Rue Saint-Florentin

voie parisienne

La rue Saint-Florentin est une voie des 1er et 8e arrondissements de Paris.

1er, 8e arrts
Rue Saint-Florentin
Voir la photo.
Rue Saint-Florentin vue de la rue de Rivoli.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissements 1er
8e
Quartiers Place-Vendôme
Madeleine
Début 2, place de la Concorde, 258, rue de Rivoli
Fin 271, rue Saint-Honoré
Morphologie
Longueur 165 m
Largeur Minimum : 12 m
Historique
Création Vers 1640
Dénomination
Ancien nom Cul-de-sac de l'Orangerie
Rue de l'Orangerie
Petite rue des Tuileries
Géocodification
Ville de Paris 8837
DGI 8611
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue Saint-Florentin
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Situation et accès

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Elle débute entre le 2, place de la Concorde et le 258, rue de Rivoli. Elle se termine au 271, rue Saint-Honoré où elle est prolongée par la rue du Chevalier-de-Saint-George (actuel nom de l’ancienne « rue Richepance »). Le côté des numéros pairs se trouve dans le 1er arrondissement tandis que le côté des numéros impairs appartient au 8e arrondissement.

Elle est bordée notamment par l’hôtel Saint-Florentin (dit aussi « hôtel de Talleyrand-Périgord ») qui abritait jusqu'en 2007 le consulat des États-Unis (d'abord remplacé par d'autres services de l'ambassade des États-Unis en France, puis loué à diverses sociétés dont le cabinet d'avocats américain Jones Day), ainsi que par l'hôtel de la Marine qui accueillit le ministère de la Marine à partir de 1789 et est actuellement le siège de l'état-major de la Marine nationale.

Origine du nom

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Cette voie a pris ce nom car le duc de la Vrillière, comte de Saint-Florentin, ministre et secrétaire d'État, y avait fait construire son hôtel particulier.

Historique

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La rue Saint-Florentin était à l'origine une impasse nommée « cul-de-sac de l'Orangerie ». En 1730, une partie des terrains qui la bordaient (correspondant aux numéros impairs) appartenaient à Louis XV et l'autre partie (correspondant aux numéros pairs) au financier Samuel Bernard.

En 1758, au moment de la création de la place de la Concorde, l'impasse devint la « rue de l'Orangerie ». Elle s'est également appelée « petite rue des Tuileries ».

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

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Habitants célèbres

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Galerie

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Notes et références

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  1. AMBASSADE ET CONSULATS DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE EN FRANCE
  2. paris revolutionnaire
  3. Talleyrand, vie privée
  4. ROBESPIERRE (Augustin)
  5. Mémoires de Charlotte Robespierre sur ses deux frères, p. 87.
  6. CHARLOTTE ROBESPIERRE ET SES « MÉMOIRES par Gabriel PIORO et Pierre LABRAGHERIE, p. 14.
  7. Hervé Leuwers (2014), Robespierre, p. 245.
  8. Félix de Rochegude, op. cit., p. 26.
  9. Mathilde Dion, « Louis Süe », Notices biographiques d'architectes français, Paris, Ifa/Archives d'architecture du XXe siècle, 1991, 2 vol.
  10. a et b Félix de Rochegude, op. cit., p. 9.
  11. Mémoires de B. Barère, p. 50
  12. L’Univers illustré, 31 mai 1890.
  13. Paris revolutionnaire

Bibliographie

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  • Félix de Rochegude, Promenades dans toutes les rues de Paris. VIIIe arrondissement, Paris, Hachette, 1910.

Articles connexes

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