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Pierre-Édouard Stérin devient {{Ordinal|1|''{{langue|en|business angel}}''}} de France aux classements AngelSquare-Challenges avec {{unité|70|M€}} investis dans {{unité|30|participations}} pour 2016-2017<ref>{{Lien web|prénom=Charles |nom=Degand |titre=Les Business Angels français les plus actifs — Classement 2017 |url=https://blog.angelsquare.co/les-business-angels-fran%C3%A7ais-les-plus-actifs-classement-2017-d0be1c3363ab |site=Medium |date=2017-11-13 |consulté le=2021-04-21}}.</ref>, puis {{unité|42|M€}} investis dans {{unité|24|projets}} en 2019<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Top 30 des Business Angels français 2020|description=blog |url=https://home.angelsquare.co/blog/classement-business-angels-2020 |site=home.angelsquare.co |consulté le=2021-04-21}}.</ref>.
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En 2017, il lance les Nuits du bien commun : des soirées événements qui organisent de grandes levées de fonds à destination d'associations<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=À La Nuit du bien commun, 600.000 euros donnés au profit de 15 associations |url=https://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/11/29/01016-20171129ARTFIG00011--la-nuit-du-bien-commun-600-000-euros-donnes-au-profit-de-15-associations.php |site=LEFIGARO |consulté le=2021-04-21}}.</ref>, dont certaines sont, selon ''[[L'Express]]'', des associations identitaires, ou anti-avortement<ref name=":2">{{Lien web |langue=fr |titre=Pierre-Edouard Stérin, le milliardaire qui veut racheter Editis et évangéliser la France |url=https://www.lexpress.fr/entrepreneurs/pierre-edouard-sterin-le-milliardaire-qui-veut-racheter-editis-et-evangeliser-la-france-CJT7MLNJKJCIDGEEG44WRP62TQ/ |site=L'Express |date=2023-02-23 |consulté le=2023-03-07}}</ref>.


Pierre-Édouard Stérin prévoit d’investir la quasi-intégralité de son patrimoine dans un [[fonds de dotation]] qu’il mettra à disposition du [[bien commun]] lorsqu'il aura 50 ans<ref>{{Interview|nom=Stérin|prénom=Pierre-Édouard|intervieweur=Adrien Schwyter|url=https://www.challenges.fr/high-tech/ce-riche-francais-donne-800-millions-d-euros-a-des-associations_769181 {{accès payant}}|titre url=Ce riche français donne 800 millions d'euros à des associations|nom du média=www.challenges.fr|date=16 juin 2021|consulté le=15 juillet 2021|nature=interview}}.</ref>.
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== Caritatif ==
En 2017, il confonde la Nuit du Bien Commun, un fonds de dotations à visée sociale et humanitaire, et à but non lucratif. Le fonds a pour objectif de collecter des financements auprès d'entreprises et particuliers, et de les reverser à des associations reconnues d'intérêt général<ref name="Challenges" />{{,}}<ref name="figaro">{{Lien web |langue=fr |titre=À La Nuit du bien commun, 600.000 euros donnés au profit de 15 associations |url=https://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/11/29/01016-20171129ARTFIG00011--la-nuit-du-bien-commun-600-000-euros-donnes-au-profit-de-15-associations.php |site=LEFIGARO |consulté le=2021-04-21}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |titre=Tours : jusqu'à 10 associations seront aidées lors de la Nuit du bien commun |url=https://www.lanouvellerepublique.fr/tours/tours-jusqu-a-10-associations-seront-aidees-lors-de-la-nuit-du-bien-commun |site=La Nouvelle République |date=13/10/2022}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Pierre-Édouard Stérin: «Moins je paie d'impôts, plus je donne» |url=https://www.lefigaro.fr/impots/2017/11/21/05003-20171121ARTFIG00248-pierre-edouard-sterin-moins-je-paie-d-impots-plus-je-donne.php |site=Le Figaro |date=2017-11-21 |consulté le=2023-08-26}}</ref>. La première édition de la Nuit du Bien Commun a lieu en novembre 2017. Quinze associations disposent de quatre minutes chacune pour présenter leur projet devant un public composé de {{nbr|1000}} donateurs. Les donations de l'ensemble de la soirée s'élèvent à {{nbr|560000}} euros<ref name="figaro" />{{,}}<ref name="fig">{{Lien web |langue=fr |titre=Nuit du Bien Commun: plus d’un million d’euros levés pour la troisième édition |url=https://www.lefigaro.fr/social/nuit-du-bien-commun-plus-d-un-million-d-euros-leves-pour-la-troisieme-edition-20191125 |site=Le Figaro |date=2019-11-25 |consulté le=2023-08-26}}</ref>{{,}}<ref name=":1" />. Les éditions 2018 et 2019 permettent de récolter {{nbr|800000}}, puis {{nbr|1100000}} euros<ref name="fig" />. ''[[Le Figaro]]'' estime que les projets financés révèlent les valeurs auxquelles Pierre-Édouard Stérin est attaché : liberté, travail, identité et culture française<ref name=":1" />. Selon ''[[L'Express]]'', certaines associations financées sont identitaires, ou anti-avortement<ref name=":2">{{Lien web |langue=fr |titre=Pierre-Edouard Stérin, le milliardaire qui veut racheter Editis et évangéliser la France |url=https://www.lexpress.fr/entrepreneurs/pierre-edouard-sterin-le-milliardaire-qui-veut-racheter-editis-et-evangeliser-la-france-CJT7MLNJKJCIDGEEG44WRP62TQ/ |site=L'Express |date=2023-02-23 |consulté le=2023-03-07}}</ref>.


== Politique ==
== Politique ==

Version du 26 août 2023 à 08:37

Pierre-Édouard Stérin
Pierre-Édouard Stérin en 2018.
Fonctions
Président
TheFork
-
Président-directeur général
Smartbox
depuis
Biographie
Naissance
Nom de naissance
Pierre-Édouard Robert Raymond Marie-Joseph StérinVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Domicile
Formation
Université Paris-I-Panthéon-Sorbonne (-)
EM Lyon Business School (-)
Lycée Aristide-Briand d'Evreux (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Autres informations
Organisation
A travaillé pour
Propriétaire de
Otium Capital (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Idéologie
Partenaire

Pierre-Édouard Stérin, né le à Évreux (Eure) est un milliardaire français.

Il est cofondateur et devenu principal actionnaire du groupe Smartbox, entreprise spécialisée dans la vente de coffrets cadeaux. À la suite de son premier investissement dans LaFourchette — devenu TheFork —, il crée son family office : Otium capital.

Biographie

Enfance et formation

Pierre-Édouard Stérin est élève au lycée Aristide-Briand d'Evreux (d) (Eure) en section économique[1]. Après des études à la Sorbonne, il rentre à l'EM Lyon[2] et en sort diplômé en [3].

Carrière

En 1998, il débute comme directeur commercial à la Société générale, où il vend des produits dérivés, un poste qu'il quitte au bout de six mois[4],[5]. Il travaille ensuite un temps comme analyste chez Exane, une société d'investissements financiers[4],[6], puis démissionne[7].

Entrepreneur

En 1999, il cofonde avec deux amis Black Orange, une société de distribution de logiciels à domicile[4],[8], qui devient leader en France[2]. Mais, en raison d'une mésentente[6], les associés cèdent l'affaire deux ans plus tard pour « trois fois rien », au moment où la bulle internet éclate[2],[4],[9]. Entre 2001 et 2002, Pierre-Édouard Stérin est à l’initiative d’une vingtaine de projets entrepreneuriaux qui se soldent par des échecs[10],[2],[11].

Smartbox

En 2003, Pierre-Edouard Stérin s'associe avec Philippe Deneef[6] pour lancer en France le concept de coffret cadeau créé par la société belge Weekendesk, dont ils deviennent la franchise française[12],[10]. A partir de 2006, sa société s'implante à l'étranger, en Europe, aux États-Unis et au Canada[12]. En 2007, il rachète les parts de ses associés[6]. Il rachète également la maison mère belge avec l'aide de la société Naxicap[6],[10]. Il rebaptise sa société Smart&Co et crée la marque Smartbox[13].

En 2013, il quitte la direction de Smart&Co mais en reste actionnaire[2].

L'année suivante, le fonds d'investissement Naxicap lui cède sa participation ainsi qu'aux dirigeants de Smart&Co[14].

Investisseur

LaFourchette

En 2008, il investit une partie des dividendes issus de la Smartbox dans la start-up LaFourchette, service en ligne de réservation de restaurants pour les particuliers[10],[15]. Alors en difficulté, les dirigeants sont accompagnés par Pierre-Edouard Stérin et ses équipes d’investissement dans la transformation de la société. En quatre ans, le nombre de réservations quotidiennes serait passé de 20 à plus de 20 000, à travers un réseau de plus de 12 000 restaurants partenaires en Europe. En 2014, Tripadvisor rachète LaFourchette pour un montant estimé à 110 millions d'euros. Le bénéfice de cette vente rapporte à Stérin 58 millions d'euros, qu'il va immédiatement réinvestir[2],[16].

Otium Capital

En 2009, il lance la société d'investissement Smart Co Ventures, entièrement alimentée par ses propres fonds, les bénéfices réalisés dans le groupe Smartbox[17],[2]. Smart & Co Ventures œuvre dans le domaine des start-up du secteur de la distribution de loisirs, investissant 25 millions d'euros dans sept sociétés, dont cinq spécialisées dans la réservation en ligne. Puis, fin 2011, Smart & Co Ventures change de nom et devient Otium Capital, une opération visant à affirmer l'indépendance opérationnelle du fonds d'investissement vis-à-vis de la société Smart&Co[17]. Otium Capital est qualifié par Les Echos de « family office » de Pierre-Edouard Stérin[18]. En 2018, Pierre-Edouard Stérin possède, via Otium Capital, des participations dans une trentaine de sociétés, pour un montant total de 200 millions d'euros investis. La revente en 2014 de LaFourchette a permis de récupérer huit fois la mise de départ. Il s'agit, en 2018, de la seule revente positive[10],[19].

Pierre-Edouard Stérin accompagne Dentelia, un fournisseur de soins dentaires fondé en 2017 par le Dr Alexandre Attia, et signe en 2021 un accord avec Colosseum Dental Group, qui prend alors une participation majoritaire dans Dentelia[20].

En 2020, avec les fondateurs de Birchbox France, il rachète Birchbox France, filiale française du groupe américain Birchbox qui commercialise des coffrets cosmétiques en ligne[21], et finance la startup Tekyn (production de vêtements à la demande en circuit court)[22],[23].

Il est décrit comme étant « un patron aussi intelligent que tranchant » qui « ne s'embarrasse pas de morale chrétienne » quand il s'agit de licenciement[24].

Fortune

Selon Challenges, sa fortune en 2017 est estimée à 100 M€, passant à 800 M€ pour les années 2018 à 2020. En 2022, elle est de 1 milliard d'euros ce qui fait de lui le 113e Français le plus fortuné[4].

Pierre-Édouard Stérin devient 1e business angel de France aux classements AngelSquare-Challenges avec 70 M€ investis dans 30 participations pour 2016-2017[25], puis 42 M€ investis dans 24 projets en 2019[26].

Pierre-Édouard Stérin prévoit d’investir la quasi-intégralité de son patrimoine dans un fonds de dotation qu’il mettra à disposition du bien commun lorsqu'il aura 50 ans[27].

Caritatif

En 2017, il confonde la Nuit du Bien Commun, un fonds de dotations à visée sociale et humanitaire, et à but non lucratif. Le fonds a pour objectif de collecter des financements auprès d'entreprises et particuliers, et de les reverser à des associations reconnues d'intérêt général[4],[28],[29],[30]. La première édition de la Nuit du Bien Commun a lieu en novembre 2017. Quinze associations disposent de quatre minutes chacune pour présenter leur projet devant un public composé de 1 000 donateurs. Les donations de l'ensemble de la soirée s'élèvent à 560 000 euros[28],[31],[2]. Les éditions 2018 et 2019 permettent de récolter 800 000, puis 1 100 000 euros[31]. Le Figaro estime que les projets financés révèlent les valeurs auxquelles Pierre-Édouard Stérin est attaché : liberté, travail, identité et culture française[2]. Selon L'Express, certaines associations financées sont identitaires, ou anti-avortement[24].

Politique

Il se décrit comme un libertarien, défavorable à toute intervention de l’État dans l’économie[9], et conservateur sur les questions sociétales, proche de La Manif pour tous et souhaitant que son épouse reste à la maison[24].

Depuis 2015, il souhaite investir une partie de sa fortune sur une personnalité politique et mène dans ce but ce qu'il nomme un « tour du marché politique ». À sa demande, des rencontres sont organisées avec diverses personnalités : Marion Maréchal, François-Xavier Bellamy, Bruno Retailleau, Virginie Calmels, David Lisnard, Éric Zemmour, etc. À l'issue de ces entretiens, il leur attribue une note, mais a toujours été déçu[24].

Il organise par ailleurs régulièrement des « apéros du bien commun » réunissant grands patrons, acteurs du monde associatif catholique et responsables politiques de droite et d’extrême droite[24].

D'après Paris Match, il s'agit d'un proche d'Éric Zemmour : s'« il n'a pas de mission précise auprès du polémiste » en vue d'une éventuelle candidature à l'élection présidentielle française de 2022, il « lui accorde [cependant] une attention soutenue »[32]. Lui-même s'est défendu d'être un proche de l'ancien candidat à la présidentielle de 2022, reconnaissant cependant l’avoir rencontré « comme une vingtaine d’hommes et de femmes politiques du centre et de droite au cours de ces dernières années », mais aussi « des responsables de gauche patriotes »[33]. Selon Le Point, il n'a « ni prêté ni donné de l'argent » et rencontre régulièrement des hommes politiques « de tous bords »[34]. S'il a rencontré régulièrement Éric Zemmour dans l'optique de l'élection présidentielle, il déclare finalement ne pas avoir été convaincu par celui-ci, étant en particulier méfiant au sujet de la place accordée à sa compagne et conseillère, Sarah Knafo : « Un homme qui choisit mal sa femme choisira mal ses ministres. Et celui qui la trompe, trompera aussi les Français »[24].

Vie privée

En 2012, Pierre-Édouard Stérin quitte la France pour résider en Belgique avec sa femme et ses cinq enfants, afin d'échapper aux impôts sur les plus-values[35]. Ses cinq enfants ont tous suivi l'école à la maison[24].

Notes et références

  1. Pierre-Édouard Stérin, « Smartbox : un coffret plein de succès », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le )
  2. a b c d e f g h et i Catherine de Malet (d), « Pierre-Édouard Stérin ou la quête du Graal » Accès payant, sur Le Figaro, (consulté le )
  3. « Pierre-edouard Stérin », sur L'Echo Touristique, (consulté le )
  4. a b c d e et f « La fortune de Pierre-Édouard Stérin - Les 500 plus grandes fortunes de France » Accès payant, sur www.challenges.fr (consulté le ).
  5. Bruna Basini, « Le futé des coffrets cadeaux », source : Le Journal du dimanche papier, sur www.lejdd.fr, Paris, Société Lagardère media news, (consulté le ).
  6. a b c d et e Corinne Moriou, « Weekendesk booste le coffret cadeaux », sur LEntreprise.com, (consulté le )
  7. « Smartbox, mode d'emploi », sur Les Echos, (consulté le )
  8. Guillaume Fraissard, « Black Orange, le logiciel en express », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. a et b Pierre-Édouard Stérin, Interview par la rédaction d' Entreprendre, Pierre-Édouard Stérin : « Je n'ai pas de yacht ou de jet et je n'ai pas envie d'en avoir », Entreprendre,  (consulté le ).
  10. a b c d et e William Sadrin, « Pierre-Édouard Stérin : Un investisseur sans peur et sans reproche », sur capitalfinance.lesechos.fr, Paris, Les Échos, (consulté le )
  11. Mikael Hed, Agnès Touraine, Gilles Babinet, Nicolas Mahut, Pierre-Édouard Stérin et Bruno Bonnell, Témoignages par Capital, Tirer parti de ses erreurs : les leçons de ceux qui ont trouvé la force de rebondir (5e témoignage), Capital,  (consulté le ).
  12. a et b Isabelle Ficek, « Weekendesk vend ses idées cadeaux », sur Les Echos, (consulté le )
  13. Yves Vilagines, « Smartbox-Wonderbox: le choc des coffrets cadeaux », sur L'Express, (consulté le )
  14. « Smartbox absorbe les coffrets Dakotabox », sur Capital Finance - Les Echos, (consulté le )
  15. « La Fourchette.com ouvre son capital à Smart & Co » Accès payant, sur www.cfnews.net, (consulté le ).
  16. Le JDD, « Un coup de Fourchette à 150 millions de dollars », sur lejdd.fr (consulté le ).
  17. a et b « Smart&co Ventures avance sous le nom d'Otium Capital », sur Capital Finance, (consulté le )
  18. « Otium Capital débloque 150 M€ pour le first time Resonance », sur Capital Finance, (consulté le )
  19. « Start-up : les conseils du Top-30 des investisseurs français », sur Challenges (consulté le )
  20. Zone Bourse, « Jacobs : Colosseum Dental Group entre sur le marché français de soins dentaires avec l'acquisition de Dentelia », sur www.zonebourse.com (consulté le )
  21. Alice Vitard, « Birchbox France est rachetée par ses fondateurs et un fonds d'investissement », L'Usine digitale,‎ (lire en ligne, consulté le )
  22. « Otium et Bpifrance livrent 5,5 M€ à Tekyn » Accès payant, sur Capital Finance, (consulté le )
  23. FashionNetwork com FR, « Tekyn lève 5,5 millions d'euros auprès d'Otium et BPIFrance », sur FashionNetwork.com (consulté le )
  24. a b c d e f et g « Pierre-Edouard Stérin, le milliardaire qui veut racheter Editis et évangéliser la France », sur L'Express, (consulté le )
  25. Charles Degand, « Les Business Angels français les plus actifs — Classement 2017 », sur Medium, (consulté le ).
  26. « Top 30 des Business Angels français 2020 », blog, sur home.angelsquare.co (consulté le ).
  27. Pierre-Édouard Stérin, interview par Adrien Schwyter, Accès payant Ce riche français donne 800 millions d'euros à des associations, www.challenges.fr,  (consulté le )..
  28. a et b « À La Nuit du bien commun, 600.000 euros donnés au profit de 15 associations », sur LEFIGARO (consulté le ).
  29. « Tours : jusqu'à 10 associations seront aidées lors de la Nuit du bien commun », sur La Nouvelle République,
  30. « Pierre-Édouard Stérin: «Moins je paie d'impôts, plus je donne» », sur Le Figaro, (consulté le )
  31. a et b « Nuit du Bien Commun: plus d’un million d’euros levés pour la troisième édition », sur Le Figaro, (consulté le )
  32. Robin Verner, « Jeunes loups, collectifs... Qui sont les personnalités qui préparent la candidature Zemmour? », sur BFMTV, (consulté le )
  33. Anne Fulda, « Pierre-Edouard Utérin, au nom du bien commun », sur Le Figaro, (consulté le )
  34. Beatrice Parrino, « Pierre-Édouard Stérin, le businessman des anges » Accès payant, sur Le Point, (consulté le )
  35. Marie-Pierre Gröndahl, « Exilés volontaires - Ces Français qui quittent la France », sur parismatch.com, (consulté le )