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« Julien Dufieux » : différence entre les versions

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|image=Aux Invalides - le Général Weygand faisant le Général Dufieux grand croix de la Légion d'honneur (cropped).jpg
'''Julien''' Sosthène '''Dufieux''', né le {{date de naissance|21 mai 1873}} à [[Mascara (Algérie)]], et mort en 1959 à [[Paris]], est un [[général d'armée]] [[France|français]].
|légende=Le général Dufieux (droite) décoré par le général [[Maxime Weygand|Weygand]] en 1933
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'''Julien''' Sosthène '''Dufieux''', né le {{date de naissance|21 mai 1873}} à [[Mascara (Algérie)]] et mort le {{date|10 avril 1959}} à [[Paris]]<ref>[https://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMjQtMDQtMDYiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NDtzOjQ6InJlZjIiO2k6MjczOTA4O3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ==#uielem_move=-1147%2C11&uielem_islocked=1&uielem_zoom=176&uielem_brightness=0&uielem_contrast=0&uielem_isinverted=0&uielem_rotate=F Acte de décès (avec date et lieu de naissance) à Paris {{15e}}, n° 1151, vue 19/31.]</ref>, est un [[général d'armée]] [[France|français]], [[Liste des grands-croix de la Légion d'honneur|grand-croix de la Légion d'honneur]] et [[Médaille militaire|médaillé militaire]].


== Biographie ==
== Biographie ==
Entré à [[École spéciale militaire de Saint-Cyr|Saint-Cyr]] à dix-huit ans, il suit ensuite les cours de l'[[école supérieure de guerre]]. Il participe comme [[Capitaine (France)|capitaine]] d'[[état-major]] à la [[Campagne du Maroc|campagne française de 1907 au Maroc]]. Il est fait chevalier de la [[Ordre national de la Légion d'honneur|Légion d'honneur]] en récompense. Après avoir commandé pendant deux ans un bataillon du [[69e régiment d'infanterie|{{69e|RI}}]] à [[Nancy]], il retourne au Maroc en 1913<ref name=":0">{{Article |langue= |auteur1=[[Maxime Weygand]] |titre=Le général Dufieux |périodique=Revue des Deux Mondes (1829-1971) |date=1959 |issn=0035-1962 |jstor=44588018 |lire en ligne=https://www.revuedesdeuxmondes.fr/wp-content/uploads/2016/11/8e212c20c5b4f34c5f145ae1ee4422a7.pdf |consulté le=2020-11-22 |pages=28–37 }}</ref>. Chef d'état-major du général [[Henri Gouraud (général)|Gouraud]]<ref name=":1">{{Lien web |langue=fr |prénom=Éditions |nom=Larousse |titre=Encyclopédie Larousse en ligne - Julien Sosthène Dufieux |url=http://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Julien_Sosthène_Dufieux/117263 |site=www.larousse.fr |consulté le=2020-11-22}}</ref> , il planifie avec réussite les opérations des colonnes mobiles de la [[Guerre des Zayans|campagne de Taza]] en août 1914<ref name=":0" />.
Entré à [[École spéciale militaire de Saint-Cyr|Saint-Cyr]] à dix-huit ans, il suit ensuite les cours de l'[[école supérieure de guerre]] et en particulier l'enseignement de tactique générale générale du lieutenant-colonel [[Ferdinand Foch|Foch]] dont la personnalité le marque durablement. Il participe comme [[Capitaine (France)|capitaine]] d'[[état-major]] à la [[Campagne du Maroc|campagne française de 1907 au Maroc]]. Il est fait chevalier de la [[Ordre national de la Légion d'honneur|Légion d'honneur]] en récompense. Après avoir commandé pendant deux ans un bataillon du [[69e régiment d'infanterie|{{69e|RI}}]] à [[Nancy]], il retourne au Maroc en 1913<ref name=":0">{{Article |langue= |auteur1=[[Maxime Weygand]] |titre=Le général Dufieux |périodique=Revue des Deux Mondes (1829-1971) |date=1959 |issn=0035-1962 |jstor=44588018 |lire en ligne=https://www.revuedesdeuxmondes.fr/wp-content/uploads/2016/11/8e212c20c5b4f34c5f145ae1ee4422a7.pdf |consulté le=2020-11-22 |pages=28–37 }}</ref>. Chef d'état-major du général [[Henri Gouraud (général)|Gouraud]]<ref name=":1">{{Lien web |langue=fr |prénom=Éditions |nom=Larousse |titre=Encyclopédie Larousse en ligne - Julien Sosthène Dufieux |url=http://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Julien_Sosthène_Dufieux/117263 |site=www.larousse.fr |consulté le=2020-11-22}}</ref> , il planifie avec réussite les opérations des colonnes mobiles de la [[Guerre des Zayans|campagne de Taza]] en août 1914<ref name=":0" />.


Nommé [[Lieutenant-colonel (France)|lieutenant-colonel]] en novembre 1914, il est nommé au bureau des opérations du [[Grand Quartier général (1914-1919)|Grand Quartier général]]. Il prend ensuite le commandement du [[72e régiment d'infanterie|{{72e|RI}}]] puis d'une brigade d'infanterie. Fin 1917, il devient chef du bureau des opérations du général [[Philippe Pétain|Pétain]] et est nommé [[général de brigade]]. Il prend le commandement de la [[38e division d'infanterie (France)|{{38e|division}} d'infanterie]] fin 1918. En mai 1919, il part en [[Bessarabie]] où une des divisions menace de se mutiner<ref name=":0" />.
Nommé [[Lieutenant-colonel (France)|lieutenant-colonel]] en novembre 1914, il est nommé au bureau des opérations du [[Grand Quartier général (1914-1919)|Grand Quartier général]]. Il prend ensuite le commandement du [[72e régiment d'infanterie|{{72e|RI}}]] puis d'une brigade d'infanterie. Fin 1917, il devient chef du bureau des opérations du général [[Philippe Pétain|Pétain]] et est nommé [[général de brigade]]. Il prend le commandement de la [[38e division d'infanterie (France)|{{38e|division}} d'infanterie]] fin 1918. En mai 1919, il part en [[Bessarabie]] où la [[156e division d'infanterie (France)|{{156e|DI}}]] menace de se mutiner<ref name=":0" />.


En novembre 1919, il part pour la [[Cilicie]], où il prend le commandement de la {{1re|division}} du [[Levant français|Levant]]. En Cilicie, il doit combattre les soldats de la [[Grande Assemblée nationale de Turquie]] qui dispute la région à la France, lors de la [[campagne de Cilicie]]. Encerclé dans [[Adana]] en juillet 1920, il fait lever le siège par l'offensive d'une colonne mobile, tout en repliant les petites garnisons français dans les [[Monts Nur]]. En novembre 1921, il s'oppose au [[traité de paix de Cilicie]] et est rappelé à Paris<ref name=":0" />.
En novembre 1919, il part pour la [[Cilicie]], où il prend le commandement de la {{1re|division}} du [[Armée du Levant|Levant]], formée à partir de la {{156e|DI}}. En Cilicie, il doit combattre les soldats de la [[Grande Assemblée nationale de Turquie]] qui dispute la région à la France, lors de la [[campagne de Cilicie]]. Encerclé dans [[Adana]] en juillet 1920, il fait lever le siège par l'offensive d'une colonne mobile, tout en repliant les petites garnisons français dans les [[Monts Nur]]. En novembre 1921, il s'oppose au [[traité de paix de Cilicie]] et est rappelé à Paris<ref name=":0" />.

Il est commandant de l’École Supérieure de Guerre de mars 1922 à février 1926. En 1924, à la demande du maréchal Pétain, il tente de réviser à la hausse l'appréciation peu flatteuse portée par le jury de l’École sur l'élève Charles de Gaulle, mais n'y parvient que partiellement.


[[Général de division]] en 1925<ref name=":0" />, il reçoit le commandement en 1926 d'un des groupements de divisions engagés dans la [[guerre du Rif]] autour de [[Taza]]<ref name=":1" />. Il commande le [[7e corps d'armée (France)|{{7e|corps}} d'armée]] à [[Besançon]] pendant trois ans<ref name=":0" />. Il est inspecteur général de l'infanterie et des chars au [[Ministère de la Guerre (France)|ministère de la Guerre]] de novembre 1930 à mai 1938. Il s'oppose aux propositions modernes du colonel [[Charles de Gaulle|de Gaulle]], en adoptant le char d'infanterie lent et peu armé [[Renault R35]]<ref>{{Article |langue=fr |prénom1=François |nom1=Cochet |titre=La cavalerie francaise à la lumière de la campagne de mai-juin 1940 : compromis et rigidité |périodique=Guerres mondiales et conflits contemporains |volume=225 |numéro=1 |date=2007 |issn=0984-2292 |issn2=2101-0137 |doi=10.3917/gmcc.225.0047 |lire en ligne=http://www.cairn.info/revue-guerres-mondiales-et-conflits-contemporains-2007-1-page-47.htm |consulté le=2020-11-22 |pages=47 }}</ref> bien que Dufieux demande également en vain l'achat de plus de chars<ref name=":0" />.
[[Général de division]] en 1925<ref name=":0" />, il reçoit le commandement en 1926 d'un des groupements de divisions engagés dans la [[guerre du Rif]] autour de [[Taza]]<ref name=":1" />. Il commande le [[7e corps d'armée (France)|{{7e|corps}} d'armée]] à [[Besançon]] pendant trois ans<ref name=":0" />. Il est inspecteur général de l'infanterie et des chars au [[Ministère de la Guerre (France)|ministère de la Guerre]] de novembre 1930 à mai 1938. Il s'oppose aux propositions modernes du colonel [[Charles de Gaulle|de Gaulle]], en adoptant le char d'infanterie lent et peu armé [[Renault R35]]<ref>{{Article |langue=fr |prénom1=François |nom1=Cochet |titre=La cavalerie francaise à la lumière de la campagne de mai-juin 1940 : compromis et rigidité |périodique=Guerres mondiales et conflits contemporains |volume=225 |numéro=1 |date=2007 |issn=0984-2292 |issn2=2101-0137 |doi=10.3917/gmcc.225.0047 |lire en ligne=http://www.cairn.info/revue-guerres-mondiales-et-conflits-contemporains-2007-1-page-47.htm |consulté le=2020-11-22 |pages=47 }}</ref> bien que Dufieux demande également en vain l'achat de plus de chars<ref name=":0" />.


En 1940, il est chargé par le [[Régime de Vichy|gouvernement de Vichy]] de juger les [[Forces françaises libres|militaires gaullistes]] mais parvient à mettre en sommeil sa juridiction<ref name=":1" />.
Le {{Date-|24 septembre 1940}}, il est placé à la tête de la [[cour martiale]] de [[Gannat]], chargé par le [[Régime de Vichy|gouvernement de Vichy]] de juger les [[Forces françaises libres|militaires gaullistes]]<ref name=":2">{{Ouvrage|langue=|auteur1=Virginie Sansico|titre=La justice déshonorée, 1940-1944|passage=97-122|lieu=Paris|éditeur=Tallandier|date=2015|pages totales=|isbn=979-10-210-0389-7|oclc=906301426|lire en ligne=https://www.cairn-int.info/la-justice-deshonoree--9791021003897-page-97.htm|consulté le=2020-11-22|titre chapitre=D’Alibert à Barthélemy. Entre rupture idéologique et continuité institutionnelle}}</ref>. Dufieux met rapidement sa juridiction en sommeil<ref name=":1" /> et la cour ne traite qu'une cinquantaine de cas, majoritairement par [[contumace]]<ref name=":2" />.


== Décorations ==
Il était grand croix de la [[Ordre national de la Légion d'honneur|Légion d’Honneur]] et titulaire de la [[Médaille militaire|Médaille Militaire]]<ref name=":0" />.
* {{Déco Médaille militaire}} (1936)<ref>Fiche sur le Général Dufieux, par le général Weygand, sur le site de la Revue des deux mondes [https://www.revuedesdeuxmondes.fr/wp-content/uploads/2016/11/8e212c20c5b4f34c5f145ae1ee4422a7.pdf lire en ligne]</ref>
(Nota : la médaille militaire se porte en avant la LH pour les officiers généraux ayant commandé au front, attention selon La Grande Chancellerie aucun texte officiel n'existe et il s'agit d'une simple habitude)
* {{Déco Grand-croix de la Légion d'honneur}}<ref name=":0" />
* {{Déco Croix de guerre 1914-1918}}
* {{Déco Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs}}
* {{Déco Médaille coloniale}} avec agrafe « MAROC »
* {{Déco Médaille commémorative du Maroc}}


== Notes et références ==
== Notes et références ==
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== Liens externes ==
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* [https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/125433 Base Léonore]

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[[Catégorie:Naissance en mai 1873]]
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[[Catégorie:Décès en avril 1959]]
[[Catégorie:Décès dans le 15e arrondissement de Paris]]
[[Catégorie:Décès à 85 ans]]

Version du 6 avril 2024 à 10:59

Julien Dufieux
Le général Dufieux (droite) décoré par le général Weygand en 1933
Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
Julien Claude Marie Sosthène Dufieux
Nationalité
Activité
MilitaireVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Grade militaire
Conflits
Distinctions
Archives conservées par

Julien Sosthène Dufieux, né le à Mascara (Algérie) et mort le à Paris[2], est un général d'armée français, grand-croix de la Légion d'honneur et médaillé militaire.

Biographie

Entré à Saint-Cyr à dix-huit ans, il suit ensuite les cours de l'école supérieure de guerre et en particulier l'enseignement de tactique générale générale du lieutenant-colonel Foch dont la personnalité le marque durablement. Il participe comme capitaine d'état-major à la campagne française de 1907 au Maroc. Il est fait chevalier de la Légion d'honneur en récompense. Après avoir commandé pendant deux ans un bataillon du 69e RI à Nancy, il retourne au Maroc en 1913[3]. Chef d'état-major du général Gouraud[4] , il planifie avec réussite les opérations des colonnes mobiles de la campagne de Taza en août 1914[3].

Nommé lieutenant-colonel en novembre 1914, il est nommé au bureau des opérations du Grand Quartier général. Il prend ensuite le commandement du 72e RI puis d'une brigade d'infanterie. Fin 1917, il devient chef du bureau des opérations du général Pétain et est nommé général de brigade. Il prend le commandement de la 38e division d'infanterie fin 1918. En mai 1919, il part en Bessarabie où la 156e DI menace de se mutiner[3].

En novembre 1919, il part pour la Cilicie, où il prend le commandement de la 1re division du Levant, formée à partir de la 156e DI. En Cilicie, il doit combattre les soldats de la Grande Assemblée nationale de Turquie qui dispute la région à la France, lors de la campagne de Cilicie. Encerclé dans Adana en juillet 1920, il fait lever le siège par l'offensive d'une colonne mobile, tout en repliant les petites garnisons français dans les Monts Nur. En novembre 1921, il s'oppose au traité de paix de Cilicie et est rappelé à Paris[3].

Il est commandant de l’École Supérieure de Guerre de mars 1922 à février 1926. En 1924, à la demande du maréchal Pétain, il tente de réviser à la hausse l'appréciation peu flatteuse portée par le jury de l’École sur l'élève Charles de Gaulle, mais n'y parvient que partiellement.

Général de division en 1925[3], il reçoit le commandement en 1926 d'un des groupements de divisions engagés dans la guerre du Rif autour de Taza[4]. Il commande le 7e corps d'armée à Besançon pendant trois ans[3]. Il est inspecteur général de l'infanterie et des chars au ministère de la Guerre de novembre 1930 à mai 1938. Il s'oppose aux propositions modernes du colonel de Gaulle, en adoptant le char d'infanterie lent et peu armé Renault R35[5] bien que Dufieux demande également en vain l'achat de plus de chars[3].

Le , il est placé à la tête de la cour martiale de Gannat, chargé par le gouvernement de Vichy de juger les militaires gaullistes[6]. Dufieux met rapidement sa juridiction en sommeil[4] et la cour ne traite qu'une cinquantaine de cas, majoritairement par contumace[6].

Décorations

(Nota : la médaille militaire se porte en avant la LH pour les officiers généraux ayant commandé au front, attention selon La Grande Chancellerie aucun texte officiel n'existe et il s'agit d'une simple habitude)

Notes et références

  1. « https://francearchives.fr/fr/file/ad46ac22be9df6a4d1dae40326de46d8a5cbd19d/FRSHD_PUB_00000355.pdf »
  2. Acte de décès (avec date et lieu de naissance) à Paris 15e, n° 1151, vue 19/31.
  3. a b c d e f g et h Maxime Weygand, « Le général Dufieux », Revue des Deux Mondes (1829-1971),‎ , p. 28–37 (ISSN 0035-1962, JSTOR 44588018, lire en ligne, consulté le )
  4. a b et c Éditions Larousse, « Encyclopédie Larousse en ligne - Julien Sosthène Dufieux », sur www.larousse.fr (consulté le )
  5. François Cochet, « La cavalerie francaise à la lumière de la campagne de mai-juin 1940 : compromis et rigidité », Guerres mondiales et conflits contemporains, vol. 225, no 1,‎ , p. 47 (ISSN 0984-2292 et 2101-0137, DOI 10.3917/gmcc.225.0047, lire en ligne, consulté le )
  6. a et b Virginie Sansico, La justice déshonorée, 1940-1944, Paris, Tallandier, (ISBN 979-10-210-0389-7, OCLC 906301426, lire en ligne), « D’Alibert à Barthélemy. Entre rupture idéologique et continuité institutionnelle », p. 97-122
  7. Fiche sur le Général Dufieux, par le général Weygand, sur le site de la Revue des deux mondes lire en ligne

Liens externes