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{{…}}Personnalités : au {{s-|XIX|e}}, Pierre Tournier, d'une grande famille de tradition protestante, fut maire de Saint-Félix. Son frère, Benjamin Tournier, né le 21 janvier 1826, fut admis en 1846 à l'université de Genève et devint bachelier en théologie à la faculté protestante de Montauban (1851). Il épousa alors la Genevoise Adrienne Breitmayer. Après plusieurs suffragances, il fut nommé pasteur à Saint-Laurent-du-Cros (Hautes-Alpes, 1856-1865) et présida le Consistoire d'Orpierre (1860-1862). Puis il se consacra à la communauté vaudoise de la vallée de Freissinières (massif du Pelvoux) et aida à l'émigration de plusieurs familles en Algérie. Il prit sa retraite à Pressy-Vendœuvre (canton de Genève). Passionné de montagne et d'archéologie, il reprit cependant du service pastoral auprès des vaudois installés en Algérie (les Trois Marabouts-Guiard) de 1892 à sa mort en 1904. Son épouse continua une trentaine d'années à servir à Guiard.<ref>{{Lien web|langue=|auteur1=Arnaud BOSC|titre=Notice biographique Benjamin TOURNIER|url=https://saint-felix.pagesperso-orange.fr/Histoire/BenjaminTournier.pdf|site=Histoire de Saint-Félix de Sorgues|périodique=|date=décembre 2012|consulté le=}}</ref> |
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Des tableaux du peintre Wassily Kandinsky cachés à Saint-Félix de Sorgues pendant la seconde guerre mondiale : |
Des tableaux du peintre Wassily Kandinsky cachés à Saint-Félix de Sorgues pendant la seconde guerre mondiale : |
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== Politique et administration == |
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{{ÉluDébut |Titre= Liste des maires successifs}} |
{{ÉluDébut |Titre= Liste des maires successifs}}Sources : https://saint-felix.pagesperso-orange.fr/home.htm suite aux recherches à partir de l'Etat-Civil de la commune : Arnaud Bosc |
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{{ÉluDonnées}} |
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{{Élu |Début= 1947 |Fin= 1959 |Identité= Joseph Inguimbert |Parti= |Qualité= }} |
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{{Article détaillé|Pont Vieux de Saint-Félix-de-Sorgues}} |
{{Article détaillé|Pont Vieux de Saint-Félix-de-Sorgues}} |
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Parmi les monuments historiques on peut trouver le pont {{Inscrit MH|1944}}<ref>{{Base Mérimée|PA00094150}}</ref> des {{s2-|XIV|e|XV|e}} qui enjambe la [[Sorgues (rivière de l'Aveyron)|Sorgues]] en contrebas du village. Le pont de Saint-Félix-de-Sorgues est composé de trois arches et construit à partir du tuf calcaire de la région. |
Parmi les monuments historiques on peut trouver le pont {{Inscrit MH|1944}}<ref>{{Base Mérimée|PA00094150}}</ref> des {{s2-|XIV|e|XV|e}} qui enjambe la [[Sorgues (rivière de l'Aveyron)|Sorgues]] en contrebas du village. Le pont de Saint-Félix-de-Sorgues est composé de trois arches et construit notamment à partir du tuf calcaire de la région. Les contreforts d’une tour du château, qui fut détruit en [[1627]], restent visibles dans le parapet au sud de l’église<ref name="Hist"> |
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Les contreforts d’une tour du château, qui fut détruit en [[1627]], restent visibles dans le parapet au sud de l’église<ref name="Hist"> |
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* Saint-Caprazy, lieu-dit au sud-ouest du village sur l'autre rive de la Sorgues. Ancienne seigneurie et paroisse devenue ensuite une annexe de la commanderie de Saint-Félix-de-Sorgues<ref>{{ouvrage|prénom=Emmanuel-Ferdinand de|nom=Grasset|titre=Essai sur le grand prieuré de Saint-Gilles de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, suivi du catalogue des chevaliers, chapelains, diacots, donats et servants d'armes de la vénérable langue de Provence, dressé sur les titres originaux|lieu=Paris|année=1869|lire en ligne= {{Google Livres|lZPCSjwrztwC|page=45}}passage=45}}{{commentaire biblio|1=La chapelle de ''Saint-Caprassy''.}}</ref>. |
* Saint-Caprazy, lieu-dit au sud-ouest du village sur l'autre rive de la Sorgues. Ancienne seigneurie et paroisse devenue ensuite une annexe de la commanderie de Saint-Félix-de-Sorgues<ref>{{ouvrage|prénom=Emmanuel-Ferdinand de|nom=Grasset|titre=Essai sur le grand prieuré de Saint-Gilles de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, suivi du catalogue des chevaliers, chapelains, diacots, donats et servants d'armes de la vénérable langue de Provence, dressé sur les titres originaux|lieu=Paris|année=1869|lire en ligne= {{Google Livres|lZPCSjwrztwC|page=45}}passage=45}}{{commentaire biblio|1=La chapelle de ''Saint-Caprassy''.}}</ref>. |
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=== Personnalités liées à la commune === |
=== Personnalités liées à la commune === |
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* Bertrand [[Maison d'Arpajon|d'Arpajon]], commandeur hospitalier de Saint-Félix en 1416 puis [[Grand prieuré de Saint-Gilles|grand prieur de Saint-Gilles]] (1420-1448)<ref>{{article|prénom1=Abbé C.|nom1=Nicolas|titre=Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles par M. Jean Raybaud, avocat et archivaire de ce prieuré|sous-titre=tome I (2{{°}} partie)|périodique=Mémoires de l'Académie de Nîmes|année=1904|tome=XXVII|passage=368, 376}}, {{Gallica|n=bpt6k4863624/f492.image}}{{commentaire biblio|1=Ne pas le confondre avec son frère Bertrandon qui fut [[Grand prieuré de Toulouse|grand prieur de Toulouse]] à partir de 1436. Bertrandon apparaît généralement dans les archives du prieuré de Saint-Gilles avec le prénom Tandon ([[syncope (linguistique)|syncope linguistique]]). Dans certains ouvrages plus récents on l'appelle Bertrand, d'où une certaine confusion et parfois un amalgame avec son frère.}}</ref>. |
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* [[Guallino|Patrick Guallino]] a vécu à Saint-Félix-de-Sorgues. |
* [[Guallino|Patrick Guallino]] a vécu à Saint-Félix-de-Sorgues. |
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* Jean Laroze, historien de Saint-Félix-de-Sorgues, a écrit quatre ouvrages sur l'histoire du village<ref name="Hist"/>. |
* Jean Laroze, historien de Saint-Félix-de-Sorgues, a écrit quatre ouvrages sur l'histoire du village<ref name="Hist"/>. |
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=== Articles connexes === |
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* [[Liste des communes de l'Aveyron]] |
* [[Liste des communes de l'Aveyron]] |
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* [[Langue de Provence]] de l'ordre de Saint-Jean de |
* [[Langue de Provence]] de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem |
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=== Liens externes === |
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{{Trop de liens|date=décembre 2019}} |
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*[https://saint-felix.pagesperso-orange.fr/ L'histoire de Saint-Félix-de-Sorgue] |
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*[https://amisdesaintfelix.blogspot.com/ Le site de l'association des Amis de Saint Félix de Sorgue] |
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* [http://www.aveyron-sorgues.com/ Portail de la vallée de la Sorgue] |
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* [http://arnaud.bosc.free.fr/ L'histoire de Saint-Félix-de-Sorgue] |
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* [http://amisdesaintfelix.free.fr/ Le site de l'association des amis de Saint Félix de Sorgue] |
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* {{lien brisé|url=http://ign.fr/rubrique.asp?rbr_id=1087&CommuneId=16871 |titre=Saint-Félix-de-Sorgues sur le site de l'Institut géographique national }} |
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* [http://www.openstreetmap.org/?lat=43.88376&lon=2.98454&zoom=17&layers=M Cartographie de Saint-Félix-de-Sorgues] |
* [http://www.openstreetmap.org/?lat=43.88376&lon=2.98454&zoom=17&layers=M Cartographie de Saint-Félix-de-Sorgues] |
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* [http://www.insee.fr/fr/bases-de-donnees/esl/comparateur.asp?codgeo=com-12222 Insee - Chiffres clés : Saint-Félix-de-Sorgues.] |
* [http://www.insee.fr/fr/bases-de-donnees/esl/comparateur.asp?codgeo=com-12222 Insee - Chiffres clés : Saint-Félix-de-Sorgues.] |
Version du 20 mai 2020 à 15:23
Saint-Félix-de-Sorgues | |||||
Grand Rue de Saint-Félix-de-Sorgues. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Aveyron | ||||
Arrondissement | Millau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons | ||||
Maire Mandat |
Bertrand Schmitt 2014-2020 |
||||
Code postal | 12400 | ||||
Code commune | 12222 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Félicien(ne) | ||||
Population municipale |
182 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 6,3 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 53′ 03″ nord, 2° 59′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 375 m Max. 745 m |
||||
Superficie | 29 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Affrique | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Saint-Félix-de-Sorgues est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.
Géographie
Localisation
Saint-Félix-de-Sorgues est limitrophe de six autres communes.
Site
Saint-Félix-de-Sorgues fait partie du canton de Saint-Affrique et compte environ 200 habitants répartis en dix fermes et un village situés à 416 mètres d'altitude dans la vallée de la Sorgues, entre Roquefort et Sylvanès.
Toponymie
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Félix-de-Sorgues[1].
Histoire
Moyen Âge
Saint-Félix fut le chef-lieu d'une importante commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[2] dont le premier commandeur connu est Gaubert de Saint Caprazy en 1159.
Époque moderne
Personnalités : au XIXe siècle, Pierre Tournier, d'une grande famille de tradition protestante, fut maire de Saint-Félix. Son frère, Benjamin Tournier, né le 21 janvier 1826, fut admis en 1846 à l'université de Genève et devint bachelier en théologie à la faculté protestante de Montauban (1851). Il épousa alors la Genevoise Adrienne Breitmayer. Après plusieurs suffragances, il fut nommé pasteur à Saint-Laurent-du-Cros (Hautes-Alpes, 1856-1865) et présida le Consistoire d'Orpierre (1860-1862). Puis il se consacra à la communauté vaudoise de la vallée de Freissinières (massif du Pelvoux) et aida à l'émigration de plusieurs familles en Algérie. Il prit sa retraite à Pressy-Vendœuvre (canton de Genève). Passionné de montagne et d'archéologie, il reprit cependant du service pastoral auprès des vaudois installés en Algérie (les Trois Marabouts-Guiard) de 1892 à sa mort en 1904. Son épouse continua une trentaine d'années à servir à Guiard.[3]
Des tableaux du peintre Wassily Kandinsky cachés à Saint-Félix de Sorgues pendant la seconde guerre mondiale :
Pendant la Seconde guerre mondiale, une partie de l'œuvre privée du célèbre peintre Vassily Kandinsky, emballée dans une cinquantaine de caisses grandes et étroites, a été camouflée par l’intermédiaire d’Émile Redon dans la remise de la maison familiale à Saint-Félix-de-Sorgues (Aveyron, 12), afin d’échapper aux spoliations de l'occupant nazi[4].
Emile Redon : Emile Léon Elie Redon naît à Saint-Félix-de-Sorgues le 7 avril 1892. Il est gravement blessé en août 1914 et fait prisonnier. Amputé d’un bras, on le rapatrie en mars 1915. L’année suivante, il devient expéditionnaire à la Préfecture de Police, puis chef de bureau en avril 1934. En fonction à la tête du service des étrangers de la Préfecture de Police, il sabote des dossiers de dénaturalisation et régularise nombre de situations de juifs et autres personnes en situation irrégulière. Il rejoint Ajax en novembre 1943, recruté par Pouliquen, puis Zadig sous le pseudo de « Bamou » en mars 1944, concrétisant ainsi un engagement déjà ancien dans les activités résistantes qu’il exerçait avec son épouse, elle-même arrêtée ¬ en 1943 pour appartenance à un groupe gaulliste. Elle avait donné asile au domicile conjugal à des résistants recherchés pour avoir envoyé à Londres les plans de défense aérienne du port de Gennevilliers. Sa libération le soir-même fait partie des bonnes actions à mettre au crédit du fameux ferrailleur Joseph Joinovici. En 1947, les soupçons pesant sur celui-ci vaudront à Emile Redon d’être brièvement suspendu avant d’être totalement innocenté. Il avait connu un sort identique à la mi-1943, après avoir été soupçonné de troc de cartes de séjour, sur dénonciation d’un de ses collaborateurs. Emile Redon avait épousé Marie-Louise Sallenave le 22 mai 1926, ils eurent deux enfants, Jeanette en 1927 et Michel en 1928. Il termine sa carrière comme directeur de la police générale, commandeur de la Légion d'Honneur, médaillé militaire, titulaire de la médaille de la Résistance et Croix de guerre avec deux citations. Il décède à Paris le 18 octobre 1962[5].
Époque contemporaine
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[6]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[7].
En 2021, la commune comptait 182 habitants[Note 1], en diminution de 23,21 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
Au début du XXIe siècle, l'économie est principalement agricole et consiste en la production de lait de brebis pour le roquefort.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Parmi les monuments historiques on peut trouver le pont Inscrit MH (1944)[9] des XIVe et XVe siècles qui enjambe la Sorgues en contrebas du village. Le pont de Saint-Félix-de-Sorgues est composé de trois arches et construit notamment à partir du tuf calcaire de la région. Les contreforts d’une tour du château, qui fut détruit en 1627, restent visibles dans le parapet au sud de l’église[10]. Certaines parties de l’enceinte de fortification demeurent présentes, dont la porte d’entrée (porte "Saint-Jean")[10].
- Saint-Caprazy, lieu-dit au sud-ouest du village sur l'autre rive de la Sorgues. Ancienne seigneurie et paroisse devenue ensuite une annexe de la commanderie de Saint-Félix-de-Sorgues[11].
Personnalités liées à la commune
- Patrick Guallino a vécu à Saint-Félix-de-Sorgues.
- Jean Laroze, historien de Saint-Félix-de-Sorgues, a écrit quatre ouvrages sur l'histoire du village[10].
Héraldique
Les armes de la commune de Saint-Félix-de-Sorgues se blasonnent ainsi : |
Voir aussi
Bibliographie
- (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Jean-Luc Malet), Sent-Africa : La Bastida, Caumèls-e-Lo Vialar, Ròcafòrt, Sant-Faliç, Sent-Esèri, Sent-Jan, D'Aucàpias, Sent-Roma de Sarnon, Tornamira, Vabre, Verzòls-e-La Pèira / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Sent-Africa, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 429 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-54-8, ISSN 1151-8375, BNF 38977452)
Articles connexes
- Liste des communes de l'Aveyron
- Langue de Provence de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem
Liens externes
- L'histoire de Saint-Félix-de-Sorgue
- Le site de l'association des Amis de Saint Félix de Sorgue
- Carte IGN du village
- Cartographie de Saint-Félix-de-Sorgues
- Insee - Chiffres clés : Saint-Félix-de-Sorgues.
Notes et références
Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles faisant suite au manuscrit de Jean Raybaud 1751-1806 : tome III », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXIX, , p. 120-21, lire en ligne sur Gallica
- Arnaud BOSC, « Notice biographique Benjamin TOURNIER », sur Histoire de Saint-Félix de Sorgues,
- Arnaud BOSC, « Des tableaux de KANDINSKY de passage à SAINT-FELIX DE SORGUES », https://www.midilibre.fr/2019/04/02/le-secret-lartiste-et-le-fonctionnaire,8104449.php, (lire en ligne)
- Berlière, Jean-Marc, Au coeur de la Préfecture de Police : de la Résistance à la Libération (OCLC 770715915, lire en ligne)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no PA00094150, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Historique de Saint-Félix-de-Sorgues
- Emmanuel-Ferdinand de Grasset, Essai sur le grand prieuré de Saint-Gilles de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, suivi du catalogue des chevaliers, chapelains, diacots, donats et servants d'armes de la vénérable langue de Provence, dressé sur les titres originaux, Paris, (lire en ligne)La chapelle de Saint-Caprassy.