Aller au contenu

« Gabriel Henri René de Neuville » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Ajurieu (discuter | contributions)
Nouvelle page : {{infobox biographie2}} '''Gabriel Henri René de Neuville''' est un homme politique français né le {{date-|9 juillet 1744}} à Brons et mort le {{date-|31 décembre 1800}} à Saint-Brieuc. == Biographie == Fils de Gabriel-Julien Neuville, procureur-fiscal, et de Louise Tavet, il se fait recevoir avocat au parlement, devient sénéchal de Jugon en 1778, et est élu, le 1er avril 1789, député du tiers-état de la sénéchaussée de Saint-Brieuc aux États g...
 
Ajurieu (discuter | contributions)
Aucun résumé des modifications
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{infobox biographie2}}
{{infobox biographie2}}
'''Gabriel Henri René de Neuville''' est un homme politique français né le {{date-|9 juillet 1744}} à [[Brons]] et mort le {{date-|31 décembre 1800}} à [[Saint-Brieuc]].
'''Gabriel Henri René de Neuville''' est un homme politique français né le {{date-|9 juillet 1744}} à [[Broons]] et mort le {{date-|31 décembre 1800}} à [[Saint-Brieuc]].


== Biographie ==
== Biographie ==

Version du 13 avril 2024 à 14:18

Gabriel Henri René de Neuville
Fonctions
Député aux États généraux de 1789
-
Conseiller général des Côtes-du-Nord
Biographie
Naissance
Décès
Nationalité
Activité
signature de Gabriel Henri René de Neuville
Signature

Gabriel Henri René de Neuville est un homme politique français né le à Broons et mort le à Saint-Brieuc.

Biographie

Fils de Gabriel-Julien Neuville, procureur-fiscal, et de Louise Tavet, il se fait recevoir avocat au parlement, devient sénéchal de Jugon en 1778, et est élu, le 1er avril 1789, député du tiers-état de la sénéchaussée de Saint-Brieuc aux États généraux.

Il signe le serment du Jeu de paume, fait partie (16 juillet 1789) de la députation qui se rent chez le roi pour lui demander de l'accompagner à Paris, est membre du comité des rapports (7 juin 1790), et siège dans la majorité, sans prendre jamais la parole.

Membre du conseil général des Côtes-du-Nord (1er juillet 1790), il est nommé (ventôse an V) juge de paix du canton de Saint-Brieuc, puis, en brumaire suivant, capitaine de la garde nationale.

Références

Liens externes

Sources

  • Dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (Adolphe Robert et Gaston Cougny)