Labrosse

ancienne commune française du département du Loiret

Labrosse est une ancienne commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle du Malesherbois[2].

Labrosse
Labrosse
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loiret
Arrondissement Pithiviers
Intercommunalité CC du Pithiverais-Gâtinais
Maire délégué
Mandat
Jean-Pierre Citron
2016-2020
Code postal 45330
Code commune 45057
Démographie
Gentilé Labrossiens[1]
Population 82 hab. (2013)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 14′ 42″ nord, 2° 23′ 35″ est
Altitude Min. 106 m
Max. 134 m
Superficie 4,09 km2
Élections
Départementales Malesherbes
Historique
Commune(s) d'intégration Le Malesherbois
Localisation
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Labrosse
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Labrosse
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Labrosse
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Labrosse

Aux XVIIIe et XIXe siècles, le nom de la commune s'est également orthographié La Brosse[3].

Géographie

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Localisation

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Carte de la commune de Labrosse et des communes limitrophes

La commune de Labrosse se trouve dans le quadrant nord du département du Loiret, dans la région agricole de la Beauce riche[4] et l'aire urbaine de Paris[5]. À vol d'oiseau, elle se situe à 52,2 km d'Orléans[6], préfecture du département, à 12,7 km de Pithiviers[7], sous-préfecture, et à 5,9 km de Malesherbes, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de Malesherbes[5].

Les communes les plus proches sont : Dimancheville (2,9 km), Briarres-sur-Essonne (3,1 km), Orville (3,3 km), Augerville-la-Rivière (3,4 km), Boulancourt (3,5 km, en Seine-et-Marne), Coudray (3,7 km), Manchecourt (3,9 km), Ondreville-sur-Essonne (5 km), Buthiers (5,4 km) et Aulnay-la-Rivière (5,4 km)[8].

Hydrographie

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Aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune[9].

Milieux naturels et biodiversité

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Zones nationales d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Labrosse comprend deux ZNIEFF[10].

La ZNIEFF, de deuxième génération et de type 2[Note 1], dénommée « Coteaux de l'Essonne et de la Rimarde », d'une superficie de 1 812 hectares, s'étend sur 17 communes, dont Labrosse dans la partie nord de la commune[11]. Son altitude varie entre 90 et 140 m[12]. Les coteaux de l'Essonne et de la Rimarde sont un des espaces les plus intéressants du Loiret sur le plan biologique et écologique et géologique, tant pour les habitats naturels et les espèces d'intérêt patrimonial qu'ils abritent que pour le rôle fonctionnel qu'ils jouent. Les éléments singuliers et typiques de la flore sont notamment l'aster amelle (station très localisée), le carex de Haller, le lin de Léon, la violette des rochers ou encore le petit pigamon[13].

La ZNIEFF, de deuxième génération et de type 1, dénommée « Pelouses calcicoles du Vieux clos », d'une superficie de 46 hectares, Elle s'étend sur plusieurs communes, dont Labrosse est situéed sur la frange nord-ouest de la ZNIEFF correspondant à la partie est de la commune[14]. Son altitude varie entre 120 et 130 m[15]. Cette zone se distingue par son étendue et sa diversité floristique, malgré la fragmentation des milieux ouverts. On notera la présence du Polygale du calcaire (Polygala calcarea), de l'anémone pulsatille (Pulsatilla vulgaris) et surtout du Lin des Anglais (Linum leonii). Plusieurs messicoles des sols calcaires sont aussi à signaler dont le Caucalis à fruits plats (Caucalis platycarpos) ou le Silène de nuit (Silene noctiflora)[16].

Zone Natura 2000

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La commune de Labrosse est intégrée depuis 2004 au réseau Natura 2000. Le site « Vallée de l'Essonne et vallons voisins », qui concerne 19 communes du Loiret, est en effet déclaré site d'importance communautaire (SIC) au titre de la directive directive habitats (92/43/CEE)[17] le puis zone spéciale de conservation (ZSC) le [18],[19].

Le site, très éclaté, se compose d’une multitude d’îlots plus ou moins isolés, qui se répartissent sur une surface de plus de 60 000 hectares, entre la vallée de la Juine à l’ouest et la vallée de l’Essonne à l’est, dans la petite région naturelle du Pithiverais. Le site lui-même ne couvre qu’une surface de 969 hectares[20]. Il s’agit d’un ensemble formé par les coteaux et les vallées qui constituent l’entité la plus étendue et la plus remarquable du Loiret au titre de la flore calcicole. On recense plusieurs espèces végétales en limite de leur aire de répartition (cardoncelle douce, baguenaudier). Les fonds de vallée de la ZSC renferment plusieurs vastes mégaphorbiaies et stations marécageuses[21]. Outre les espèces thermophiles des pelouses, sont intégrées au site des espèces est-européennes également en limite d’aire de répartition comme l’inule hérissée et les pétasites. De manière complémentaire dans l’intérêt floristique, un très important cortège mycologiques, lichenique et entomologique a été identifié[21].

Selon le FSD (Formulaire Standard des Données), le site Natura 2000 est occupé par une diversité d’habitats inscrits a l’annexe 1, dont on retiendra tout particulièrement les pelouses sèches seminaturelles et faciès d’embroussaillement sur calcaire[21]. La présence de populations d'espèces d'insectes inscrites à l’annexe II de la directive 92/43/CEE comme le lucane cerf-volant (Lucanus cervus) ou l'écaille chinée (Euplagia quadripunctaria) et de poissons comme le chabot commun (Cottus gobio), la bouvière (Rhodeus amarus ) ou la lamproie de Planer (Lampetra planeri) caractérisent le site[21].

Le secteur de Labrosse comprend plusieurs noyaux du site Natura 2000 constitués de pelouses sèches sur calcaire[22],[23].

Histoire

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Politique et administration

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Découpage territorial

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Bloc communal : Commune et intercommunalités

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La paroisse de Labrosse acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l'Assemblée Nationale[24] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[25]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[26].

La commune était membre de la Communauté de communes du Malesherbois depuis sa création le jusqu'à sa disparition le , un établissement public de coopération intercommunale issu de la transformation en communauté de communes du S.I.Vo.M de la Région de Malesherbes, créé en [27].

Circonscriptions de rattachement

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Sous l'Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse de Labrosse était rattachée sur le plan ecclésiastique à l'ancien diocèse d'Orléans, sur le plan judiciaire au bailliage d'Orléans , sur le plan militaire au gouvernement d'Orléans et sur le plan administratif à la généralité d'Orléans, élection de Pithiviers[28].

La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Labrosse est alors incluse dans le canton de Malesherbes, le district de Pithiviers et le département du Loiret[29].

La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838[30]. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l'action de l'État. La régionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit à la création de régions[31]. L'acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l'autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes[32]. L'acte II intervient en 2003-2006[33], puis l'acte III en 2012-2015.

Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Labrosse aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

Circonscription Nom Période Type Évolution du découpage territorial
District Pithiviers 1790-1795 Administrative La commune est rattachée au district de Pithiviers de 1790 à 1795[3],[29]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance[34].
Canton Malesherbes 1790-1801 Administrative et électorale Le , la municipalité de Labrosse est rattachée au canton de Malesherbes[35]. Les cantons acquièrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
Malesherbes 1801-2015 Sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 59 à 31[36]. Labrosse est alors rattachée par arrêté du 9 vendémiaire an X () au canton de Malesherbes[37],[3].
Malesherbes 2015- Électorale La loi du [38] et ses décrets d'application publiés en février et [39] introduisent un nouveau découpage territorial pour les élections départementales. La commune est alors rattachée au nouveau canton de Malesherbes[39]. Depuis cette réforme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compétence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau découpage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est désormais uniquement une circonscription électorale dédiée à l'élection d'un binôme de conseillers départementaux siégeant au conseil départemental[40].
Arrondissement Pithiviers 1801-1926 Administrative Labrosse est rattachée à l'arrondissement de Pithiviers par arrêté du 9 vendémiaire an X ()[3],[37].
Orléans 1926-1942 Sous la Troisième République, en raison d'un endettement considérable et de l'effort nécessaire pour la reconstruction post-Première Guerre mondiale, la France traverse une crise financière. Pour réduire les dépenses de l’État, Raymond Poincaré fait voter plusieurs décrets-lois réformant en profondeur l’administration française : 106 arrondissements sont ainsi supprimés, dont ceux de Gien et de Pithiviers dans le Loiret par décret du [41]. Labrosse est ainsi transférée de l'arrondissement de Pithiviers à celui d'Orléans[3],[42].
Pithiviers 1942- La loi du rétablit l'arrondissement de Pithiviers[42]. Labrosse est alors à nouveau rattachée à l'arrondissement de Pithiviers[43].
Circonscription législative 5e circonscription 2010- Électorale Lors du découpage législatif de 1986, le nombre de circonscriptions législatives passe dans le Loiret de 4 à 5. Un nouveau redécoupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siège de député « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par département varie désormais de 1 à 21[44],[45]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq à six[46]. La réforme n'affecte pas Labrosse qui reste rattachée à la cinquième circonscription[47].

Collectivités de rattachement

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La commune de Labrosse est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire[43], à la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivités territoriales.

Politique et administration municipales

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Conseil municipal et maire

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Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Labrosse, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours, les électeurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul[48], pour un mandat de six ans renouvelable[49]. Il est composé de 7 membres [50]. L'exécutif communal, est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil.

En , Coudray devient Commune déléguée de la Commune nouvelle de Le Malesherbois [2].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 décembre 2015 Jean-Pierre Citron    

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[52],[Note 2].

En 2013, la commune comptait 82 habitants, en évolution de −5,75 % par rapport à 2008 (Loiret : +2,48 %, France hors Mayotte : +2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
176157166160160191155138144
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
149174156142138133137140154
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
14913312011811112211611087
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2013 -
9598948781877982-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[3] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église abrite deux objets classés Monuments historiques au titre d'objet : un tronc en bois et en fer datant des XVe et XVIe siècles classé le [54] et une statue en bois datant du XVIIIe siècle représentant saint Mammes classée le [55].

Enseignement

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Labrosse est situé dans l'académie d'Orléans-Tours et dans la circonscription de Pithiviers[56].

Notes et références

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  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références

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  1. « Gentilés des communes du Loiret », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. a et b « arrêté de création » (consulté le ).
  3. a b c d e et f Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  4. « Zonage en petites régions agricoles », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. a et b « Fiche communale », sur insee.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre "Labrosse" et "Orléans" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre "Labrosse" et "Pithiviers" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  8. « Villes les plus proches de Labrosse »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  9. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  10. « Liste des ZNIEFF de la commune de Labrosse », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Découpage communal de la ZNIEFF 240030654 - Coteaux de l'Essonne et de la Rimarde », sur le site des zonages du domaine de la Biodiversité, publié par la DREAL Centre. (consulté le ).
  12. « ZNIEFF 240030654 - Coteaux de l'Essonne et de la Rimarde - fiche de synthèse », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF 240030654 - Coteaux de l'Essonne et de la Rimarde - fiche descriptive. », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Découpage communal de la ZNIEFF 240030592 - 240030654 », sur le site des zonages du domaine de la Biodiversité, publié par la DREAL Centre. (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 240030592 - Pelouses calcicoles du Vieux clos - fiche de synthèse », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 240030592 - Pelouses calcicoles du vieux clos- fiche descriptive. », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  18. « Arrêté du 29 novembre 2011 portant désignation du site Natura 2000 vallée de l'Essonne et vallons voisins », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Site Natura 2000 FR2400523 - - fiche de synthèse », sur le site de l'Atelier technique des espaces naturels du ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie (consulté le ).
  20. « Site Natura 2000 n°2400523 « Vallée de l'Essonne et vallons voisins » - Document d'objectifs - Introduction présentation », sur le site de la DREAL Centre (consulté le ), p. 7.
  21. a b c et d « Site Natura 2000 n°FR2400523 - - fiche détaillée », sur le site de l'Atelier technique des espaces naturels du ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie (consulté le ).
  22. « Site Natura 2000 n°2400523 « Vallée de l'Essonne et vallons voisins » - Atlas cartographique - secteur de Labrosse - Habitats », sur le site de la DREAL Centre, (consulté le ).
  23. « Site Natura 2000 n°2400523 « Vallée de l'Essonne et vallons voisins » - Atlas cartographique - secteur de Labrosse - état de conservation », sur le site de la DREAL Centre, (consulté le ).
  24. Motte 2003, p. 24
  25. Motte 2003, p. 23
  26. « Les grands principes de la loi municipale de 1884 », sur le site du sénat, (consulté le ).
  27. « Communautés de communes de la région Centre-Val de Loire », sur Dictionnaire toponymique de la région Centre - Val de Loire (consulté le ).
  28. Bloch 1906, p. 731
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  31. « Historique de la décentralisation »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr, p. 41-46.
  32. « Historique de la décentralisation »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr, p. 61-72.
  33. « Historique de la décentralisation »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr, p. 118-138.
  34. Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.3. : l’œuvre révolutionnaire », sur projetbabel.org, (consulté le ).
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  36. Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.4. : le Consulat et l'Empire », sur projetbabel.org, (consulté le ).
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  51. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  52. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
  54. « Le tronc », notice no PM45000327, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
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Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Directive  92/43/CEE du Conseil concernant la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages, 31992L0043, adoptée le 21 mai 1992, JO du 22 juillet 1992, p. 7–50, entrée en vigueur le 10 juin 1992 [consulter en ligne, notice bibliographique]
  • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire géographique et méthodique de la République française en 120 départements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
  • Collectif, Loiret : un département à l'élégance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
  • Camille Bloch, Cahiers de doléances du bailliage d'Orléans pour les États généraux de 1789 - tome 1, Orléans, Ministère de l'Instruction publique, (lire en ligne)
  • Camille Bloch, Cahiers de doléances du bailliage d'Orléans pour les États généraux de 1789 - tome 2, Orléans, Ministère de l'Instruction publique, (lire en ligne)
  • Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)
  • Jean-Louis Masson, Provinces, départements, régions : l'organisation administrative de la France, Paris, Fernand Lanore, , 703 p. (ISBN 2-85157-003-X, lire en ligne).

Articles connexes

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Liens externes

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