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Jusqu'au {{s-|XIV}}, le roi de France ne disposait que des revenus du [[domaine royal]]. Les guerres continuelles contre le roi d'Angleterre, amenèrent la création des impôts royaux payés par tous les sujets du royaume, avec des exemptions pour le clergé (qui priait pour le succès des armes du roi), la noblesse (qui payait l'impôt du sang) mais aussi de nombreuses provinces, villes ou métiers privilégiés. Au cours des siècles de nombreux impôts royaux furent rachetés par les assujettis ou bien perçus par abonnement.
[[Catégorie:Ancien Régime]]



Jusqu'au XIV° siècle, le roi de France ne disposait que des revenus du [[domaine royal]]. les guerres continuelles contre le roi d'Angleterre, amena la création des impôts royaux payés par tous les sujets du royaume, avec des exemptions pour le clergé (qui priait pour le succès des armes du roi) et de la noblesse (qui payait l'impôt du sang). Au cours des siècles de nombreux impôts royaux furent rachetés par les assujettis ou bien perçus par abonnement.
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==sources==
==sources==
* Marcel Marion, ''Dictionnaire des institutions de la France aux XVII° et XVIII° siècles'', 1923, Paris, Editions Picard.
* Marcel Marion, ''Dictionnaire des institutions de la France aux {{XVIIe|s}} et {{s-|XVIII}}s'', 1923, Paris, Editions Picard.

[[Catégorie:Impôt de l'Ancien Régime]]

Dernière version du 17 avril 2021 à 11:18

Jusqu'au XIVe siècle, le roi de France ne disposait que des revenus du domaine royal. Les guerres continuelles contre le roi d'Angleterre, amenèrent la création des impôts royaux payés par tous les sujets du royaume, avec des exemptions pour le clergé (qui priait pour le succès des armes du roi), la noblesse (qui payait l'impôt du sang) mais aussi de nombreuses provinces, villes ou métiers privilégiés. Au cours des siècles de nombreux impôts royaux furent rachetés par les assujettis ou bien perçus par abonnement.

  • Marcel Marion, Dictionnaire des institutions de la France aux XVIIe et XVIIIe siècles, 1923, Paris, Editions Picard.