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« Paix d'Amboise » : différence entre les versions

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La '''Paix d'Amboise''', ou '''édit d'Amboise''', est un [[traité de paix]] signée le 19 mars [[1563]] par [[Louis Ier de Bourbon-Condé|Louis de Condé]], chef des protestants, et [[Anne de Montmorency (1492-1567)|Anne de Montmorency]], chef de l'armée catholique. Elle confirme la [[liberté de religion|liberté de conscience]] accordée par l'[[édit de janvier 1562]], accorde l'amnistie aux calvinistes, mais restreint l'exercice du [[culte]] [[protestant]] en dehors des villes et sur les terres de certains seigneurs.
La '''Paix d'Amboise''', ou '''édit d'Amboise''', est un [[traité de paix]] signée le 19 mars [[1563]] par [[Louis Ier de Bourbon-Condé|Louis de Condé]], chef des protestants, et [[Anne de Montmorency (1492-1567)|Anne de Montmorency]], chef de l'armée catholique. Elle confirme la [[liberté de religion|liberté de conscience]] accordée par l'[[édit de janvier 1562]], accorde l'amnistie aux calvinistes, mais restreint l'exercice du [[culte]] [[protestant]] en dehors des villes et sur les terres de certains seigneurs.


Si elle marque la fin de la [[Guerres de religion (France)#Première guerre de religion (1562–1563)|première guerre de religion]], cette paix n'est que peu durable, puisque les affrontements reprennent quatre ans plus tard.
Si elle marque la fin de la [[Guerres de religion (France)#Première guerre de religion (1562-1563)|première guerre de religion]], cette paix n'est que peu durable, puisque les affrontements reprennent quatre ans plus tard.


== Sources ==
== Sources ==

Version du 17 mars 2012 à 23:36

La Paix d'Amboise, ou édit d'Amboise, est un traité de paix signée le 19 mars 1563 par Louis de Condé, chef des protestants, et Anne de Montmorency, chef de l'armée catholique. Elle confirme la liberté de conscience accordée par l'édit de janvier 1562, accorde l'amnistie aux calvinistes, mais restreint l'exercice du culte protestant en dehors des villes et sur les terres de certains seigneurs.

Si elle marque la fin de la première guerre de religion, cette paix n'est que peu durable, puisque les affrontements reprennent quatre ans plus tard.

Sources

  • Jean-Joseph Julaud, L'Histoire de France pour les Nuls, First Editions, 2004

Voir aussi

Articles connexes

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