Aller au contenu

« Chant Bédouin » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Aucun résumé des modifications
Seymour (discuter | contributions)
m SI : fait double emploi avec : Melhoun
Ligne 1 : Ligne 1 :
Le Chant Bédouin, ‘’[[Melhoun]]’’ en [[Arabe]] maghrébin, poésie a donné ses plus beaux fruits, c’est sans conteste dans cette [[Oranie]] où se mêlent harmonieusement chant citadin et chant bédouin depuis des siècles.

Tradition citadine très ancienne et toujours vivace dans cette partie de l’Algérie, de l’Ouest algérien, [[Tlemcen]], [[Tiaret]], [[Relizane]], [[Mascara (Algérie) | Mascara]], [[Mostaganem]], [[Chlef]], [[Tiaret]], [[Ain Temouchent]], [[Sidi-Bel-Abbès]], [[Saïda]] et [[Oran]] pour ne citer que ces villes-là, la balance a régulièrement penché du côté du monde bédouin. Bédouins a donné ses caractéristiques actuelles à l’immense majorité de la population présente de l’[[Oranie]].

L’éveil culturel entre les deux guerres mondiales ([[1914]] – [[1918]] et [[1936]] – [[1945]]) se caractérise par un bouillonnement marqué par des phénomènes majeurs dont la ``citadinisation`` du [[bédouin]] traditionnel avec des chanteurs comme [[Hachemi Benssmir]] ([[1877]] - [[1938]]), [[Abdelkader El Khaldi]] ([[1896]] - [[1964]]), [[Cheikh Madani]] ([[1888]] - [[1954]]), [[Cheikh Hamada]] ([[1889]] - [[1968]]) qui se produisaient surtout dans les cafés devant un auditoire de connaisseurs.

Parmi les doyens d'El [[Melhoun]] ([[poésie]]) on a: [[Lakhdar Ben Khlouf]], [[Haj Houcine Toulali]], [[Ben Msyeb]] et [[Mostefa Ben Brahim]] etc...l’auteur de cette superbe anthologie intitulée Paroles graves et Paroles légères - Kalam El Jad oua kalam el Hazl - nous convie à une délicieuse ballade à travers quelques œuvres-phares des chantres les plus représentatifs de la poésie populaire de l’[[Oranie]].

Version du 30 septembre 2009 à 15:50