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« Robert Abdesselam » : différence entre les versions

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'''Robert Abdesselam''', né le {{date de naissance|27|janvier|1920}} à [[El Biar]] ([[Algérie française|Algérie]])<ref>{{Lien web|titre=Assemblée nationale - Les députés de la Ve République : M. Robert Abdesselam|url=http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/trombinoscope/Vrepublique/Legis01/abdesselam-robert-27011920.asp|site=le site de l'Assemblée nationale|date=|consulté le=1 avril 2014}}.</ref> et mort le {{date de décès|26|juillet|2006}} à [[Paris]], est un joueur de [[tennis]], un [[avocat (métier)|avocat]] et un [[Personnalité politique|homme politique]] [[France|français]].
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Il est vice-président de la [[Fédération française de tennis]] de [[1968]] à [[1974]] puis de la [[Fédération internationale de tennis]] de [[1975]] à [[1976]] et joue un rôle important au moment de la fusion des circuits professionnel et amateur.
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== Biographie ==
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=== Jeunesse et études ===
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Robert Abdesselam est né d'un père [[Kabyles|kabyle]], Mehana Abdesselam, avocat à la [[cour d'appel de Paris]], et d'une mère française, [[Marguerite Tedeschi]]<ref>{{citation|Marguerite Tedeschi étudie à l'École des Beaux-Arts de Paris sous la direction de Laurens et de Lefebvre. Primée au Salon de Paris en 1911, elle se rend ensuite en Algérie où elle décide de s'installer. Elle explore le sud du pays, se rend à Bou-Saada, Laghouat, Ghardaia. Elle expose au Salon de la Société des Artistes Orientalistes et au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts. Sa période de production artistique est finalement assez courte puisqu'elle cesse de peindre en 1920}}, cité par [http://orientaliste.free.fr/biographies/artistes1n.html Peintres orientalistes français]</ref>{{,}}<ref>[http://www.galeriel.net/articles.php?ID=17&showgalerie=true&rub=articles Biographie de Marguerite Tedeschi]</ref>, peintre renommé issu de la bourgeoisie parisienne<ref>Eric Belouet et Michel Dreyfus, ''Robert Abdesselam, une vie criblée de balles'', Quatre Chemins, 2009, {{p.|386}}</ref>. Il grandit à El-Biar et découvre le tennis, qui devient sa passion.
'''Robert Abdesselam''', né le [[27 janvier]] [[1920]] à [[El-Biar]] (Algérie) et mort le [[26 juillet]] [[2006]], était un joueur de [[tennis]] et un [[homme politique]] [[France|français]].

Il fait ses études secondaires au lycée d’Alger, puis au [[lycée Janson-de-Sailly]] à [[Paris]]. Il suit ensuite des cours à l'[[École libre des sciences politiques]] ([[Institut d'études politiques de Paris|Sciences Po]]) et obtient une licence en droit à la [[faculté de droit de Paris]]<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Abdesselam, Robert {{!}} Sciences Po Centre d'histoire |url=https://www.sciencespo.fr/histoire/fr/fonds-archive/abdesselam-robert.html |site=www.sciencespo.fr |date=2019-07-23 |consulté le=2023-12-18}}</ref>. Il continue parallèlement le tennis et devient l'un des meilleurs joueurs français. Il est champion de France junior à deux reprises en [[1937]] et [[1938]], puis champion du monde universitaire en [[1939]].

=== Parcours professionnel ===
Durant la [[Seconde Guerre mondiale]], alors qu'il atteint son meilleur niveau, il rejoint Alger en [[1942]] après le débarquement allié en [[Afrique du Nord]]. Il participe à la [[Campagne d'Italie (Seconde Guerre mondiale)|campagne d'Italie]] au sein du [[Corps expéditionnaire français en Italie|Corps expéditionnaire français]] du maréchal [[Alphonse Juin|Juin]]. Il est cité plusieurs fois et obtient la [[croix de guerre 1939-1945]] et la [[Bronze Star|Bronze Star Medal]] américaine.

Lorsque la guerre se termine, sa carrière internationale de joueur peut reprendre. Il reste longtemps deuxième meilleur joueur français et est sélectionné quatorze fois en [[Coupe Davis]] de [[1947]] à [[1953]]. Il atteint les huitièmes de finale en [[1938]] et [[1947]], puis les quarts de finale en [[1949]], des [[Internationaux de France de tennis|Internationaux de France (Roland Garros)]]. En 1947 il est huitième de finaliste au [[Tournoi de Wimbledon]]. De 1946 à 1963, il est également avocat à la cour d’appel d’Alger.

En [[1956]], il décide de mettre un terme à sa carrière sportive et de se consacrer à la politique. Il est élu député d'Alger en [[1958]]. Il milite alors pour le maintien d'une [[Algérie française]], ce qui le coupe du gaullisme, et pour l'intégration, ce qui le coupe de l'[[Organisation armée secrète|OAS]].

Le {{date|5|mai|1960}}, considéré par les indépendantistes algériens comme un traitre, il est victime d'une tentative d'assassinat par arme à feu, Rue de la Faisanderie à Paris. L’agresseur, Larbi Lamraoui, est un militant du [[Front de libération nationale (Algérie)|FLN]]. Le gardien de la paix chargé de la protection de Robert Abdesselam, Jean Parachay, 24 ans, est assassiné<ref>Archive Le Monde du 05/05/1960</ref>.
[[Fichier:Weiwers Abdesselam 1941.jpg|gauche|vignette|288x288px|Les joueurs de tennis Robert Abdesselam et Alice Weiwers au tournoi de Paris.]]
Le {{Date|8|novembre|1961}}, Robert Abdesselam est l'un des 80 parlementaires qui votent « l'amendement Salan ». En {{date-|mars 1962}}, il qualifie les [[accords d'Évian]] d'« inhumains, de déshonorants et d'indignes de notre pays ». La même année, il est cité comme témoin aux procès d’[[Edmond Jouhaud]] et de [[Raoul Salan]].
Après l'indépendance de l'Algérie en [[1962]], Robert Abdesselam abandonne la politique pour se consacrer à sa profession d'avocat international. Il participe notamment au développement de la société [[Lacoste (entreprise)|Lacoste]] à l'étranger.

De [[1968]] à [[1974]], il est vice-président de la [[Fédération française de tennis]] puis, de [[1975]] à [[1976]], de la [[Fédération internationale de tennis]]. Il fut également président du [[Racing Club de France]] de [[1959]] à [[1992]] et président de l’[[International Lawn Tennis Club]] de [[1993]] à [[2004]].

En [[1998]], il témoigne au procès de [[Maurice Papon]] qu'il avait rencontré au Maroc en 1948 lors d'un tournoi.


Il meurt à Paris le {{date|26|juillet|2006}} et ses obsèques ont lieu en la chapelle de l’[[École militaire (France)|École militaire]].
== Biographie==
Robert Abdesselam est né d'un pére [[Kabyle]], notable et musulman, et d'une mère catholique issue de la bourgeoisie métropolitaine<ref>Eric Belouet et Michel Dreyfus, ''Robert Abdesselam, une vie criblée de balles'', Quatre Chemins, 2009, p.386</ref>.


Dans sa biographie de Robert Abdesselam, [[Michel Dreyfus]] décrit sa vie comme {{citation|plus captivante qu’un roman}}.
=== L'homme politique ===
De 1946 à 1963, il est avocat à la cour d'appel d'Alger. Élu député d'Alger-Banlieue le 23 novembre 1958, il siège à l'Assemblée nationale jusqu'au 3 juillet 1962. Partisan d'une Algérie autonome au sein de la République française, il échappe de peu à un attentat le 4 mai 1960. Il est décédé le 26 juillet 2006.


== Distinctions ==
=== Le joueur de tennis ===
* {{décoration|CdrLH}}<ref>[http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000739033&dateTexte= Décret du 30 décembre 1995]</ref>
==== Palmarès ====
* [[Croix de guerre 1939-1945|Croix de Guerre 1939-1945]] (3 citations)
* [[Internationaux de France de Roland-Garros|Internationaux de France (Roland Garros)]] : quart de finale en 1949, huitième de finale en 1947 et 1938.
* [[Ordre du Mérite sportif|Commandeur du mérite sportif]]
* [[Bronze Star|Bronze Star Medal]], quatrième plus haute distinction américaine pour bravoure, héroïsme et mérite.


== Fondation Robert Abdesselam ==
== Distinctions==
En mémoire de Robert Abdesselam, la ''Fondation Robert Abdesselam'' a été créée, sous l'égide de la [[Fondation de France]], le {{date-|22 janvier 2007}}. Elle a notamment pour objet<ref>{{lien web |titre=Robert Abdesselam - Toutes les fondations<!-- Vérifiez ce titre --> |url=https://archive.wikiwix.com/cache/20101203000000/http://www.fondationdefrance.org/La-Fondation-de-France/Fonds-et-fondations-sous-egide/Toutes-les-fondations/Robert-Abdesselam |site=[[Wikiwix]] |consulté le=08-06-2023}}.</ref> d'aider les anciens champions de tennis dans leur projet de reconversion professionnelle et de décerner des Prix "Robert Abdesselam" récompensant des travaux de recherche sur la défense du droit des marques et sur les organisations internationales en faveur du maintien de la paix.
* Commandeur de la [[Légion d'Honneur]]
* [[Croix de Guerre 1939-1945]]
* [[Bronze Star Medal]], quatrième plus haute distinction amricaine pour bravoure, héroisme et mérite


== Notes et références ==
== Bibliographie==
{{Références}}
* Eric Belouet et Michel Dreyfus, ''Robert Abdesselam, une vie criblée de balles''
* René Mayer, ''Dictionnaire biographique des Français d'Afrique du Nord'', Édition 1er octobre 2006, préface de [[Claude Cohen-Tannoudji ]]


==Notes==
== Voir aussi ==
=== Bibliographie ===
<references/>
* {{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Eric|nom1=Belouet|nom2=Michel Dreyfus|lien auteur2=Michel Dreyfus|préface=Michel [[Lacoste (entreprise)|Lacoste]]|titre=Robert Abdesselam, une vie criblée de balles|lieu=Paris|éditeur=Quatre Chemins|collection=TEMOIN. ET DOC.|année=2009|pages totales=376|isbn=978-2-84784-192-3|isbn10=284784192X}}
* René Mayer, ''Dictionnaire biographique des Français d'Afrique du Nord'', Édition {{date|1|octobre|2006}}, préface de [[Claude Cohen-Tannoudji]]
* {{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Raphaël|nom1=Delpard|lien auteur1=Raphaël Delpard|titre=Les oubliés de la guerre d'Algérie|lieu=Neuilly-sur-Seine|éditeur=M. Lafon|année=2003|pages totales=349|passage=289|isbn=978-2-84098-910-3}}
=== Articles connexes ===
* [[Liste des députés de l'Algérie française]]
* [[Meilleures performances des joueurs français de tennis]]


== Liens externes ==
=== Liens externes ===
* [http://www.fondationrobertabdesselam.org/index.php Fondation Robert Adesselam]
* [http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/trombinoscope/Vrepublique/Legis01/abdesselam-robert-27011920.asp Fiche de Robert Abdesselam] sur le site de l'Assemblée nationale
* [http://www.fft.fr/cms/GetDoc.asp?Type=5&ID=5766 Fondation Robert Adesselam] sur le site de la Fédération française de tennis
* [http://www.salan.asso.fr/Biographies/abdesselam.htm Biographie de Robert Abdesselam] sur le site de l'Association des amis de [[Raoul Salan]]
* [https://archives.sciencespo.fr/archive/egf/FR_751079802_580103/view:688 Fonds Robert Abdesselam], ABD (1957-1963) , Sciences Po Paris, DRIS, [https://archives.sciencespo.fr/ Département archives]
{{Liens}}


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[[Catégorie:Ancien député de l'Algérie française]]
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[[Catégorie:Commandeur de la Légion d'honneur promu en 1995]]
[[Catégorie:Titulaire de la croix de guerre 1939-1945]]
[[Catégorie:Militaire du corps expéditionnaire français en Italie]]
[[Catégorie:Naissance en janvier 1920]]
[[Catégorie:Naissance à El Biar]]
[[Catégorie:Naissance en Algérie française]]
[[Catégorie:Décès en juillet 2006]]
[[Catégorie:Décès à 86 ans]]
[[Catégorie:Décès dans le 16e arrondissement de Paris]]
[[Catégorie:Partisan de l'Algérie française]]
[[Catégorie:Élève de l'École libre des sciences politiques]]

Dernière version du 22 mai 2024 à 15:51

Robert Abdesselam
Fonctions
Représentant à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe
France
-
Député français
Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
Robert Saadi AbdesselamVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
Membre de
Conflit
Sport
Équipe
Distinctions
Archives conservées par
Fondation nationale des sciences politiques, DRIS, Département archives, Fonds Robert Abdesselam, ABD, 1957,1963

Robert Abdesselam, né le à El Biar (Algérie)[1] et mort le à Paris, est un joueur de tennis, un avocat et un homme politique français.

Il est vice-président de la Fédération française de tennis de 1968 à 1974 puis de la Fédération internationale de tennis de 1975 à 1976 et joue un rôle important au moment de la fusion des circuits professionnel et amateur.


Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse et études[modifier | modifier le code]

Robert Abdesselam
Nationalité Drapeau de la France France
Naissance
El-Biar, Algérie
Décès (à 86 ans)
Paris 16e, France
Taille 1,70 m (5 7)
Palmarès
Meilleurs résultats en Grand Chelem
Aust. R-G. Wim. US.
Simple - 1/4 1/8 1/8

Robert Abdesselam est né d'un père kabyle, Mehana Abdesselam, avocat à la cour d'appel de Paris, et d'une mère française, Marguerite Tedeschi[2],[3], peintre renommé issu de la bourgeoisie parisienne[4]. Il grandit à El-Biar et découvre le tennis, qui devient sa passion.

Il fait ses études secondaires au lycée d’Alger, puis au lycée Janson-de-Sailly à Paris. Il suit ensuite des cours à l'École libre des sciences politiques (Sciences Po) et obtient une licence en droit à la faculté de droit de Paris[5]. Il continue parallèlement le tennis et devient l'un des meilleurs joueurs français. Il est champion de France junior à deux reprises en 1937 et 1938, puis champion du monde universitaire en 1939.

Parcours professionnel[modifier | modifier le code]

Durant la Seconde Guerre mondiale, alors qu'il atteint son meilleur niveau, il rejoint Alger en 1942 après le débarquement allié en Afrique du Nord. Il participe à la campagne d'Italie au sein du Corps expéditionnaire français du maréchal Juin. Il est cité plusieurs fois et obtient la croix de guerre 1939-1945 et la Bronze Star Medal américaine.

Lorsque la guerre se termine, sa carrière internationale de joueur peut reprendre. Il reste longtemps deuxième meilleur joueur français et est sélectionné quatorze fois en Coupe Davis de 1947 à 1953. Il atteint les huitièmes de finale en 1938 et 1947, puis les quarts de finale en 1949, des Internationaux de France (Roland Garros). En 1947 il est huitième de finaliste au Tournoi de Wimbledon. De 1946 à 1963, il est également avocat à la cour d’appel d’Alger.

En 1956, il décide de mettre un terme à sa carrière sportive et de se consacrer à la politique. Il est élu député d'Alger en 1958. Il milite alors pour le maintien d'une Algérie française, ce qui le coupe du gaullisme, et pour l'intégration, ce qui le coupe de l'OAS.

Le , considéré par les indépendantistes algériens comme un traitre, il est victime d'une tentative d'assassinat par arme à feu, Rue de la Faisanderie à Paris. L’agresseur, Larbi Lamraoui, est un militant du FLN. Le gardien de la paix chargé de la protection de Robert Abdesselam, Jean Parachay, 24 ans, est assassiné[6].

Les joueurs de tennis Robert Abdesselam et Alice Weiwers au tournoi de Paris.

Le , Robert Abdesselam est l'un des 80 parlementaires qui votent « l'amendement Salan ». En , il qualifie les accords d'Évian d'« inhumains, de déshonorants et d'indignes de notre pays ». La même année, il est cité comme témoin aux procès d’Edmond Jouhaud et de Raoul Salan.

Après l'indépendance de l'Algérie en 1962, Robert Abdesselam abandonne la politique pour se consacrer à sa profession d'avocat international. Il participe notamment au développement de la société Lacoste à l'étranger.

De 1968 à 1974, il est vice-président de la Fédération française de tennis puis, de 1975 à 1976, de la Fédération internationale de tennis. Il fut également président du Racing Club de France de 1959 à 1992 et président de l’International Lawn Tennis Club de 1993 à 2004.

En 1998, il témoigne au procès de Maurice Papon qu'il avait rencontré au Maroc en 1948 lors d'un tournoi.

Il meurt à Paris le et ses obsèques ont lieu en la chapelle de l’École militaire.

Dans sa biographie de Robert Abdesselam, Michel Dreyfus décrit sa vie comme « plus captivante qu’un roman ».

Distinctions[modifier | modifier le code]

Fondation Robert Abdesselam[modifier | modifier le code]

En mémoire de Robert Abdesselam, la Fondation Robert Abdesselam a été créée, sous l'égide de la Fondation de France, le . Elle a notamment pour objet[8] d'aider les anciens champions de tennis dans leur projet de reconversion professionnelle et de décerner des Prix "Robert Abdesselam" récompensant des travaux de recherche sur la défense du droit des marques et sur les organisations internationales en faveur du maintien de la paix.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Assemblée nationale - Les députés de la Ve République : M. Robert Abdesselam », sur le site de l'Assemblée nationale (consulté le ).
  2. « Marguerite Tedeschi étudie à l'École des Beaux-Arts de Paris sous la direction de Laurens et de Lefebvre. Primée au Salon de Paris en 1911, elle se rend ensuite en Algérie où elle décide de s'installer. Elle explore le sud du pays, se rend à Bou-Saada, Laghouat, Ghardaia. Elle expose au Salon de la Société des Artistes Orientalistes et au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts. Sa période de production artistique est finalement assez courte puisqu'elle cesse de peindre en 1920 », cité par Peintres orientalistes français
  3. Biographie de Marguerite Tedeschi
  4. Eric Belouet et Michel Dreyfus, Robert Abdesselam, une vie criblée de balles, Quatre Chemins, 2009, p. 386
  5. « Abdesselam, Robert | Sciences Po Centre d'histoire », sur www.sciencespo.fr, (consulté le )
  6. Archive Le Monde du 05/05/1960
  7. Décret du 30 décembre 1995
  8. « Robert Abdesselam - Toutes les fondations », sur Wikiwix (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]