – il présida la Vlaamsche Hoogeschoolcommissie créée en 1907 – et de l'enseignement secondaire en Flandre. En 1913, il fut l'un des confondateurs du Liberaal Vlaams Verbond (nl), une association libérale flamingante. Il était également franc-maçon.

Publications

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  • Geschiedenis der Antwerpsche schildersschole, 1873
  • Levensschets van Jan Frans Willems, 1874
  • Schetsenboek, 1877
  • Over de Alpen, 1880
  • Christophe Plantin, 1882
  • Nieuw Schetsenboek, 1882
  • Derde Schetsenboek, 1885
  • L'Œuvre de P. P. Rubens, 1886-1892
  • Letterkundige Studiën, 1894
  • Oude en nieuwe kunst, 1895-1896
  • Alexander Struys, 1896[5]
  • Vijftig meesterwerken van Antoon van Dijck, 1900
  • Rubens' leven en werken, 1903
  • Jordaens' leven en werken, 1906
  • Le Musée Plantin-Moretus , 1914

Notes et références

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  1. « http://www.archiefbank.be/dlnk/AE_14323 »
  2. « http://www.archiefbank.be/dlnk/AE_17265 »
  3. (nl) « Rooses, Max », sur kantl.be (consulté le ).
  4. « Maximilien Rooses », sur www.academieroyale.be (consulté le ).
  5. Alexandre Struys

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Pierre Bautier, « Notice sur Max Rooses », Annuaire, Bruxelles, Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique,‎ , p. 55-60 (lire en ligne, consulté le ).
  • (nl) José De Ceulaer, « Rooses, Max », dans G. J. van Bork et P. J. Verkruijsse (dir.), De Nederlandse en Vlaamse auteurs : van middeleeuwen tot heden met inbegrip van de Friese auteurs, Weesp, De Haan, (ISBN 90 228 4565 6, lire en ligne), p. 496-497.
  • Pol Defosse, Dictionnaire historique de la laïcité en Belgique, Liège, Luc Pire Éditions, (lire en ligne), p. 247.
  • Paul Delsemme, Les Écrivains francs-maçons de Belgique, Bruxelles, Bibliothèques de l'université libre de Bruxelles, , 568 p. (lire en ligne), p. 462-463.

Liens externes

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