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== Informations ajoutées par Manodestina basées sur une source erronée et partisane ==

Les informations ajoutées sur cette page par l'utilisateur Manodestina sont issues d'un article rédigé par des opposants politique au mouvement "Students for Liberty" cherchant à entretenir l'idée d'une conspiration.
Ces informations sont soit erronées, soit manipulatoires, visant à nuire à la réputation d'associations, de think tank et de personnes physiques.

En particulier, le paragraphe suivant est une interprétation biaisée de la stratégie du mouvement. Cette interprétation se base sur les emplois des membres du mouvement, associant de manière infondée leurs employeurs à Students for liberty. Ces membres ayant de besoin travailler pour vivre, il est normal, comme pour n'importe quel militant, qu'ils aient un emploi. Cette interprétation semble donc fallacieuse.

* ''"Sa stratégie vise à influencer de l’intérieur le monde académique, les grandes entreprises et les institutions publiques en y duffusant les idées libertariennes. Ses militants investissent des thinks tanks (l’institut Sapiens d’Olivier Babeau et Laurent Alexandre, Génération libre de Gaspard Koenig), des cabinets de lobbying et d’influence (comme Asteres ou CommStrat), des consultants en gestion travaillant fréquemment pour l’État comme Wavestone. Cette activité permet à l'organisation librtarienne d'exercer son influence sur des grandes entreprises, des think tanks plus importants et des organes de l’État. Le coordinateur national de Students for Liberty de 2015 à 2019, Sacha Benhamou, a également été le collaborateur parlementaire d’Olivier Véran (député LREM puis ministre de la Santé d’Emmanuel Macron)."''

Ensuite, le paragraphe suivant concernant le financement n'est pas basé sur une source fiable. Il vise vraisemblablement à susciter la méfiance à l'égard de cette association en annonçant des chiffres importants. La citation de deux donateurs particuliers vise également à associer de manière fallacieuse le mouvement aux idées de ces personnes.

* ''"En tant qu'organisation à but non lucratif, SFL continue de ne rechercher et n'accepter que des dons privés de la part d'individus, de fondations et de cotisations. Durant sa première année, SFL a rassemblé 50 000 dollars de revenus. Le revenu de l'organisation a augmenté, atteignant presque 250 000 dollars la seconde année, puis plus de 500 000 dollars la troisième. Les dépenses furent de 65 % du revenu la première année, 75 % la seconde et 80 % la troisième.
* ''L'organisation a bénéficié du soutien financier des milliardaires David H. Koch et Charles G. Koch et de groupes qui leur sont liés, comme le Cato Institute3."''

Version du 23 février 2021 à 19:23

Informations ajoutées par Manodestina basées sur une source erronée et partisane

Les informations ajoutées sur cette page par l'utilisateur Manodestina sont issues d'un article rédigé par des opposants politique au mouvement "Students for Liberty" cherchant à entretenir l'idée d'une conspiration. Ces informations sont soit erronées, soit manipulatoires, visant à nuire à la réputation d'associations, de think tank et de personnes physiques.

En particulier, le paragraphe suivant est une interprétation biaisée de la stratégie du mouvement. Cette interprétation se base sur les emplois des membres du mouvement, associant de manière infondée leurs employeurs à Students for liberty. Ces membres ayant de besoin travailler pour vivre, il est normal, comme pour n'importe quel militant, qu'ils aient un emploi. Cette interprétation semble donc fallacieuse.

  • "Sa stratégie vise à influencer de l’intérieur le monde académique, les grandes entreprises et les institutions publiques en y duffusant les idées libertariennes. Ses militants investissent des thinks tanks (l’institut Sapiens d’Olivier Babeau et Laurent Alexandre, Génération libre de Gaspard Koenig), des cabinets de lobbying et d’influence (comme Asteres ou CommStrat), des consultants en gestion travaillant fréquemment pour l’État comme Wavestone. Cette activité permet à l'organisation librtarienne d'exercer son influence sur des grandes entreprises, des think tanks plus importants et des organes de l’État. Le coordinateur national de Students for Liberty de 2015 à 2019, Sacha Benhamou, a également été le collaborateur parlementaire d’Olivier Véran (député LREM puis ministre de la Santé d’Emmanuel Macron)."

Ensuite, le paragraphe suivant concernant le financement n'est pas basé sur une source fiable. Il vise vraisemblablement à susciter la méfiance à l'égard de cette association en annonçant des chiffres importants. La citation de deux donateurs particuliers vise également à associer de manière fallacieuse le mouvement aux idées de ces personnes.

  • "En tant qu'organisation à but non lucratif, SFL continue de ne rechercher et n'accepter que des dons privés de la part d'individus, de fondations et de cotisations. Durant sa première année, SFL a rassemblé 50 000 dollars de revenus. Le revenu de l'organisation a augmenté, atteignant presque 250 000 dollars la seconde année, puis plus de 500 000 dollars la troisième. Les dépenses furent de 65 % du revenu la première année, 75 % la seconde et 80 % la troisième.
  • L'organisation a bénéficié du soutien financier des milliardaires David H. Koch et Charles G. Koch et de groupes qui leur sont liés, comme le Cato Institute3."