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'''Paul Biya''', né le [[13 février]] [[1933]] à Mvomeka'a, sous le nom de Paul Biya’a Bi Mvondo. Il est le second [[Présidents du Cameroun|président de la République du Cameroun]] depuis le {{date|6|novembre|1982}}.Ce monsieur est un assassin qui a asservi tout un ppays et étouffe la liberté d'expression en particulier celle de la jeunesse la devise du pays ne rinme pas avec la realite sur le terain on dira plutot "manque de liberté chômage et galère le système monarchique est en place et prone les memes les memes ne cessent de s'enrichir et les autres de s'appovrir pas de routes dans le nord du pays popol bouge ton cul .BOUGEONS NOUS ET CHANGEONS LES CHOSES DANS CE PAYS ONNNNNNNNNN ENNNNNNNN AAAAAAAAAAAAA MMMMMMMMAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRREEEEEEEE


== Parcours ==
== Parcours ==

Version du 18 avril 2011 à 23:32

Modèle:Infobox Chef d'État

Paul Biya, né le 13 février 1933 à Mvomeka'a, sous le nom de Paul Biya’a Bi Mvondo. Il est le second président de la République du Cameroun depuis le .Ce monsieur est un assassin qui a asservi tout un ppays et étouffe la liberté d'expression en particulier celle de la jeunesse la devise du pays ne rinme pas avec la realite sur le terain on dira plutot "manque de liberté chômage et galère le système monarchique est en place et prone les memes les memes ne cessent de s'enrichir et les autres de s'appovrir pas de routes dans le nord du pays popol bouge ton cul .BOUGEONS NOUS ET CHANGEONS LES CHOSES DANS CE PAYS ONNNNNNNNNN ENNNNNNNN AAAAAAAAAAAAA MMMMMMMMAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRREEEEEEEE

Parcours

Lorsque naît Paul Barthélemy Biya'a Bi Mvondo, le sud du pays est sous contrôle français (le Cameroun est un "territoire sous mandat de la Société des Nations"). Après ses études secondaires au lycée général Leclerc à Yaoundé, il passe successivement par le Lycée Louis-le-Grand, l'Université de la Sorbonne de Paris, l'Institut d'études politiques de Paris, où il obtient un diplôme de Licence en Droit public en 1961, et à l'Institut des hautes études d'outre-mer. Fils d’un catéchiste, ancien séminariste, destiné à la prêtrise, il ne manque pas d’ambition politique.

Dès 1962, il devient chargé de mission à la Présidence de la République dans le gouvernement du président Ahmadou Ahidjo. En 1968, il est nommé ministre secrétaire général à la Présidence, puis, en 1975, Premier ministre d'Ahidjo. Il devient président de la République le après l'annonce radiodiffusée par le président Ahidjo de sa démission le 4 novembre.

Le , une tentative de coup d'État, fomentée selon certains par Ahmadou Ahidjo réfugié en France[réf. nécessaire], vise à assassiner Paul Biya. Les combats opposent l'armée, restée fidèle, à la garde présidentielle, composée d'hommes du Nord, pendant près d'une semaine. Les mutins de la garde présidentielle sont exécutés. À la suite de ces événements, Paul Biya change d'orientation politique alors qu'il est encore entouré des anciens caciques de l'ex-président, souvent originaires du nord du pays.

En mars et avril 1991, les opérations de désobéissance civile « Villes mortes », les émeutes et le vent de l'est qui souffle sur toute l'Afrique le poussent à accélérer la mise en oeuvre de sa promesse de libéralisation politique.

En 1992, lors des premières élections multipartites, il gagne face à John Fru Ndi grâce à une courte majorité obtenue de haute lutte. Depuis lors, il a successivement remporté l'élection présidentielle en 1997 et en 2004. .

Paul Biya et le secrétaire d'État américain Colin Powell, le 16 septembre 2002 à New York

Le , il est reconduit pour un nouveau septennat après vingt-deux ans passés à la tête du pays, face à une opposition divisée et un scrutin sujet à caution.

En décembre 2007, lors de son discours de fin d'année à la nation, il annonce son intention de modifier la Constitution qui limite alors le mandat présidentiel à deux exercices. Pour ce faire, il doit changer la loi 6.2 de la constitution en vigueur qui limite les mandats présidentiels. Il compte sur la majorité absolue que son parti possède à l'assemblée nationale. Cette déclaration soulève beaucoup de remous au sein des populations et des partis politiques. De nombreuses organisations, comme Amnesty International, ont critiqué le régime de Paul Biya, accusé de restreindre les libertés fondamentales des Camerounais et des violations des droits de l'homme[1]. A ces accusations, des arguments contraires ont été apportés par le gouvernement camerounais[réf. nécessaire].

Louis-Tobie Mbida séquestré à Mvolyé alors qu'il tente d'organiser une réunion politique

Le 23 février 2011, ses services de sécurités se font remarquer en séquestrant Louis-Tobie Mbida, son probable challenger aux élections présidentielles d'octobre 2011, dans un bâtiment appartenant à l’église catholique[2][3][4].

Pour ceux qui le connaissent bien, il est « la doublure du Prince de Machiavel, imprévisible, prudent et attentif ». Il est en outre, « prompt à temporiser devant des situations alarmantes » (Michel Roger Evmana, Paul Biya, Karthala, Paris, 2005 ; François Mattei, Le Code Biya, Balland, Paris, 2009).

Famille

Il a été marié à Jeanne Irène Biya, décédée en 1992. Il a un fils Franck Emmanuel Biya. Aujourd'hui, il est marié avec Chantal Vigouroux, avec qui il a deux enfants, Paul Junior et Anasthasia Brenda. Il est aussi le père adoptif des deux enfants de sa seconde épouse Chantal, issus d'une précédente relation.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

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