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À propos de la [[peinture d'histoire]] réalisée par Charles Soubre, Bosmant pointe en 1930 qu'il y {{Citation|apporta un esprit sérieux et des dons de coloriste qui, à cette époque tout au moins, n'étaient pas négligeables}}{{Sfn|Bosmant|1930|p=92-93}} et qu'il {{Citation|cherche, plus qu'aucun autre de ses confrères, ses sources d'inspiration dans l'histoire locale, voire dans les légendes du terroir}}{{Sfn|Bosmant|1930|p=93}}. Il cite comme œuvres caractéristiques de cette production de Soubre : la ''Mort d'[[Henri IV (empereur du Saint-Empire)|Henri IV]], empereur d'[[Saint-Empire romain germanique|Allemagne]]'' (1850), ''Le départ des volontaires liégeois pour Bruxelles sous la conduite de [[Charles Rogier]]'' (1878), ''La légende du châtelain de [[Saive]]'', ''[[Pierre de Bex]] marchant au supplice'' et ''Henri de Dinant, tribun liégeois partant pour l'exil'' (1848){{Sfn|Bosmant|1930|p=93}}.
À propos de la [[peinture d'histoire]] réalisée par Charles Soubre, Bosmant pointe en 1930 qu'il y {{Citation|apporta un esprit sérieux et des dons de coloriste qui, à cette époque tout au moins, n'étaient pas négligeables}}{{Sfn|Bosmant|1930|p=92-93}} et qu'il {{Citation|cherche, plus qu'aucun autre de ses confrères, ses sources d'inspiration dans l'histoire locale, voire dans les légendes du terroir}}{{Sfn|Bosmant|1930|p=93}}. Il cite comme œuvres caractéristiques de cette production de Soubre : la ''Mort d'[[Henri IV (empereur du Saint-Empire)|Henri IV]], empereur d'[[Saint-Empire romain germanique|Allemagne]]'' (1850), ''Le départ des volontaires liégeois pour Bruxelles sous la conduite de [[Charles Rogier]]'' (1878), ''La légende du châtelain de [[Saive]]'', ''[[Pierre de Bex]] marchant au supplice'' et ''Henri de Dinant, tribun liégeois partant pour l'exil'' (1848){{Sfn|Bosmant|1930|p=93}}.

=== ''Mort d'Henri IV, empereur d'Allemagne'' (1850) ===
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Le catalogue de 1926 décrit la scène représentée par Charles Soubre :
{{Citation bloc|Henri IV, frappé d'anathème, dépouillé, trahi par son fils, chassé de son pays, vint se réfugier à Liége en 1106. Épuisé par de longues souffrances, entouré des rares amis qui lui étaient restés fidèles, il mourut, pardonnant à son fils, et remit en mains d'[[Otbert]], évêque de Liége, les seuls insignes impériaux qu'il avait pu emporter dans sa fuite : un anneau, une épée, une couronne.}}
Ce même catalogue pointe que la maison dans laquelle mourut Henri IV est située rue [[Féronstrée]] et porte l'inscription {{Citation|Ci est mort Henry IV}}<ref name=":1" />.


=== ''Le départ des volontaires liégeois pour Bruxelles sous la conduite de Charles Rogier'' (1878) ===
=== ''Le départ des volontaires liégeois pour Bruxelles sous la conduite de Charles Rogier'' (1878) ===
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==== Musées ====
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Des œuvres de Charles Soubre sont présentes dans les collections de [[La Boverie]]<ref>{{Lien web |titre=Soubre, Charles - See Photo Library results (BALaT KIK-IRPA) |url=https://balat.kikirpa.be/results.php?linkthrough=VV&linkval=Soubre,%20Charles |site=balat.kikirpa.be |consulté le=2024-07-15}}</ref>{{,}}<ref>{{Ouvrage|langue=FR|auteur1=Ville de Liège|titre=Musée des beaux-arts : catalogue|lieu=Liège|éditeur=[[Auguste Bénard|Imprimerie Bénard]]|année=1926|date=|pages totales=137|passage=69 (Soubre, Charles)|oclc=27249817|lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62270220/f91.item|consulté le=2024-07-15}}</ref>, du [[musée de la Vie wallonne]]<ref>{{Lien web |auteur=Charles Soubre |titre=Peinture figurant le Pont du Val Benoît à Liège et six maisons près de l'Union nautique (Les collections du Musée de la Vie wallonne) |url=https://collections.viewallonne.be/?queryid=a3c3e4fc-270c-4b85-b0ec-71d7927dde35 |site=collections.viewallonne.be |consulté le=2024-07-15}}</ref> et du [[Musée royal de l'Armée et de l'Histoire militaire]]''{{Sfn|Desauvage|2016|p=149}}''.
Des œuvres de Charles Soubre sont présentes dans les collections de [[La Boverie]]<ref name=":1" />{{,}}<ref>{{Lien web |titre=Soubre, Charles - See Photo Library results (BALaT KIK-IRPA) |url=https://balat.kikirpa.be/results.php?linkthrough=VV&linkval=Soubre,%20Charles |site=balat.kikirpa.be |consulté le=2024-07-15}}</ref>, du [[musée de la Vie wallonne]]<ref>{{Lien web |auteur=Charles Soubre |titre=Peinture figurant le Pont du Val Benoît à Liège et six maisons près de l'Union nautique (Les collections du Musée de la Vie wallonne) |url=https://collections.viewallonne.be/?queryid=a3c3e4fc-270c-4b85-b0ec-71d7927dde35 |site=collections.viewallonne.be |consulté le=2024-07-15}}</ref> et du [[Musée royal de l'Armée et de l'Histoire militaire]]''{{Sfn|Desauvage|2016|p=149}}''.


==== Sélection d'œuvres ====
==== Sélection d'œuvres ====

Version du 16 juillet 2024 à 12:23

Charles Soubre
Émile Delperée, Portrait de Charles Soubre, vers 1890
Fonction
Enseignant
Académie royale des beaux-arts de Liège
-
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 73 ans)
LiègeVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nom de naissance
Charles Joseph SoubreVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Belge Drapeau de la Belgique
Formation
Activité
Père
Jean Joseph Soubre
Mère
Marie Françoise Hubertine Thiriard
Fratrie
Parentèle
Charles Étienne Soubre (neveu par le frère)
Émile Delperée (gendre)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Maîtres
Genres artistiques
Distinctions

Charles Soubre, né le à Liège où il est mort le , est un peintre belge. Il est aussi professeur de dessin à l'Académie des beaux-arts de Liège de 1854 à 1889.

Biographie

Charles Joseph Soubre est le fils de Jean Joseph Soubre et de Marie Françoise Hubertine Thiriard[1]. Il est l'un des frères du compositeur Étienne Soubre[2]. En 1853, il épouse Eugénie Françoise Josephine Cajot[3], avec qui il a deux filles, Françoise née en , et Eugénie en [4],[5].

La compagne de Charles Soubre décède en [6]. Ce dernier se remarie en avec Marie Madelène Christine Wűrth, avec qui il a deux autres filles, Marie-Madeleine en [7] et Marguerite Caroline en [8]. Cette dernière décède alors qu'elle à peine âgée d'un peu plus d'un an[9].

Françoise, sa fille aînée, épouse le l'ingénieur Albert Battaille, fils de Jean Battaille, ingénieur en Russie, et de Marie Straatman, fille de l'armateur bruxellois Lambert Straatman[10]. Le , sa seconde fille Eugénie épouse le peintre Emile Delperée (né Daxhelet)[11].

En 1834, il commence des études artistiques chez Jules Van Marcke (d)[3]. De 1837 à 1843, il complète ces études à l'Académie des beaux-arts de Liège sous la supervision de Barthélémy Vieillevoye et Gilles-François Closson[12],[13],[14],[15]. Il y conquiert des premiers prix de peinture et de composition historique[3]. Il achève sa formation à l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles[14],[15],[16].

En 1844, il expose sa première toile historique représentant le retour d'un chevalier liégeois après les Croisades[3]. Il obtient ensuite de nombreuses récompenses aux salons de Londres, de Vienne et de Sydney. Son tableau La révolte des gueux lui vaut la médaille d'or du Salon de Bruxelles de 1868. Un certain nombre de ses œuvres qui ont connu un grand succès ont été vulgarisées par gravure et reproduites à de nombreux exemplaires[3].

Pendant 35 ans, de 1854 à 1889, il est professeur de dessin à l'Académie royale des beaux-arts de Liège[12],[13],[14],[15],[17].

Il décède le [1] et est inhumé au Cimetière de Robermont à Liège[18].

Œuvre

Style et techniques artistiques

Bien qu'il soit également dessinateur, Charles Soubre est surtout un peintre de sujets historiques, de scènes de genre, de portraits, de paysages et de figures féminines[14],[15],[16],[19].

Micheline Josse estime que, « bien dans l'esprit de son temps, ses compositions qui ne manquent pas de grandeur étaient fort prisées », même si « actuellement elles sont souvent jugées trop théâtrales »[15].

Une fontaine au Hourt. Grand-Halleux, avant 1895 (huile sur toile ; 31 × 42,5 cm), collection privée.

En tant que peintre paysagiste, Jules Bosmant remarque que Soubre « ne craignait pas de transporte toile et chevalet sur nature » et « avait un goût assez étonnant alors pour les grands formats »[20]. Il ajoute que « ses curiosités d'artiste l'incitèrent à poursuivre assez loin sa chasse au paysage », allant de Grand-Halleux jusqu'au Grand-Duché de Luxembourg, et il considère que Soubre « avait tendance à voir large, et plutôt en décorateur préoccupé de l'effet d'ensemble et de l'équilibre, que de la vérité de l'atmosphère et de milieu »[20].

Scène de harem oriental, avant 1895 (huile sur toile ; 90 × 115 cm), collection privée.

Quant aux quelques nus que l'artiste réalise tout à la fin de sa carrière, Bosmant estime qu'ils « étaient forts chastes et bien anodins »[21], offrant néanmoins la particularité d'être situés dans des décors de plein air, où ruisseaux et arbres entourent les figures féminines[21]. Et pourtant, vu que l'artiste commet l'imprudence d'exposer ces œuvres, « audace suprême dans notre ville provinciale »[21] à la fin du XIXe siècle, il est durement réprimandé par un journal local « sur les devoirs moraux d'un professeur à l'Académie et l'exemple qu'il doit à ses élèves »[21].

À propos de la peinture d'histoire réalisée par Charles Soubre, Bosmant pointe en 1930 qu'il y « apporta un esprit sérieux et des dons de coloriste qui, à cette époque tout au moins, n'étaient pas négligeables »[22] et qu'il « cherche, plus qu'aucun autre de ses confrères, ses sources d'inspiration dans l'histoire locale, voire dans les légendes du terroir »[20]. Il cite comme œuvres caractéristiques de cette production de Soubre : la Mort d'Henri IV, empereur d'Allemagne (1850), Le départ des volontaires liégeois pour Bruxelles sous la conduite de Charles Rogier (1878), La légende du châtelain de Saive, Pierre de Bex marchant au supplice et Henri de Dinant, tribun liégeois partant pour l'exil (1848)[20].

Mort d'Henri IV, empereur d'Allemagne (1850)

Tableau qui apparaît déjà dans le catalogue édité par l'imprimerie Bénard en 1926 des collections du musée des Beaux-Arts de Liège[23]. L'œuvre dépeint les derniers instants d'Henri IV, empereur du Saint-Empire romain germanique, qui décède à Liége le .

Le catalogue de 1926 décrit la scène représentée par Charles Soubre :

« Henri IV, frappé d'anathème, dépouillé, trahi par son fils, chassé de son pays, vint se réfugier à Liége en 1106. Épuisé par de longues souffrances, entouré des rares amis qui lui étaient restés fidèles, il mourut, pardonnant à son fils, et remit en mains d'Otbert, évêque de Liége, les seuls insignes impériaux qu'il avait pu emporter dans sa fuite : un anneau, une épée, une couronne. »

Ce même catalogue pointe que la maison dans laquelle mourut Henri IV est située rue Féronstrée et porte l'inscription « Ci est mort Henry IV »[23].

Le départ des volontaires liégeois pour Bruxelles sous la conduite de Charles Rogier (1878)

La toile entre dans les collections publiques liégeoises en 1887 grâce à un don de Mme Dumont-Lamarche[24].

La Révolution belge de 1830, qui marque la naissance d'un nouvel État, annonce une « quête identitaire fondée sur l'appartenance nationale » qui va générer la création de nombreuses scènes historiques exaltant le sentiment national[25]. Le présent tableau s'inscrit de ce mouvement, et se centre particulièrement sur la figure de Charles Rogier, « un acteur liégeois essentiel de la révolution, qui lutta tant sur le plan politique que militaire pour asseoir les fondements du nouvel État belge »[25].

L'œuvre représente la soirée du lorsque Charles Rogier « rassemble un groupe de volontaires liégeois dans la cour du Palais des princes-évêques pour se rendre dans la future capitale belge et prêter main forte à l'insurrection bruxelloise »[25]. On y voit le « cavalier meneur brandissant l'étendard aux couleurs liégeoises (rouge et jaune) sur lequel figure l'inscription "Vaincre ou mourir pour Bruxelles" »[25]. Dans la foule, on observe des personnages de toute sorte, « des notables comme des personnages populaires tels que des botteresses ou de jeunes gavroches ». Derrière Rogier, de nombreux hommes armés se mettent en marche et en avant plan, « un jeune homme est en tête de cortège et bat le tambour d'infanterie »[25].

Grégory Desauvage observe que le peintre « donne à la scène un réalisme étonnant » et que « les visage et les lieux sont rendus avec grande précision et ajoutent à l'intensité du moment »[25]. Il achève notant que le Musée royal de l'Armée et de l'Histoire militaire possède du même artiste un tableau de 1880 qui dépeint la fin de ce voyage amorcé à Liège, L'arrivée de Charles Rogier et des volontaires liégeois à Bruxelles[25].

Catalogue et musées

Musées

Des œuvres de Charles Soubre sont présentes dans les collections de La Boverie[23],[26], du musée de la Vie wallonne[27] et du Musée royal de l'Armée et de l'Histoire militaire[25].

Sélection d'œuvres

  • Les Bourgeois de Liège envahissant le domicile du bourgmestre Ghaye pour réclamer les insignes de la magistrature, 1847.
  • La Mort à Liège d'Henry IV, Empereur d'Allemagne, exposée au salon de 1850, Mamac (Liège).
  • Une famille noble devant le Conseil des troubles (exposée en 1905 à l'Exposition de l'Art belge de Bruxelles), Mamac (Liège).
  • Un chef arabe conduit par les filles de la Mer à la conquête de l'île bleue, tableau exposé à Bruxelles en 1855.
  • Le Réveil de Montaigne.
  • L'Enterrement en Ardenne.
  • Lady Macbeth.
  • Lady Nottingham et Elisabeth.
  • Marie Stuart ramenée prisonnière.
  • Catherine d'Aragon et Wolseley.
  • Départ pour la Chasse.
  • Fière humilité.
  • L'exécution de Pierre de Bex bourgmestre de Liège.
  • Convalescente.
  • Le Tribunal de Sang, Musée des beaux-arts de Liège.
  • Portrait du bourgmestre de Liège, Musée des beaux-arts de Liège.
  • Paysage des Ardennes, Musée des beaux-arts de Liège.
  • Saint Vincent de Paul assistant Louis XIII mourant.
  • Saint Vincent de Paul fondant l'hospice des enfants trouvés.
  • Saint Charles Borromée pendant la peste.
  • Fénelon distribuant son pain au pauvre.

Expositions

Soubre expose au Cercle royal des Beaux-Arts de Liège de 1893 à 1895[19],[28].

  • 2012 : La Spiritualité, du 9 juin au 1er juillet, Rue des Prémontrés 38, Liège[29].
  • 2018 : École Liégeoise du Paysage (1880-1950), du 1er août au 2 septembre, Rue de l'Église, Fléron[30] ; École Liégeoise du Paysage, du 27 octobre au 18 novembre, Place de l'Abbaye 12, Saint-Hubert[31].
  • 2019 : Tableaux de pêche et de rivières, du 6 au 28 juillet, Chapelle des Sépulcrines - Rue du Collège 31, Visé[32].
  • 2021 : Juin 2021 au bureau… Toujours des Heintz, du 5 juin au 4 juillet, Rue Henri Vieuxtemps 13, Liège[33].

Prix et Distinctions

Notes et références

  1. a et b « Décès Charles Joseph Soubre le 30 janvier 1895 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  2. « Décès Etienne Joseph Soubre le 9 septembre 1871 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  3. a b c d et e « Charles Soubre », La Meuse,‎ , p. 9 (lire en ligne)
  4. « Naissance Francoise Elisabeth Soubre le 14 juin 1854 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  5. « Naissance Eugénie Jeanne Soubre le 28 janvier 1857 à Liège, », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  6. « Décès Eugénie Françoise Josephine Cajot le 9 décembre 1861 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  7. « Naissance Madilène Jeanne Christine Soubre le 20 mars 1865 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  8. « Naissance Marguerite Caroline Josephine Françoise Soubre le 7 juin 1869 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  9. « Décès Marguerite Caroline Josephine Francoise Soubre le 13 décembre 1870 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  10. « Mariage Albert Pierre Joseph Battaille & Françoise Elisabeth Soubre le 28 décembre 1878 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  11. « Mariage Emile Daxhelet & Eugénie Jeanne Soubre le 26 avril 1879 à Liège », sur Archives Ouvertes (consulté le )
  12. a et b « Charles Soubre (Les collections du Musée de la Vie wallonne) », sur collections.viewallonne.be (consulté le )
  13. a et b Somville, Depouhon et Depouhon 1992, p. 82.
  14. a b c et d Piron 2003-2006, p. 454.
  15. a b c d et e Josse 1995, p. SOUBRE, Charles.
  16. a et b Goijen 2014, p. 564.
  17. « Nécrologie », La Meuse,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  18. Thierry Luthers, Derniers domiciles connus : guide des personnalités enterrées en province de Liège, , 347 p. (ISBN 978-2-9603349-1-3), p. 259
  19. a et b Somville, Depouhon et Depouhon 1992, p. 83.
  20. a b c et d Bosmant 1930, p. 93.
  21. a b c et d Bosmant 1930, p. 94.
  22. Bosmant 1930, p. 92-93.
  23. a b et c Ville de Liège, Musée des beaux-arts : catalogue, Liège, Imprimerie Bénard, , 137 p. (OCLC 27249817, lire en ligne), p. 69 (Soubre, Charles)
  24. Desauvage 2016, p. 148.
  25. a b c d e f g et h Desauvage 2016, p. 149.
  26. « Soubre, Charles - See Photo Library results (BALaT KIK-IRPA) », sur balat.kikirpa.be (consulté le )
  27. Charles Soubre, « Peinture figurant le Pont du Val Benoît à Liège et six maisons près de l'Union nautique (Les collections du Musée de la Vie wallonne) », sur collections.viewallonne.be (consulté le )
  28. Goijen 2014, p. 565.
  29. Jacques Goijen, « La Spiritualité - L'école liégeoise du paysage », sur ecole-liegeoise-du-paysage.net (consulté le ).
  30. Jacques Goijen, « Ecole Liégeoise du Paysage (1880-1950) - L'école liégeoise du paysage », sur www.ecole-liegeoise-du-paysage.net (consulté le )
  31. Jacques Goijen, « Ecole Liégeoise du Paysage - L'école liégeoise du paysage », sur www.ecole-liegeoise-du-paysage.net (consulté le )
  32. Jacques Goijen, « Tableaux de pêche et de rivières - L'école liégeoise du paysage », sur www.ecole-liegeoise-du-paysage.net (consulté le )
  33. Jacques Goijen, « Juin 2021 au bureau… Toujours des Heintz - L'école liégeoise du paysage », sur www.ecole-liegeoise-du-paysage.net (consulté le )
  34. Rédaction, « Nominations », Le Bien Public, no 39,‎ , p. 3 (lire en ligne, consulté le ).

Annexes

Bibliographie

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Article connexe

Liens externes

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