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=== Voies de communication et transports ===
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==== Tansport ferroviaire ====
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== Toponymie ==
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Estrée est attesté sous les formes ''Stratæ'' en 1024 (cart. de Saint-Vaast, p. 60), ''Stradæ'' en 1104 (abb. du Mt-Saint-Eloi), ''Estrées'' en 1217 (abb. de Marœuil), ''Stratæ super Canchiam'' en 1230 (abb. de Saint-Vaast, H. 1507), ''Estrés'' au {{XVIIIe}} siècle (Cass.).<ref>[https://dicotopo.cths.fr/places/P44839394 Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes], [[Bibliothèque nationale de France]].</ref>.

Le nom ''Estrées'' est un terme d'[[ancien français]], issu du latin ''strata'' ''(via)'', qui désignait une « voie couverte de pierres plates », par opposition à ''rupta (via)'' > route. Il s'est conservé dans la plupart des langues romanes (cf. l'[[italien]] et le [[roumain]] ''strada'') et a été emprunté par le [[Langues germaniques|germanique]] (cf. l'[[anglais]] ''street'', l'[[allemand]] ''Straße'' et le [[néerlandais]] ''straat''<ref>John Ayto, ''Dictionary of Word Origins'', Arcade Publishing, New York, 1990, 584 pages, pg 506</ref>). Le mot ''estrée'' a disparu du [[français]] à la fin du [[Moyen Âge]], mais il demeure dans un grand nombre de toponymes, particulièrement dans le nord de la France, signalant la proximité d'une voie romaine<ref>Stéphane Gendron, ''La Toponymie des voies romaines et médiévales'', éditions errance, Paris, 2006, 200 pages, pg 32</ref>. Il s'agit, ici, de la voie romaine, dite [[Chaussée Brunehaut]], reliant [[Arras]] à [[Thérouanne]], appelée aujourd'hui dans ces environs, route départementale 341.

Wamin est attesté sous les formes ''Wamin'' en 1079 (D. Bét., cart. d’Auchy, p. 18), ''Walmin'' en 1275 (D. Bét., cart. d’Auchy, p. 248), ''Waming'' en 1277 (D. Bét., cart. d’Auchy, p. 255), ''Wamin-au-Bois'' en 1739 (Maillart, p. 23)<ref>[https://dicotopo.cths.fr/places/P32062094 Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes], [[Bibliothèque nationale de France]].</ref>.


== Histoire ==
== Histoire ==
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Le nom ''Estrées'' est un terme d'[[ancien français]], issu du latin ''strata'' ''(via)'', qui désignait une « voie couverte de pierres plates », par opposition à ''rupta (via)'' > route. Il s'est conservé dans la plupart des langues romanes (cf. l'[[italien]] et le [[roumain]] ''strada'') et a été emprunté par le [[Langues germaniques|germanique]] (cf. l'[[anglais]] ''street'', l'[[allemand]] ''Straße'' et le [[néerlandais]] ''straat''<ref>John Ayto, ''Dictionary of Word Origins'', Arcade Publishing, New York, 1990, 584 pages, pg 506</ref>). Le mot ''estrée'' a disparu du [[français]] à la fin du [[Moyen Âge]], mais il demeure dans un grand nombre de toponymes, particulièrement dans le nord de la France, signalant la proximité d'une voie romaine<ref>Stéphane Gendron, ''La Toponymie des voies romaines et médiévales'', éditions errance, Paris, 2006, 200 pages, pg 32</ref>.


== Politique et administration ==
== Politique et administration ==

Version du 29 août 2022 à 21:21

Estrée-Wamin
Estrée-Wamin
L'église Saint-Vaast, monument historique.
Blason de Estrée-Wamin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes des Campagnes de l'Artois
Maire
Mandat
Arnauld Ricq
2020-2026
Code postal 62810
Code commune 62316
Démographie
Gentilé Estrée-Waminois
Population
municipale
212 hab. (2021 en augmentation de 24,71 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 16′ 22″ nord, 2° 24′ 14″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 147 m
Superficie 5,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-le-Comte
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Estrée-Wamin
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Estrée-Wamin
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Estrée-Wamin
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Estrée-Wamin

Estrée-Wamin est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais, en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois qui regroupe 96 communes et compte 33 141 habitants en 2021.

Géographie

Localisation

Carte

Hydrographie

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par la Canche, un cours d'eau naturel de 100,22 km, qui prend sa source dans la commune de Gouy-en-Ternois et se jette dans la Manche entre Étaples et Le Touquet-Paris-Plage[1].

Milieux naturels et biodiversité

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : la haute vallée de la Canche en amont de Conchy-sur-Canche. Cette ZNIEFF correspond à la moyenne et à la haute vallée de la Canche, de l’amont de la commune de Conchy-sur-Canche jusqu’aux sources, au niveau de Magnicourt-sur-Canche[2].

et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe qui se situe dans le pays du Ternois. Elle offre un relief de coteau abrupt au Nord et des pentes douces au Sud. Le fond de vallée est constitué de pâturages et de zones de cultures. Les versants les plus pentus et inaccessibles accueillent des boisements[3].

Urbanisme

Typologie

Estrée-Wamin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[4],[5],[6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7],[8].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,3 %), prairies (32 %), forêts (7,4 %), zones urbanisées (6,2 %)[9].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

Voies de communication et transports

Tansport ferroviaire

La commune disposait d'une gare qui se trouvait sur l'ancienne ligne de chemin de fer de Lens à Frévent.

Toponymie

Estrée est attesté sous les formes Stratæ en 1024 (cart. de Saint-Vaast, p. 60), Stradæ en 1104 (abb. du Mt-Saint-Eloi), Estrées en 1217 (abb. de Marœuil), Stratæ super Canchiam en 1230 (abb. de Saint-Vaast, H. 1507), Estrés au XVIIIe siècle (Cass.).[11].

Le nom Estrées est un terme d'ancien français, issu du latin strata (via), qui désignait une « voie couverte de pierres plates », par opposition à rupta (via) > route. Il s'est conservé dans la plupart des langues romanes (cf. l'italien et le roumain strada) et a été emprunté par le germanique (cf. l'anglais street, l'allemand Straße et le néerlandais straat[12]). Le mot estrée a disparu du français à la fin du Moyen Âge, mais il demeure dans un grand nombre de toponymes, particulièrement dans le nord de la France, signalant la proximité d'une voie romaine[13]. Il s'agit, ici, de la voie romaine, dite Chaussée Brunehaut, reliant Arras à Thérouanne, appelée aujourd'hui dans ces environs, route départementale 341.

Wamin est attesté sous les formes Wamin en 1079 (D. Bét., cart. d’Auchy, p. 18), Walmin en 1275 (D. Bét., cart. d’Auchy, p. 248), Waming en 1277 (D. Bét., cart. d’Auchy, p. 255), Wamin-au-Bois en 1739 (Maillart, p. 23)[14].

Histoire

Politique et administration

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Découpage territorial

Commune et intercommunalités

Circonscriptions administratives

Circonscriptions électorales

Élections municipales et communautaires

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Marc Brévart DVG  
mars 2008 2014[15],[16] Yves-Marie Petit DVD Artisan boucher[17]
2014 En cours
(au 18 février 2022)
Arnauld Ricq   Moniteur principal d’atelier dans un ESAT[18],[19]
Réélu pour le mandat 2020-2026[20],[21]

Équipements et services publics

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Population et société

Démographie

Les habitants de la commune sont appelés les Estrée-Waminois[22].

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 212 habitants[Note 4], en augmentation de 24,71 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
443383490476466462473436434
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
426419417400416380372330329
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
329303295265252221207222226
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
236235206183168184159154172
2015 2020 2021 - - - - - -
170208212------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 99 hommes pour 85 femmes, soit un taux de 53,8 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,8 
90 ou +
1,0 
3,6 
75-89 ans
10,4 
18,7 
60-74 ans
18,8 
21,4 
45-59 ans
22,9 
13,4 
30-44 ans
14,6 
20,5 
15-29 ans
16,7 
20,5 
0-14 ans
15,6 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Cultes

Le territoire de la commune est rattaché à la paroisse de «  Saint-Martin Saint-Vaast en Canche Authie » au sein du doyenné des Sept Vallées - Ternois, dépendant du diocèse d'Arras[29].

Économie

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Lieux et monuments

Monument historique

Modèle:Message galerie

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Estrée-Wamin Blason
De sinople à la bande d'argent chargée en cœur d'une croisette ancrée de gueules posée à plomb[32].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canche (E54-003-) » (consulté le )
  2. « ZNIEFF 310014123 - Haute vallée de la Canche en amont de Conchy-sur-Canche », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  3. « ZNIEFF 310007267 - La haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  11. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  12. John Ayto, Dictionary of Word Origins, Arcade Publishing, New York, 1990, 584 pages, pg 506
  13. Stéphane Gendron, La Toponymie des voies romaines et médiévales, éditions errance, Paris, 2006, 200 pages, pg 32
  14. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  15. « Canton d’Avesnes-le-Comte: huit maires rendront leur écharpe fin mars », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Estrée-Wamin : Yves-Marie Petit, élu pour la première fois en 1989, a décidé de passer la main. Il ne se représentera pas en mars. »

    .
  16. « À Estrée-Wamin, les travaux qui ont été réalisés à l’école, « c’était primordial » : Il y a eu de gros travaux, à l’école, durant ce mandat. Mais rien de plus logique, pour le maire, Yves-Marie Petit, car dans la commune, la jeunesse, on la chouchoute… », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Maire d'Estrée-Wamin et « boucher heureux comme un poisson dans l'eau » : Depuis quelques mois, Yves-Marie Petit, le maire d'Estrée-Wamin, officiedans un nouveau magasinà Boubers-sur-Canche :la boucherie du village fleuri. Avec la satisfaction d'être proche des clients, aprèsavoir exercé son métierdans la grande distribution. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  19. Alexis Degroote, « Estrée-Wamin : la reprise de concessions parmi les priorités du mandat : Premier mandat de maire, pour Arnauld Ricq. Un premier magistrat dont l’un des chevaux de bataille sera la reprise de concessions abandonnées dans les deux cimetières de la commune. Des cimetières ou la question de l’accessibilité devra aussi être posée », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  21. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  22. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Estrée-Wamin (62316) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  29. « Doyenné de Berck Montreuil », sur Diocèse d'Arras (consulté le )
  30. « L'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no PA00108272, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  32. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).