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Le château, inscrit au début du {{XXe siècle}} sur la liste des [[Monument historique|Monuments Historiques]] et classé (murs et toitures) en 1956, a connu une histoire tourmentée.
Le château, inscrit au début du {{XXe siècle}} sur la liste des [[Monument historique|Monuments Historiques]] et classé (murs et toitures) en 1956, a connu une histoire tourmentée.


Bâtie sur un éperon rocheux dominant la rivière et la vallée de l'[[Arnon]] (site naturel classé), une première construction en bois — dont il ne reste rien — aurait été démolie au {{Xe siècle}}. Une seconde bâtisse fut assiégée et détruite par [[Philippe Auguste]] en 1188.
Bâtie sur un éperon rocheux dominant la rivière et la vallée de l'[[Arnon]] (site naturel classé), une première construction en bois — dont il ne reste rien — aurait été démolie au {{Xe siècle}}. Une seconde bâtisse fut assiégée et détruite par [[Philippe II Auguste|Philippe Auguste]] en 1188.


Le château actuel a commencé à être construit à la fin du {{XIIe siècle}}, début du {{XIIIe siècle}}, et la construction s'est poursuivie jusqu'au {{XVe siècle}}, avec de rares rajouts à la [[architecture de la Renaissance|Renaissance]] (fenêtres à meneaux). Lors de la [[Fronde (histoire)|Fronde]] (en 1651), le château perd, sur ordre de [[Mazarin]], le haut de son donjon, une partie de ses remparts et son châtelet d'entrée.
Le château actuel a commencé à être construit à la fin du {{XIIe siècle}}, début du {{XIIIe siècle}}, et la construction s'est poursuivie jusqu'au {{XVe siècle}}, avec de rares rajouts à la [[architecture de la Renaissance|Renaissance]] (fenêtres à meneaux). Lors de la [[Fronde (histoire)|Fronde]] (en 1651), le château perd, sur ordre de [[Jules Mazarin|Mazarin]], le haut de son donjon, une partie de ses remparts et son châtelet d'entrée.


Il a notamment appartenu à l’[[Louis de Culant|amiral de Culant]] (1360–1444), à [[Maximilien de Béthune (duc de Sully)|Maximilien de Béthune]], [[Liste des seigneurs de Sully|duc de Sully]] (de 1614 à 1621) puis au [[Henri II de Bourbon-Condé|prince de Condé]] († 1646). En 1663, son fils puîné le [[Armand de Bourbon-Conti|prince de Conti]] cède les terres à [[Michel Le Tellier (homme d'État)|Michel Le Tellier de Chaville, marquis de Barbezieux]], dont une branche en descendance féminine ([[Maison d'Harcourt|familles d'Harcourt]] : cf. [[Louis-François-Marie Le Tellier de Barbezieux|Louis-François]], puis [[Maison de Croÿ|de Croÿ]] : cf. [[François d'Harcourt|François]]) reste propriétaire jusqu'à la Révolution<ref>''Le Cher remarquable'', n° spécial du ''Berry Républicain'', décembre 2011, {{p.|106-107}}. {{ISSN|0988-8357}}</ref>.
Il a notamment appartenu à l’[[Louis de Culant|amiral de Culant]] (1360–1444), à [[Maximilien de Béthune (duc de Sully)|Maximilien de Béthune]], [[Liste des seigneurs de Sully|duc de Sully]] (de 1614 à 1621) puis au [[Henri II de Bourbon-Condé|prince de Condé]] († 1646). En 1663, son fils puîné le [[Armand de Bourbon-Conti|prince de Conti]] cède les terres à [[Michel Le Tellier (homme d'État)|Michel Le Tellier de Chaville, marquis de Barbezieux]], dont une branche en descendance féminine ([[Maison d'Harcourt|familles d'Harcourt]] : cf. [[Louis-François-Marie Le Tellier de Barbezieux|Louis-François]], puis [[Maison de Croÿ|de Croÿ]] : cf. [[François d'Harcourt|François]]) reste propriétaire jusqu'à la Révolution<ref>''Le Cher remarquable'', n° spécial du ''Berry Républicain'', décembre 2011, {{p.|106-107}}. {{ISSN|0988-8357}}</ref>.


Durant la [[Révolution française|Révolution]], les terres du château furent partagées entre quelques familles et la forteresse fut vendue comme bien national. Au XIX{{e}} siècle et dans la première moitié du XX{{e}} siècle, le château appartenait à Félix Legrand († 1893), avocat à la [[Cour d'appel de Bourges]] et maire de [[Saint-Doulchard]], puis à son fils l'helléniste [[Philippe-Ernest Legrand]] (1866-1953).
Durant la [[Révolution française|Révolution]], les terres du château furent partagées entre quelques familles et la forteresse fut vendue comme bien national. Au {{s-|XIX}} et dans la première moitié du {{s-|XX}}, le château appartenait à Félix Legrand († 1893), avocat à la [[Cour d'appel de Bourges]] et maire de [[Saint-Doulchard]], puis à son fils l'helléniste [[Philippe-Ernest Legrand]] (1866-1953).


Façades et toitures ont été inscrites le {{date-|2 mars 1926}} puis classées Monument historique le {{date-|2 juin 1956}}<ref>{{Mérimée|PA00096783}}</ref>.
Façades et toitures ont été inscrites le {{date-|2 mars 1926}} puis classées Monument historique le {{date-|2 juin 1956}}<ref>{{Mérimée|PA00096783}}</ref>.


Il a reçu plusieurs hôtes célèbres : [[Jeanne d’Arc]] (1429), [[Louis XI de France|Louis XI]] (1465), [[Maximilien de Béthune (duc de Sully)|Sully]], [[Madame de Sévigné]], la romancière [[George Sand]], « la bonne dame de [[Nohant-Vic|Nohant]] » venue en voisine avec [[Frédéric Chopin|Chopin]], ou encore [[Ernest Renan]]. Le [[général de Gaulle]], en visite à [[Saint-Amand-Montrond]] après guerre, préféra passer la nuit dans une demeure particulière de la rue de l’Église.
Il a reçu plusieurs hôtes célèbres : [[Jeanne d’Arc]] (1429), [[Louis XI]] (1465), [[Maximilien de Béthune (duc de Sully)|Sully]], [[Madame de Sévigné]], la romancière [[George Sand]], « la bonne dame de [[Nohant-Vic|Nohant]] » venue en voisine avec [[Frédéric Chopin|Chopin]], ou encore [[Ernest Renan]]. Le [[général de Gaulle]], en visite à [[Saint-Amand-Montrond]] après guerre, préféra passer la nuit dans une demeure particulière de la rue de l’Église.


=== La famille de Culan ===
=== La famille de Culan ===
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=== Propriétaires successifs ===
=== Propriétaires successifs ===
En fait, au {{XVIe}} siècle, la situation financière des Culan était bien compromise. Pierre de Culan, fils aîné de Gabriel, dut vendre après 1538 sa baronnie à Gilbert de Rochefort de [[Saint-Jeanvrin]], mais la retrouva car son beau-père Auguste d'Azay d'Entraigues la racheta et la lui offrit en janvier 1553. La forte rançon que dut payer son frère Charles II n'arrangea pas les affaires de la famille, et le fils de ce dernier, Jean (III), dut se résoudre à vendre Culan au marquis Jean [[Famille de Montboissier|de Beaufort-Canillac]] le 11 juin 1582 († 1589 ; un cousin issu de germain puisqu'il était le fils du marquis Marc de Beaufort-Canillac et de Catherine de La Queuille (-d'Espinay), une fille de François de La Queuille et d'Anne d'Espinay ci-dessus ; le fils aîné de Jean de Beaufort-Canillac, le marquis Jean-Timoléon de Beaufort-Canillac, [[Lieutenant général|lieutenant-général]] en Basse-Auvergne, était toujours baron de Culan à la fin du {{XVIe}} siècle). Puis Culan fut acquis par le [[Henri de Montpensier|duc de Montpensier]], qui céda lui-même le 6 septembre 1614 au fameux [[Maximilien de Béthune (duc de Sully)|duc de Sully]] contre {{formatnum:88000}} [[Livre tournois|livres]]<ref>{{Lien web |langue= |auteur= |titre=Diversité des possessions du duc de Sully, § 7 et 26 |url=https://books.openedition.org/igpde/3390?lang=fr |site=La fortune de Sully, par Isabelle Aristide, Comité pour l'histoire économique et financière de la France, Paris, Imprimerie Nationale, 1990, mis en ligne sur OpenEditionBooks |date= |consulté le=}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue= |auteur= |titre=Composition et évolution de la fortune de Sully, § 22 et 108 |url=https://books.openedition.org/igpde/3384?lang=fr |site=La fortune de Sully, par Isabelle Aristide, Comité pour l'histoire économique et financière de la France, Paris, Imprimerie Nationale, 1990, mis en ligne sur OpenEditionBooks |date= |consulté le=}}</ref> ; enfin Maximilien de Béthune-Sully vendit au [[Henri II de Bourbon-Condé|prince de Condé]] le 12 février 1621.
En fait, au {{XVIe}} siècle, la situation financière des Culan était bien compromise. Pierre de Culan, fils aîné de Gabriel, dut vendre après 1538 sa baronnie à Gilbert de Rochefort de [[Saint-Jeanvrin]], mais la retrouva car son beau-père Auguste d'Azay d'Entraigues la racheta et la lui offrit en janvier 1553. La forte rançon que dut payer son frère Charles II n'arrangea pas les affaires de la famille, et le fils de ce dernier, Jean (III), dut se résoudre à vendre Culan au marquis Jean [[Famille de Montboissier|de Beaufort-Canillac]] le 11 juin 1582 († 1589 ; un cousin issu de germain puisqu'il était le fils du marquis Marc de Beaufort-Canillac et de Catherine de La Queuille (-d'Espinay), une fille de François de La Queuille et d'Anne d'Espinay ci-dessus ; le fils aîné de Jean de Beaufort-Canillac, le marquis Jean-Timoléon de Beaufort-Canillac, [[Lieutenant général|lieutenant-général]] en Basse-Auvergne, était toujours baron de Culan à la fin du {{XVIe}} siècle). Puis Culan fut acquis par le [[Henri de Montpensier|duc de Montpensier]], qui céda lui-même le 6 septembre 1614 au fameux [[Maximilien de Béthune (duc de Sully)|duc de Sully]] contre {{unité|88000|[[Livre tournois|livres]]}}<ref>{{Lien web |langue= |auteur= |titre=Diversité des possessions du duc de Sully, § 7 et 26 |url=https://books.openedition.org/igpde/3390?lang=fr |site=La fortune de Sully, par Isabelle Aristide, Comité pour l'histoire économique et financière de la France, Paris, Imprimerie Nationale, 1990, mis en ligne sur OpenEditionBooks |date= |consulté le=}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue= |auteur= |titre=Composition et évolution de la fortune de Sully, § 22 et 108 |url=https://books.openedition.org/igpde/3384?lang=fr |site=La fortune de Sully, par Isabelle Aristide, Comité pour l'histoire économique et financière de la France, Paris, Imprimerie Nationale, 1990, mis en ligne sur OpenEditionBooks |date= |consulté le=}}</ref> ; enfin Maximilien de Béthune-Sully vendit au [[Henri II de Bourbon-Condé|prince de Condé]] le 12 février 1621.


Au {{s|XIX}}, le château est racheté par Philippe Auguste Legrand (1804-1882), notaire à [[Saint-Amand-Montrond]] ; il appartient ensuite à son fils Félix (1836-1893), avocat à la cour d'appel de Bourges et maire de [[Saint-Doulchard]], puis au fils de celui-ci, [[Philippe-Ernest Legrand]], helléniste, professeur à l'université de Lyon, qui meurt dans le château en 1953.
Au {{s|XIX}}, le château est racheté par Philippe Auguste Legrand (1804-1882), notaire à [[Saint-Amand-Montrond]] ; il appartient ensuite à son fils Félix (1836-1893), avocat à la cour d'appel de Bourges et maire de [[Saint-Doulchard]], puis au fils de celui-ci, [[Philippe-Ernest Legrand]], helléniste, professeur à l'université de Lyon, qui meurt dans le château en 1953.

Version du 22 décembre 2020 à 01:42

Château de Culan
Image illustrative de l’article Château de Culan
Période ou style Médiéval
Début construction XIIe siècle
Fin construction XVe siècle
Protection Logo monument historique Inscrit MH (1926)
Logo monument historique Classé MH (1956)
Coordonnées 46° 32′ 47″ nord, 2° 21′ 08″ est[1]
Pays Drapeau de la France France
Anciennes provinces de France Berry
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Commune Culan
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Château de Culan
Site web http://www.culan.fr

Le château de Culan est une forteresse médiévale situé sur la commune de Culan, dans le Cher et la région Centre-Val de Loire.

Histoire

Le château, inscrit au début du XXe siècle sur la liste des Monuments Historiques et classé (murs et toitures) en 1956, a connu une histoire tourmentée.

Bâtie sur un éperon rocheux dominant la rivière et la vallée de l'Arnon (site naturel classé), une première construction en bois — dont il ne reste rien — aurait été démolie au Xe siècle. Une seconde bâtisse fut assiégée et détruite par Philippe Auguste en 1188.

Le château actuel a commencé à être construit à la fin du XIIe siècle, début du XIIIe siècle, et la construction s'est poursuivie jusqu'au XVe siècle, avec de rares rajouts à la Renaissance (fenêtres à meneaux). Lors de la Fronde (en 1651), le château perd, sur ordre de Mazarin, le haut de son donjon, une partie de ses remparts et son châtelet d'entrée.

Il a notamment appartenu à l’amiral de Culant (1360–1444), à Maximilien de Béthune, duc de Sully (de 1614 à 1621) puis au prince de Condé († 1646). En 1663, son fils puîné le prince de Conti cède les terres à Michel Le Tellier de Chaville, marquis de Barbezieux, dont une branche en descendance féminine (familles d'Harcourt : cf. Louis-François, puis de Croÿ : cf. François) reste propriétaire jusqu'à la Révolution[2].

Durant la Révolution, les terres du château furent partagées entre quelques familles et la forteresse fut vendue comme bien national. Au XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle, le château appartenait à Félix Legrand († 1893), avocat à la Cour d'appel de Bourges et maire de Saint-Doulchard, puis à son fils l'helléniste Philippe-Ernest Legrand (1866-1953).

Façades et toitures ont été inscrites le puis classées Monument historique le [3].

Il a reçu plusieurs hôtes célèbres : Jeanne d’Arc (1429), Louis XI (1465), Sully, Madame de Sévigné, la romancière George Sand, « la bonne dame de Nohant » venue en voisine avec Chopin, ou encore Ernest Renan. Le général de Gaulle, en visite à Saint-Amand-Montrond après guerre, préféra passer la nuit dans une demeure particulière de la rue de l’Église.

La famille de Culan

Les barons de Culan(t) ont fondé une illustre famille féodale[4],[5],[6],[7], dont voici la lignée simplifiée :

Propriétaires successifs

En fait, au XVIe siècle, la situation financière des Culan était bien compromise. Pierre de Culan, fils aîné de Gabriel, dut vendre après 1538 sa baronnie à Gilbert de Rochefort de Saint-Jeanvrin, mais la retrouva car son beau-père Auguste d'Azay d'Entraigues la racheta et la lui offrit en janvier 1553. La forte rançon que dut payer son frère Charles II n'arrangea pas les affaires de la famille, et le fils de ce dernier, Jean (III), dut se résoudre à vendre Culan au marquis Jean de Beaufort-Canillac le 11 juin 1582 († 1589 ; un cousin issu de germain puisqu'il était le fils du marquis Marc de Beaufort-Canillac et de Catherine de La Queuille (-d'Espinay), une fille de François de La Queuille et d'Anne d'Espinay ci-dessus ; le fils aîné de Jean de Beaufort-Canillac, le marquis Jean-Timoléon de Beaufort-Canillac, lieutenant-général en Basse-Auvergne, était toujours baron de Culan à la fin du XVIe siècle). Puis Culan fut acquis par le duc de Montpensier, qui céda lui-même le 6 septembre 1614 au fameux duc de Sully contre 88 000 livres[8],[9] ; enfin Maximilien de Béthune-Sully vendit au prince de Condé le 12 février 1621.

Au XIXe siècle, le château est racheté par Philippe Auguste Legrand (1804-1882), notaire à Saint-Amand-Montrond ; il appartient ensuite à son fils Félix (1836-1893), avocat à la cour d'appel de Bourges et maire de Saint-Doulchard, puis au fils de celui-ci, Philippe-Ernest Legrand, helléniste, professeur à l'université de Lyon, qui meurt dans le château en 1953.

Période actuelle

La façade sur cour

Le château de Culan est en excellent état. Il avait été remarquablement restauré dans la période 1950-1980 par un précédent propriétaire, Jean Ferragut, qui y organisa de belles expositions (Picasso, Bernard Buffet, tapisseries flamandes, etc.).

C'est l'une des rares forteresses à posséder encore ses hourds en bois (voir photo, c'est la partie entre la toiture et la maçonnerie des tours), qui permettaient de jeter des pierres et divers projectiles sur les assaillants. Le château possède de belles cheminées monumentales du XVe siècle.

Autour du château ont été aménagés en 1995 des "jardins médiévaux" sur l'idée d'Alice Flament, femme de Marc Flament, photographe de guerre et auteur de romans historiques et pour la jeunesse qui avait racheté le château en .

Jean-Pierre Marquis et son fils Édouard aujourd'hui décédé continuent le travail de restauration et d'entretien[10].

Activités du château

Le château se visite tous les jours de Pâques à la Toussaint. Des week-ends médiévaux y sont organisés les dernières semaines de juillet et en août, ainsi qu'une dizaine de visites aux flambeaux certains soirs d'été.

Notes et références

  1. Coordonnées vérifiées sur Géoportail et Google Maps
  2. Le Cher remarquable, n° spécial du Berry Républicain, décembre 2011, p. 106-107. (ISSN 0988-8357)
  3. Notice no PA00096783, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  4. « Baronnie et Maison de Culant, p. 702-717 », sur Histoire de Berry, par Gaspard Thaumas de La Thaumassière, à Bourges et chez Jacques Morel à Paris, 1689
  5. « Barons de Culan, p. 312-314 », sur Le Grand Dictionnaire historique de Louis Moréri, T. IV, aux Libraires associés, à Paris, 1759
  6. « Les sires de Culant, p. 419-427 », sur Dictionnaire de la Noblesse, t. V, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, chez la veuve Duchesne à Paris, 1772
  7. « Renoul III de Culan », sur Geneanet Pierfit
  8. « Diversité des possessions du duc de Sully, § 7 et 26 », sur La fortune de Sully, par Isabelle Aristide, Comité pour l'histoire économique et financière de la France, Paris, Imprimerie Nationale, 1990, mis en ligne sur OpenEditionBooks
  9. « Composition et évolution de la fortune de Sully, § 22 et 108 », sur La fortune de Sully, par Isabelle Aristide, Comité pour l'histoire économique et financière de la France, Paris, Imprimerie Nationale, 1990, mis en ligne sur OpenEditionBooks
  10. « Château de Culan l'hiver - Extrait JT de TF1 », sur Dailymotion, (consulté le )

Voir aussi

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Liens externes